HISTOIRE DE LA VOITURE ELECTRIQUE

2012-2013

Je m'intéresse au véhicule électrique depuis plus de 40 ans déjà, j'ai maintes fois essayé d'y intéresser les lycées dans lesquels j'ai travaillé, sans autre succès que le mépris de crétins qui confondent "une Rocaboy avec le Fardier de Cugnot", j'ai assisté, pantois et non sans colère, à l'arrivée des "nouveaux" véhicules électriques de 2013, et le temps viens de "jeter l'éponge".
Le véhicule électrique n'a pas d'avenir, tant qu'il restera un produit générateur de fortes marges pour des gens qui sont, aujourd'hui, incapable de produire un véhicule, électrique ou thermique, correspondant à leur marché et qui s'étonne de l'effondrement de leurs ventes, tant qu'il suffira de croire que multiplier les bornes de recharges en multipliera les ventes (où ce sont ceux qui ne peuvent les utiliser qui financent les luxueux véhicules électriques de ceux qui peuvent se les acheter !).
De plus, l'initiative individuelle en ce domaine est impossible en France, à cause du verrouillage des Mines, aux ordres de nos "constructeurs" nationaux.
Pourtant, j'y ai rêvé...


L'automobile électrique en 2013 ?

Elle stagne, coincée entre le lobbying des pétroliers et l'appétit des constructeurs qui ne la voit que comme génératrice de marges confortables.
Et puis il y a les "scientifiques", les journalistes "diéselistes plus" et les "écologistes" qui vous démontrent, sans rire, qu'une voiture électrique pollue plus qu'un Diesel.
Les constructeurs de voitures électriques ont presque tous disparu, sous la pression des deux "propriétaires" du marché automobile, le Diesel s'est imposé, grâce aux mêmes et aux journalistes diéselistes.
Contre l'avis de ces mêmes journalistes, c'est l'hybride essence qui a fait ses preuves dans le domaine du véhicule de moyenne gamme, grâce aux japonais Toyota et Honda, marché dont les constructeurs français sont absents, à la fois par incompétence technique et commerciale
D'ailleurs, que proposent-ils ? Des voitures trop puissantes, trop lourdes, suréquipées, donc trop chères et dont ils se demandent, et leurs "amis" avec eux, pourquoi elles ne se vendent pas !
Mais bon, les "économistes" en ont dédiuit qu'il futr diminuer les salaires, au nom de la comp;étivit;é, et, surtout, augmenter les marges... Quelle est la marge sur un produiit qui ne se vend pas, faute d'acquéreurs ?

Et quand Renault, PSA et le CCFA se vantent d'innovation technologique au sujet de la voiture électrique, il serait intéressant de savoir de quelle innovation il s'agit.
Le véhicule électrique est connu depuis le XIXe siècle, les innovations marquantes récentes étant le hacheur, la gestion électronique de charge/décharge/récupération d'énergie et les batteries au lithium, qui tardent à faire valoir un vrai avantage en termes d'autonomie.
Un moteur synchrone à rotor bobiné, un réducteur avec différentiel, un contrôleur, des batteries lithium-ion LG... Voilà qui est bien classique à qui s'intéresse un tant soit peu à la technologie automobile.
Voilà une technologie qui était mieux utilisée sur la Microcar Lyra de... 1992.
Ah si, il y a le connecteur "Caméléon", pour la recharge, un Mennekes type 2 figurez-vous !
Mais l'innovation la plus importante, et qui relève du domaine exclusif des constructeurs français, est bien d'avoir fait d'un véhicule qui se devrait "minimal", un formidable générateur de marge financière, au regard des prix de vente (et de location de batteries) pratiqués.
Sachant qu'une Zoe électrique coûte plus cher à l'achat (malgré une prime d'état de 5000 euros !) et à l'usage (le coût de location des batteries) qu'un Dacia Logan toutes options, on se demande qui peut bien avoir envie de perdre autant d'argent par les temps qui courent.
Et avec 300 euros de plus, on peut acheter une Yaris Hybride autrement plus polyvalente.

Il est à noter que ces chiffres sont confirmés par... Peugeot.
Au mois d'août 2012, la iOn voit son prix passer de 29 500 à 10 900 euros ! Soit une réduction de 11 600 euros (prix de vente 17 900 euros), accompagnée de la nouvelle prime écologique de 7 000 euros.
A titre de rappel, pour les radios et les télés, la vente à perte est interdite en France.
Cette prime, payée par l'Etat, donc par nos impôts, correspond au prix de vente qui devrait être celui d'une voiture électrique moderne, le reste étant la marge du constructeur tout simplement.

Quant à l'argument du coût d'utilisation d'une voiture électrique, Renault a réussi le tour de force de le gommer complètement.
Avec une location des batteries à 79 euros/mois, soit 748 euros annuels, pour 12 500 km/an, on arrive à 7,58 euros aux 100 km ;
Avec un coût de la recharge (1 recharge pour 100 km) d'environ 1,5 à 2 euros pour 100 km, le total est de 9 euros aux 100 km, ce qui correspond à 6.5 l/100 km en Diesel ou 6.1 l/100 km en essence.

"J’ai fait 2 000 km pour 2 euros !" clame le député écologiste de Marseille François-Michel Lambert, dans le Parisien du 30 septembre 2013.
Avec une Zoé... Soit...
Le trajet Marseille-Bordeaux, avec une recharge à Marmandes, cela fait tout de même 571 km d'autonomie avec famille et bagages, pour une autonomie officielle annoncée de 100 à 150 km en parcours péri-urbain !
Avec, pour ce trajet effectué fin août 2013, des recharges gratuites offertes par Renault, offre promotionnelle ne débutant pourtant qu'au 30 septembre 2013 dans les 372 concessions de la marque !
Et en oubliant, évidemment, les 75 euros mensuels de location de batterie, auxquels s'ajoutent les 40 euros des, au mieux, 20 recharges (sur borne rapide)...

Bien sûr, on peut justifier le prix de la Zoe par la puissance, incongrue, de son moteur (88 ch pour une voiture de ville !), par ses performances éblouissantes (135 km/h, toujours en ville, bien entendu)...
il est d'ailleurs amusant de voir que la consommation annoncée est, elle, bien basée sur le cycle urbain ECE-15, à la moyenne horaire de 37 km/h.
Et on peut aussi considérer, comme on semble le considérer aujourd'hui au gouvernement, que Clio et 208 sont des exemple-types de voitures de ville.

Mieux ! L'AVERE écrit :
"Dans une enquête réalisée par Ipsos pour l’Avere-France et Mobivia Groupe publiée le 1er Octobre dernier, un tiers des français serait dès à présent "électro-mobilisable". Ces derniers sont prêts à acquérir une voiture électrique dès leur prochain achat et disposent déjà d’un accès facile à un système de charge".
En France, il y a 21 30 0000 ménages motorisées (83,5 % de 25 549 200), et il se vend 2 200 000 voitures neuves (en considérant qu'elles ne soient achetées que par les ménages, ce qui est loin d'être le cas), soit 10%
1/3 des ménages achetant une voiture électrique, cela représenterait tout simplement 8 500 000 voitures, soit près de 4 fois le record de 1990, car le meilleur des ventes en France se situe bien en 1990, ce qui démontre quand même la remarquable réussite commerciale des fabricants automobiles, par rapport à un parc automobile (donc à un marché) qui a progressé de 30%

Quant aux hybrides...
D'un côté, les hybrides essence, Honda Civic, Toyota Yaris, Auris, Prius, etc. de 18 000 à 30 000 euros.
De l'autre les hybrides Diesel (ou de l'art d'associer la technologie la plus polluante à la moins polluante), avec la Peugeot 3008 à 37 000 euros et la Citroën DS5 à 44 000 euros !
Quelle crédibilité peut-on avoir quand on prône l'hybride Diesel, quand on en est à acheter des chaînes de traction toutes faites parce qu'on ne sait pas faire (cf. la Twizzy) ?

Mais bon, ce n'est que mon point de vue, celui d'un technicien automobile qui s'intéresse à la voiture électrique et à son évolution depuis plus de 40 ans, présent sur le sujet sur le web depuis 20 ans, et qui enrage de voir le peu de progrès réalisé tout ce temps.
Des techniciens automobiles, on en forme plus en France, dans des lycées ou l'expérience est considérée comme suspecte, où l'on freine des quatre fers quand on parle de traction électrique, où des inspecteurs se ridiculisent devant une Rocaboy en la comparant au fardier de Cugnot.
Mais il est vrai qu'il est déjà suspect de faire de la mécanique automobile dans un lycée professionnel préparant aux métiers de la maintenance automobile...
Pourtant, en terme de traction électrique, "l'avenir est un long passé", comme dirait Manau...
Pour preuve, ces deux articles sur un système start&stop et un véhicule hybride extraits de l'Auto Journal du... 15 février 1975 !
l'histoire de la voiture électrique leur permettrait d'avoir un regard plus pertinent sur le sujet.
Mais il est vrai qu'aujourd'hui l'inculture devient la norme, l'incompétence une référence.
"Se faire prendre par un con par des gens qu'on déteste", comme le disait si bien Bruel...
P Boursin, 2013
voir aussi sujets de réflexions
Quant aux "références", c'est ici.

Un texte intéressant, entre autocongratulation et éclairs de luicidité, thèse et antithèse... Une voiture électrique pour mille, dans un marché sinisitré, délibérémant... :

La voiture électrique progresse (Le Parisien, 6 juillet 2013)

Les voitures électriques se vendent de mieux en mieux en France. Selon des chiffres publiés par l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere), les immatriculations de ce type de véhicules ont été multipliées par plus de huit en juin et doublé au premier semestre.
Le mois dernier, 903 voitures électriques particulières ont été vendues, contre 112 en juin 2012, selon I'Avere. Une conséquence du lancement en début d'année de la citadine Zoé de Renault, modèle le plus vendu devant la Nissan Leaf. Sur l'ensemble du semestre, les immatriculations sont passées de 2 013 unités à 4 779.
Même constat pour les ventes de véhicules hybrides qui s'envolent de 180 % en juin avec 4 622 immatriculations. Sur la première moitié de l'année, elles ont été multipliées par plus de cinq, avec 22 702 voitures. Ce segment reste dominé par le Japonais Toyota, suivi par le Français PSA Peugeot Citroën.
Aussi encourageants soient-ils, ces chiffres restent toutefois quasi anecdotiques au regard des 930 320 voitures vendues en France sur la même période.

Un exemple de cahier des charges (IRCA VE BdA 2012)



à comparer aux données de la Zoe
Au fait, où sont les innovations techniques ?
Le moteur ? Triphasé synchrone à rotor bobiné, comme sur le TGV Atlantique.
Les batteries ? Des lithium surdimensionnées (+65% ?), comme sur la Chevrolet Volt (c'est bien pour cela qu'elles sont louées, non ?).
Une voiture 100% électrique de grande série ? Comme les Pope, Waverly et autres des années 1900 ? Comme la Peugeot 106 Electrique, ou la... Renault Clio Electrique de 1995 ?
Pour rappel, "en 1899 et 1900, il se vend plus de voitures électriques que de voitures équipées d'un autre mode de propulsion. "
M'enfin...




Etude technique de la Renault Zoe 2013
à rapprocher de celle de la Microcar Lyra Electric Light 1992
(voiture "100% électrique", avec récupération d'énergie au freinage !!!)

La voiture électrique a du mal à trouver son créneau (Guillaume Zambaux, Le Parisien, dimanche 8 avril 2012)

Autonomie limitée, temps de recharge dissuasif, prix élevé.. . en France, la voiture électrique n'a pas encore rencontré son public.
De Mondial en Salons de I'auto. les constructeurs annoncent depuis plusieurs années une révolution électrique en exposant des véhicules branchés, symboles d'absence de pollution. Or, alors que Renault vient de lancer sa nouvelle microcitadine Twizy, accessible avec ou sans permis, valant entre 6 900 et 8 000 euros, les Français se demandent toujours s'il faut croire au véhicule électrique. Les immatriculations sont "en dessous des prévisions les plus pessimistes" se désole Frédéric Banzet, directeur général de Citroën. Même si la crise a tendance à reléguer les préoccupations environnementales au second rang, la flambée des prix du pétrole aurait dû donner un coup de fouet à cette technologie. Or. en 201 1. sur un total de 2.2 millions d'immatriculations de véhicules neufs, seulement 2 630 sont des quatre-roues branchés. En 2009, l'objectif du plan Véhicule décarbonné présenté par le gouvernement était pourtant d'atteindre la barre des 100 000 véhicules électriques fin 2012. Pour aider au décollage, il a injecté 470 M euros sur quatre ans. Enfin, 1,5 Md euros a été budgété par l'Etat et les collectivités pour l'installation de 400 000 prises de courant d'ici à 2020. Cependant. Cados Tavares. le directeur général de Renault, s'est récemment inquiété du retard pris dans le déploiement des bornes de recharge dans les villes.
Des français dubitatifs
Si certains constructeurs, comme Renault-Nissan - le groupe a misé 4 Md euros pour lancer la Leaf et 4 autres modèles électriques dont la Fluence et la Twizy - restent convaincus de l'avenir de cette technologie, les Français sont plus dubitatifs. Les critiques portent sur le prix, ou encore l'autonomie insuffisante des batteries et la prime d'Etat ne suffit pas. A tel point qu'en juin 2011 le Centre d'analyse stratégique, dans un rapport au Premier ministre, s'est montré catégorique : "Les considérations économiques actuelles constituent des obstacles à la création d'un marché grand public." Certes, de grosses entreprises (La Poste, Air France, EDF...) ont acheté des modèles électriques pour leur flotte. Au total, 23 000 commandes ont été passées pour ces entreprises jusqu'en 2015. Ce qui représente qu'un quart des prévisions. Pas de quoi faire des étincelles !

Clés
2 630 voitures électriques se sont vendues en France en 2011 contre seulement 184 en 2010.
717 voitures électriques ont été vendues sur les deux premiers mois de l'année 2012. A elle seule, la Bolloré Bluecar arrive en tête avec 443 véhicules immatriculés.
4 000 modèles électriques : ce sont les prévisions de vente sur l'ensemble de cette année.
100 000 véhicules électriques fin 2012 : c'est le taux d'équipement que prévoyait le plan Véhicule décarbonné présenté en 2009 par le gouvernement.
Entre 7000 et 35 000 euros : prix d'un véhicule selon la marque et le modèle.
5 000 euros : montant maximum du super bonus accordé par l'Etat dans le cadre de sa politique d'incitation à l'achat de véhicules électriques Pour une Renault Twizy, ce bonus atteint les 2 000 euros.
30 à 40 % de molns : c'est le coût de l'entretien par rapport à un moteur thermique.

Un tiers des français sont électromobilisables immédiatement ! (Avere-France, Mobivia Groupe)
Article écrit pour la Newsletter du Véhicule Electrique du 17 octobre 2012, Collaboration Avere-France - Journal de l’automobile

Dans une une enquête réalisée par Ipsos pour l’Avere-France et Mobivia Groupe publiée le 1er Octobre dernier, un tiers des français serait dès à présent " électro-mobilisable ". Ces derniers sont prêts à acquérir une voiture électrique dès leur prochain achat et disposent déjà d’un accès facile à un système de charge.

Plusieurs idées reçues concernant la voiture électrique sont en passe de voler en éclat officiellement. Les trois freins principaux : faible autonomie, manque d’infrastructures de charge et coût élevé, qui sont traditionnellement considérés comme des entraves à son développement, se dissolvent dans un grand nombre de cas.

Une voiture électrique répond souvent aux besoins quotidiens de mobilité
44% des sondés pensent qu’une voiture électrique est parfaitement compatible avec leurs déplacements quotidiens. C’est logique, puisque plus des trois quarts des français parcourent moins de 50 km quotidiennement avec leur véhicule, alors que l’autonomie moyenne d’une voiture électrique est de 120 km.

La voiture électrique part en campagne ! *
Bien des français peuvent se brancher facilement, surtout à la campagne !
Plus d’1 Français sur 4 dit avoir la possibilité dès à présent de recharger un véhicule électrique à son domicile, dans un lieu public à proximité ou sur son lieu de travail.
Si en région parisienne, 18,5% considèrent avoir cette possibilité, dans les petites communes de moins de 20 000 habitants et en zone rurale, quasiment 1 français sur 2 dit pouvoir se charger chez lui dès maintenant ou avec quelques aménagements.
Contrairement à ce qui est trop souvent dit, la voiture électrique est très adaptée au milieu rural pour des raisons de facilité d’accès à la charge et parce que 60% des trajets quotidiens y sont inférieurs à 50 km.

Une voiture électrique est économique !
Pour 81% des personnes interrogées, la voiture électrique est perçue comme un mode de transport économique. Malgré un prix d’achat encore élevé, les inquiétudes liées au prix du pétrole ne sont probablement pas étrangères à cette conviction.
Les intentions d’achat sont d’ailleurs prometteuses : 29% des Français se disent prêts à passer à l’électrique s’ils devaient acheter une voiture dans les prochains mois. Les acquéreurs potentiels sont surtout des trentenaires. Les salaires supérieurs à 3 000 € sont moins nombreux à envisager cet achat (25%) que les salaires inférieurs à 1 250 € (30%). Ce qui contredit l’image d’un véhicule réservé aux riches.
Néanmoins, pour 45% des sondés, l’élément déclencheur pour acquérir une voiture électrique serait un prix d’achat équivalent à celui d’une voiture thermique. Ces derniers semblent ne pas prendre en considération le prix de revient à l’utilisation qui est 7 fois inférieur à celui d’une voiture thermique (entre 1 et 2 € les 100 kms).
Peut-être que cette barrière du prix provisoirement élevé à l’achat se brisera lorsque les offres de location de voitures électriques seront mieux connues. On en trouve facilement à moins de 300 € mensuels, soit moins que le coût de revient annuel d’une voiture, estimé à 6 000 € par l’Union Routière de France, soit 500 € par mois.
D’ailleurs, 36% des personnes sondées indiquent qu’à coût identique (achat du véhicule, carburant, assurance, entretien…), ils sont tout à fait prêts à louer une voiture plutôt que de l’acheter.

Informer pour électromobiliser
Reste qu’une grande majorité des Français se considèrent mal informés sur les véhicules électriques, notamment sur leur coût d’utilisation et sur les aides de l’état.
Pour faire avancer la voiture électrique, crions encore plus haut qu’elle est adaptée tout de suite à un grand nombre de contextes, et que si son prix est encore élevé comme toute innovation à ses débuts, sont coût global d’utilisation est moins rédhibitoire qu’il n’y paraît.
Ajoutons que si les français sont férus de diesel, c’est sans doute que son prix à la pompe est inférieur à celui de l’essence. Ils sont d’accord pour acheter plus cher leur voiture pour cette raison, et pourtant bon nombre d’entre eux ne l’amortissent jamais car cela leur revient plus cher que s’ils avaient acheté une voiture essence…
* expression empruntée à Jean-Luc Moreau dans le journal Voiture Ecologique de septembre


e-Kart


A noter, l'initiative intéressante d'Arnaud Sivert et Thierry Lequeu, "2 professeurs enthousiastes et passionnés qui ont mis leur savoir faire à la fois à la portée de leurs élèves et à la portée des amateurs de véhicules électriques".
Ils ont produit un kart électrique et publié un ouvrage fort pertinent, "Je construit mon véhicule électrique" chez Dunod.