HISTOIRE DE L'AUTOMOBILE 1965 - 1969

BdA 2011 - sources
 
L'automobile en 1965

      Alliance Rover-Alvis ; plus de la moitié du CA de Rover provient de la Land Rover (principales ventes à la police et à l'armée) ; Alvis produit un blindé 6x6 très apprécié

      Renaissance d'Audi ; Auto-Union rebaptisé, calandre à 4 anneaux conservée

      Accord de fusion Panhard–Citroën : intégration de l'usine Panhard de Reims ; arrêt, en mai, de la fabrication des PL 17 le 1er juillet, création du Double chevron, magazine trimestriel de la vie de Citroën, publié par la direction de l'Information et des Relations publiques, diffusé dans le monde entier jusqu'en 1990, et repris à partir du printemps 1993 par la direction de la Communication.

      En octobre, exposition au Pavillon de Marsan (musée du Louvre) à Paris sur la publicité Citroën.

      Mise en service du Centre d'études Citroën de Vélizy

      Le service compétition Citroën fait courir en rallyes la Panhard 24 CT

      Disparition de Facel-Vega

      Le 1er mars, des accords de collaboration technique sont signés entre Fiat et ferrari et vont déboucher sur la production des V6 Dino de série

      Le 13 novembre, la SEFAC Ferrari devient Ferrari SpA, une société par actions dans laquelle Fiat a largement investi ; cette nouvelle organisation permet à Enzo Ferrari de se débarrasser de certaines contraintes liées à la production et de se consacrer uniquement à la compétition et au Reparto Corse dont il avait exigé les pleins pouvoirs.

      Matra absorbe les Automobiles René Bonnet (ex-DB) et constitue la SARL Matra Sports (Jean-Luc Lagardère) ; Philippe Guédon, responsable des études, créateur des Matra 530, Bagheera, Rancho et Murena et de la Renault Espace

      Création de Peugeot SA

      673.516 km/h par Robert S. Summers sur Goldenrod (Bonneville, 12.11.1965, record en catégorie moteur à pistons) ; 4 moteurs Chrysler Hemi injection de 27.924 cm3 de 2.400 ch, roues motrices, long 9.75m, 2500 kg

      921.423 km/h par Art Arfons sur Green Monster à réaction (7.11.1965)

      988.129 km/h par Norman Breedlove sur Spirit of America Sonic I (15.11.1965, Bonneville Salt Flats) ; réacteur General Electric J 79 FG-3 développant 6.080 kg de pussée au niveau de la mer, long 10m50, 4080 kg

      Débuts officiels d'Autodelta en course (filiale sportive d'Alfa Romeo, Udine, Italie)

      En 1962, la firme Alfa Romeo conçut une série de voitures de sport qui se caractérisaient par un châssis tubulaire, une carrosserie en alliage léger, très étudiée du point de vue aérodynamique, et un moteur dérivé de celui de la Giulia. Le châssis était construit par Amhrosini de Passignano sur Trasimeno, la carrosserie par Zagato. Le montage de ces voitures, considérées de série mais destinées à une clientèle sportive, fut confié aux frères Chizzola, qui dirigeaient la succursale d'Alfa Romeo à Udine et qui constituèrent alors une société au nom de Delta. Pour des questions d'homonymie avec d'autres entreprises, la raison sociale fut modifiée quelque temps plus tard en Autodelta. Une petite série d'une centaine de voitures (nombre nécessaire pour obtenir l'homologation dans la catégorie sport) fut produite en 1963. Les modèles reçurent le nom d'Alfa Romeo TZ 1. En 1964, la grande firme italienne constitua, parallèlement à l'usine Autodelta, un centre chargé des activités sportives, dont la direction fut confiée à l'ingénieur Giorgio Valentini. En plus de la prise en charge des modèles élaborés par le service expérimental d'Alfa Romeo, le centre s'occupait de la préparation sportive des TZ de série, construites à Udine. Conçues par Alfa Romeo, montées à Udine et élaborées de nouveau par Alfa Romeo, les TZ étaient ensuite confiées aux écuries Santi-Ambroeus et Jolly Club, qui se chargeaient de les faire participer aux épreuves. Les débuts en compétition des TZ furent difficiles. Aux Douze Heures de Sebring, en 1964, l'Alfa Romeo TZ, pilotée par Sanesi, lut percutée par la Cobra de Bob Johnson et prit feu. Heureusement, Sanesi fut tiré des flammes par un autre pilote, Maggiaconio. Au cours de la même année, la TZ 1 participa à d'autres courses en catégorie sport, tels les Mille Kilomètres du Nürburgring et les Vingt-Quatre Heures du Mans, où elle s'adjugea la première place en catégorie 1600. A la fin de 1964, alors que le nombre des TZ montées à Udine avait dépassé les cent unités prévues, Alfa Romeo décida de constituer un département de courses autonome et choisit pour cela Autodelta. Celle-ci fut alors transformée en société par actions et transféra sa propre direction à Milan. Alfa Romeo voulait établir avec elle un accord de production et une collaboration sportive. De plus, Autodelta devait se charger de la mise au point des prototypes et jouer un rôle d'assistance. La construction des ateliers de la nouvelle société, dont la raison sociale ne fut pas modifiée, se termina dès les premiers mois de l'année 1965.

      Les débuts sportifs officiels d'Autodelta eurent lieu au mois de mars 1965, aux Trois Heures de Sebring. Les deux Alfa Romeo Giulia Super, conduites par Bussinello et De Adamich, qui y participèrent eurent des ennuis mécaniques. Les Français Rolland et Consten, qui coururent sur ces mêmes voitures aux Douze Heures de Sebring, connurent un plus grand succès puisqu'ils se classèrent premiers dans la catégorie 1600 GT. Cette même année, on vit participer aux Mille Kilométres de Monza une version modifiée et plus sportive de la TZ1, la TZ 2, dont la carrosserie était plus large, plus abaissée et plus carrée. Dans le même temps, la société mettait au point la Giulia grand tourisme A 1600, qui termina première de sa catégorie à la course de Trento-Bondone. En juin 1966, la société fusionna avec Alfa Romeo. Autodelta fut, dés lors, dirigée par son ancien conseiller technique, Carlo Chiti. Les activités d'Autodelta ne subirent pas de modifications profondes puisque la firme continua à préparer, mettre au point et faire participer aux épreuves sportives des modèles Alfa Romeo de tourisme, ainsi que des prototypes de la série 33 à partir de 1967. La première 33, dotée d'un moteur arrière à huit cylindres, de 2000 cm3, fit ses débuts en compétition à la course de côte de Fleron, en Belgique. En plus des modèles 33. la société développa la production des GTA. Outre la 1600, elle fabriqua la 2000, la 1300 Junior, la 1600 à quatre soupapes, et elle prépara des moteurs pour bateaux parmi lesquels celui issu de la 1600 à quatre soupapes. En ce qui concerne les résultats sportifs de ces diverses voitures, il faut mentionner les championnats européens de tourisme en catégorie 1600, gagnés par la GTA 1600 en 1966, 1967 et 1968. Le modèle 33 de 3 I participa à la course de Sebring en 1969. Puis elle obtint ses meilleurs résultats au championnat international des marques de 1971 en remportant les courses de Brands Hatch, de la Targa Florio et de Watkins Glen, et en se classant parmi les premiers aux autres épreuves. Pour améliorer les résultats obtenus en 1972, Autodelta présenta, en 1973, le prototype 33 TT avec moteur arrière à douze cylindres horizontaux opposés (boxer). La cylindrée de cette dernière voiture est de 2995 cm3, la puissance de 460 ch à 11 000 tr/mn.

      Débuts de Matra en compétition en Formule 3

      Jean-Luc Lagardère ; dirigeants Philippe Guedon, Jean-Louis Caussin, Enzo Garavelloni ; techniciens Georges Martin, Gérard Ducarouge, Jacky Petit, Bernard Boyer; chronométreuse Michelle Dubosc ; sponsor Elf (François Guiter) ; pilotes Jean-Pierre Beltoise, Jean-Pierre Jaussaud, Eric Offenstadt, Henri Pescarolo, Johnny Servoz-Gavin, Gerard Larrousse, Jean-Pierre Jarier ; MS 1 au GP de Monaco F3 (première F3 monocoque); Beltoise, Pescarolo et Servoz-Gavin ; première victoire à Reims le 1.7.1965 (Jean-Pierre Beltoise) ; MS5, monocoque en alliage léger, moteur Ford Cosworth 1.0 en F3 ou BRM et Cosworth en F2 ; 12 modèles construits de 1965 à 1967 ; Championne de France F3 3 ans de suite (1965-66-67, 40 victoires), Championne d'Europe F2 3 saisons consécutives (Jackie Stewart et Jacky Ickx) et au 24 h du Mans en 1966 ; Formule 2 : Champion d'Europe 1967-68-69 ; débuts 1966 ; Jacky Ickx Champion d'Europe F2 1967 sur Matra de l'écurie Tyrrell ; Jean-Pierre Beltoise champion en 1968, Johnny Servoz-Gavin en 1969 ; Formule 1 : 67 GP de 1968 à 1972, Champion du Monde 1969 ; Jackie Stewart Champion du Monde 1969 sur Tyrrell Ford de l'écurie Tyrrell ; Sport-Prototypes : Champion du Monde 1973-74, victoire au Mans 1972-73-74 ; 3 victoires de Henri Pescarolo avec Graham Hill puis Gerard Larrousse

      Rallye de Monte Carlo : 237 partants, 22 à l'arrivée ; l'épreuve est divisée en 3 tronçons : parcours de concentration, parcours commun et parcours complémentaire ; spéciale sur circuit remplacée par un "parcours complémentaire" (6 spéciales de nuit dont 3 passages au Turini et 2 dans la Couillole) ; 1er Timo Makinen (FIN) sur Mini Cooper S (remporte 3 des 5 tronçons chronométrés du parcours commun et 5 des 6 spéciales du complémentaire), devant la Porsche 904 GTS de Eugen Bohringer (D)

      Championnat du Monde des Voitures Prototypes Ferrari, Grand Tourisme Cobra ; Ferrari enlève quatre des six épreuves du championnat du monde d'endurance, Les 1000 km de Monza, la Targa Florio, les 1000 km du Nürburgring et les 24 Heures du Mans

      24 heures du Mans : Victoire des privés Masten Gregory - Jochen Rindt sur Ferrari 250LM P, 4677,11 kms à 194,88 km/h de moyenne

      24 heures du Mans : victoire des privés Masten Gregory - Jochen Rindt sur Ferrari 250LM P, 4677,11 kms à 194,88 km/h de moyenne ; c'est la neuvième et dernière victoire de Ferrari au Mans à ce jour

      1000 km de Paris :annulé

      Formule 1 : Jim Clark ; Champion constructeurs Lotus 25 / 33 Ford Climax FWMV 1.5 V8


      Formule 1 : Jim Clark ; Champion constructeurs Lotus 25 / 33 Ford Climax FWMV 1.5 V8 ; 2e titre mondial en F1 pou Jim Clark; en 1965, 6 victoires en 9 GP, victoire à Indianapolis ; 1ère victoire de Honda au GP du Mexique (Richie Ginther, dernière course de la F1 1500) ; 3e victoire de Graham Hill à Monaco

      Jim Clark vainqueur à Indianapolis sur Lotus 38

      Invention par Hub Van Doorne de la transmission à courroie métallique (CVT)

      1966 création d'un groupe de recherche et de mise au point ; 1972 naissance de la société Van Doorne's Transmission B.V. de Tilburg ; 1975 accord avec Fiat pour un développement sur la 131 ; 1977 deux prototypes Fiat 131 équipés du système prévu pour les 128 et Ritmo (Marelli-Fiat) ; 150 Ritmo équipées confiées à des clients-essayeurs ; 1979 prise de participation de Fiat de 24% dans la Société Van Doorne, à égalité avec Borg-Warner : 39% du capital à la famille Van Doorne, 12.5% au gouvernement hollandais (6.1979) ; 1983 retrait de Borg-Warner, rachat des parts de la famille Van Doorne par Volvo Hollannde (27%) (49% au gouvernement hollandais) ; Ford intervient comme partenaire technique et non financier ; 1988 fabrication à l'usine Ford de Bordeaux de 400 unités par jours (Livraison à Fiat, 5.1988)

      Luigi Chinetti (NART - North American Racing Team) amène le manufacturier Goodyear à la compétition

      Pneus à dessin asymétrique Michelin XAs

      Des ingénieurs français ont mis au point une pile à combustible (8)

      Abarth 1300 GT coupé ; 4 cylindres en ligne origine Simca 2ACT 1288 cm3 (76x71), 2 carbus Weber, 138 ch à 7400 tr/mn, 235 km/h, 635 kg, boite 6.

      Abarth OT 1000 coupé et spider Pininfarina ; 4 cylindres en ligne origine Fiat 982 cm3 (65x74), 1 carbu Weber, 65 ch à 6500 tr/mn, 680 kg, 175 km/h (1971-1971)

      Abarth OT 1300 ; 4 cylindres Abarth 1300 cm3, double arbre ; plate-forme Fiat 850, carrosserie fibre de verre, sauf premiers exemplaires aluminium

      Abarth OTR 1000 Coupé ; 4 cylindres en ligne origine Fiat 982 cm3 (65x74), 2 carbus Solex, compression 9,5:1, 74 ch à 6500 tr/mn, moteur arrière, disques AV, tambours AR, boite 4, 760 kg, 172 km/h

      AC 427 Frua Cabriolet ; exemplaires 29 cabriolets Frua 427 et 428. dont 12 LHD ; V8, 7010 cm3, 360 ch À 4600 tr/mn. (1967-1967)

      AC 428 Frua Convertible ; V8 Ford 6997 cm3, 1320 kg, 350 ch à 6000 tr/mn 1ACT, 4 roues indépendantes, boîte 4., 230 km/h (1973-1973)

      AC Cobra 289 Mark 3 roadster

      Alfa Romeo Giulia Sprint GTA ; culasse double allumage, 200 kg de moins que la Sprint GT normale ; carrosserie en Peraluman, alliage d'alu, zinc et manganèse, roues et autres pièces en Elektron ; 4 en ligne, 1570 cm3, 78x82, 9,7:1, 133 ch à 6000 tr/mn, 185 km/h, 850 kg (1970-1970)

      Alfa Romeo Giulia TZ, surnommée TZ-2 (première Giulia TZ en 1961) ; carrosserie fibre de verre, plus basse, châssis modifié, culasse double allumage ; essin Zagato, construction Autodelta ; 4 en ligne 1570, 78x82, 9,7:1, 120 à 160 ch à 6500 tr/mn, berlinette 2 places, châssis tubulaire fabriqué par la firme aéronautique Ambrosini, carrosserie aluminium dessinée et réalisée par Zagato, roues magnésium Campagnolo, 200 à 230 km/h, 640 kg (1966-1966)

      Alfa Romeo Spider GTC ; cabriolet 2 portes de Pininfarina, remplace la Giulietta Spider de 1955 ; surnommée Duetto en 1966 suite à un concours ouvert au public ; 1.6 103 ch ou 2.0 127 ch ; 27.347 exemplaires

      Alfa Romeo 2600 De Luxe berline OSI 6 cylindres (1968-1968)

      Alfa Romeo 2600 SZ au Salon de Francfort (Sprint Zagato) ; coupé deux portes ; 6 en ligne, 2584 cm3 (83x79,6), 9:1, 145 ch à 5900 tr/mn, 2 ACT, 3 carbus double corps, boîte 5, 210 km/h, 1140 kg (1968-1968)

      Allis-Chalmers (Etats-Unis)

      Allis-Chalmers, chariot à fourche et golf-cart à pile à combustible


      La Société américaine Allis-Chalmers vient de réaliser pour expérimentation le premier véhicule électrique à pile à combustion comme source d'énergie. Il s'agit d'un "golf-cart" ou voiturette à 3 roues pour terrains de golf d'un type classique aux Etats-Unis (1) dans lequel les batteries d'accumulateurs classiques ont été remplacées par une pile à combustion que l'on aperçoit à l'arrière sur la figure 1. On sait que la pile à combustion (en anglais "fuel-cell") mise au point par la GeneralElectric Company équipait le véhicule spatial "Gemini" Mac Donnell lors du vol mémorable de Conrad et Cooper en août dernier (190 heures 30 en vol orbital ; distance parcourue 5.343.000 km !). Les batteries d'accumulateurs "Eagle Picher" argent/zinc (au nombre de sept) n'étaient prévues que comme "secours" alors que ces seules batteries équipaient "Gemini IV" pour un vol spatial de courte durée. (2) Les deux piles à combustion G.E. de "Gemini V" étaient capables de produire plus de 2 kilowatts en régime de "pointe" et ne pesaient que 31 kg chacune !... sous une tension de 26,5 à 23,3 V. Le combustible consistait en 6,8 kg d'hydrogène et 16,7 kg d'oxygène sous pression. Chaque pile comprenait 32 cellules branchées en série. Nous en donnerons la description détaillée dans un très prochain article car cette conception révolutionnaire d'un générateur électrique à grande puissance massique intéresse tous les électriciens d'automobiles pour les véhicules de demain.

      (...) Comme on peut le constater, les choses vont très vite aux U.S.A. du fait de la "course à la montre" engagée avec l'U.R.S.S. pour la conquête de la Lune où la pile à combustion va trouver de nombreuses applications de véhicules électriques spéciaux (fig. 2), alimentation des laboratoires et stations lunaires mobiles et fixes, habitats, etc. Russes et Américains ont déjà étudié et mis au point ces ensembles d'avant-garde qui font avancer la technique à pas de géant et dont toute l'industrie sera bénéficiaire sur notre terre, d'ici quatre ou cinq ans. C'est ainsi que, sans perdre de temps, ALLIS-CHALMERS expérimente déjà des tracteurs, des postes mobiles de soudure électrique par points et des chariots élévateurs de manutention dans lesquels la pile à combustion constitue la source d'énergie électrique, aux lieu et place des lourds et encombrants accumulateurs classiques avec la sujétion de leurs recharges périodiques. Ainsi, l'ère de la Pile à combustion est déjà commencée. (1) Le véhicule électrique à 3 roues (roue avant directrice) dit "golf cart" est très employé aussi pour les déplacements des visiteurs et des employés supérieurs dans les vastes usines américaines, ainsi que par les présidents des Etats-Unis pour leurs déplacements dans leurs ranchs et terrains de golf. Venant de visiter à Toulouse les immenses usines de Sud-Aviation où se construit avec ardeur le sensationnel "Concorde" en pool avec la B.A.C. britannique, nous-mêmes aurions bien apprécié un tel véhicule pour parcourir ces immenses bâtiments : salle des dessins géante multiples laboratoires d'essais des structures, ateliers, etc. N'ayant plus hélas ! nos jambes de 20 ans... (2) Nos relations personnelles avec M. Donnell, constructeur "Gemini", nous ont permis d'apprendre que Gemini VI (qui n'a pu remplir sa mission le 25 octobre dernier du fait de la défaillance de la fusée "Atlas° lanceuse de "l'Agena" du rendez-vous spatial) ne comportait pas de piles à combustion mais 10 batteries argent/zinc dont des 400 Ah... Ceci en attendant la parfaite mise au point des piles à combustion qui vont bénéficier de l'expérience acquise dans le vol spatial de "Gemini VI", rappelé plus haut. (AutoVolt, novembre 1965, Henry LANOY, Lauréat de l'Académie des Sciences).

      Alpina Burkard Bovensiepen GmbH+Co (Allemagne - Buchloe)

      Alpine Renault A 110 1500 berlinette ; 4 en ligne, 1470 cm3, 76x81, 8,6:1, 70 ch à 6500 tr/mn, 190 km/h, 550 kg (1967-1967)

      Alvis TF, coupé 2 portes 2+2 ; 6 cylindres en ligne, 2993 cm3, 84X90, 152 ch à 4750 tr/mn, 185 km/h, 1524 kg (1967-1967)

      AMC Cavalier


      ASA 1000 GTC ; 1070 cm3, l'une des deux avait une carrosserie en fibre de verre.

      ASA 411 Berlinetta au Salon de Paris ; 1000 GT avec carrosserie en aluminium et moteur de 1092 cm3, 104 ch à 7500 tr/mn

      Asia (Coree du Sud) (1999-1999)

      Aston Martin DB 5 (Aston Martin Lagonda Ltd)

      Aston Martin DB5 "Shooting Brake" (Harold Radford)

      Aston Martin DB5 Volante (châssis court) ; "vraie" Volante DB6 présentée au salon de Londre 1966 ; 6 cylindres 3995 cm3 286 ch à 5500 tr/mn, 2ACT 3 carbus SU, 240 km/h, 1474 kg, boîte 5 ou automatique (1966-1966)

      Aston Martin DB6 au Salon de Francfort ; coupé 2 portes, dessin de Williams Towns, arrière retravaillé pour améliorer l'habitabilité au niveau des places arrière ; 6 cylindres en ligne en position longitudinale avant, 3995 cm3 (96x92), compression 8,9:1, 282 ch à 5500 tr/mn, 38,6 mkg à 4500 tr/mn, deux arbres à cames en tête, 2 soupapes par cylindre, trois carburateurs SU HD8 (carburant: essence plombée) ; transmission aux roues arrière, boîte de vitesses manuelle 5 vitesses ZF ou automatique Borg-Warner type 8 en option ; plate-forme caissonnée avec treillis tubulaire acier, carrosserie aluminium (système Superleggera) ; suspension avant à roues indépendantes par triangles superposés, ressorts hélicoïdaux et amortisseurs hydrauliques, essieu arrière rigide suspendu par ressorts hélicoïdaux, amortisseurs hydrauliques à levier, direction à crémaillère, pneumatiques: 6.70 x 15 ; 4 disques, assistance de freinage ; longueur 4620 mm, largeur 1680, hauteur 1340, empattement 2490. voies AV/AR 1370/1360, poids à vide 1574 kg ; 240 km/h, 15 litres/100 km ; 1 330 exemplaires ; cabriolet Volante, 36 exemplaires (7 à conduite à gauche) (1969-1969)


      Audi (Allemagne) ; August Horch fonde la August Horch Automobil Werke en 1909, immédiatement rebaptisée Audi Automobilwerke GmbH (Horch signifie écoute en allemand, nom repris en latin pour former Audi) ; la firme intègre Auto-Union en 1932 qui se lie à Volkswagen en 1965, le nom d'Audi étant alors repris ; le sigle est constitué de 4 anneaux entrelacés, Auto-Union réunissant Wanderer, Horch, DKW et Audi en 1930 ; Audi s'associe avec NSU en 1969 ; Ferdinand Piech prend la présidence d'Audi en 1988


      Audi L

      Avanti Avanti (1989-1989)

      Avanti Motor Corporation (Studebaker - Etats-Unis)

      Banshee

      Bendix Corporation SLRV (Etats-Unis) ; NASA - Surveyor Lunar Roving Vehicle

      Bentley T1 (Rolls-Royce Silver Shadow) ; V8, 6230 cm3 (6750 cm3 pour l'export, mais généralisé à partir de 70), 9:1, boîte auto 4 rapports (3 pour export USA/Canada). 4 disques. 190 km/h, 2100 kg (1977-1977)

      BMW 2000 C 100 ch automatique Coupé (1969-1969)

      BMW 2000 CS 120 ch Coupé (1969-1969)

      BMW 700 LS coupé

      Bristol 409 (1967-1967)

      Cadillac Calais Coupé (1975-1975)

      Cadillac DeVille Convertible (1970-1970)

      C.D. (France) ; Charles Deutsch (1966-1966)

      C.G. (France - Brie Comte Robert) ; Chappe, Gessalin et Durand (1974-1974)

      Chaparral : 1ère victoire en catégorie Sports d'une boîte de vitesses automatique aux 12 h de Sebring, 27.3.1965 (moteur Chevrolet)

      Chevrolet Caprice (1996-1996)

      Chrysler 300L ; coupé 2 portes ; V8, 340 chevaux.

      Citroën Ami Break 6 (1967-1967)

      Citroën DS 19 Pallas liquide rouge (1966-1966)

      En avance du Salon 1964, la firme apporte encore une variante à la famille DS sous la forme du haut de gamme "Pallas" d'aspect plus cossu : grands enjoliveurs, phares à iode, baguettes de caisse, habillage intérieur plus rembourré disponible en cuir sur option. L'emploi d'un liquide hydraulique incolore LHS 2 au lieu du rouge termine cette période de renouveau. La gamme DS présentée en septembre 1965 se veut plus musclée, la DS 19 reçoit un moteur de 90 ch mais surtout apparaît une autre version, la DS 21. La DS 21 développe 109 ch réels pour 12 cv fiscaux, et 2 175 cm3, elle est capable de rouler à 175 km/h. élle restera longtemps à l'apogée des voitures françaises. Pour elles, Michelin a mis au point un nouveau type de pneus radiaux, les XAS, au dessin asymétrique, si parfaitement adaptés à la Citroën qu'ils lui permettront de repousser encore plus loin les limites de ses qualités routières. La DS 21 reste disponible jusqu'en 1972, en finition normale et en Pallas bien sûr.

      Citroën DS 21 ; 12 CV, 2175 cm3, 109 ch SAE puis 115 à partir de 1968 ; 1967 double phares tournants (en option sur DS et ID 19) ; Citroën DS 21 Injection en 1970 (1970-1970)

      Citroën, nouveaux camions 350 et 600 à cabine suravancée

      Cournil JA1 à moteur Diesel Leyland, plus puissant, et premier pont autobloquant

      Daihatsu Compagno Spider (1970-1970)

      De Tomaso Vallelunga ; première voiture d'Alessandro de Tomaso ; berlinette à moteur Ford 1600 135 ch (Cortina Lotus) monté au milieu, entre les sièges et le pont arrière, carrosserie Ghia ; Ford 1600 135 ch ; 4 cylindres en ligne 1499 cm3 (80,96x72,7) 120 ch à 6000 tr/mn, compression 10,3:1, 660 kg, 206 km/h (1966-1966)

      Dino (Ferrari - Italie - Turin / Maranello)

      DKW F102

      Ferrari Dino 206 S/P ; compétition-client, prévue en 50 exemplaires pour homologation en catégorie "Sport" ; moteur Colombo ; 16 ex. ; V6 Ferrari 227 L (Colombo) 1987 cm3 (86x57) 10.8:1, tout alliage, 2 ACT entraînés par chaîne, 3 carbus double corps 40 DCN 15 (certaines équipées ultérieurement de l'injection Lucas) 10,8:1, 2 soupapes/cylindres pour type 227L, 3 pour 231 et 231 B, 218 ch à 9000 tr/mn, boîte 5, chassis semi-monocoque sur cadre tubulaire, 4 disques Girling ventilés, roues Campagnolo magnésium, 654 kg Carrosserie par Carrozzeria Auto-Sport (Piero Drogo). (1967-1967)

      Ferrari Dino 206 GT Speciale PininFarina, prototype sur base Dino 206 S de compétition au Salon de Paris ; moteur central-arrière longitudinal Dino V6 à 65°, 2000 cm3 (86x57) dérivé du 1500 cm3 de formule 1 de 1961, 180 ch (en fait la version 206 P "Montagne" 65 "dégonflé"), double allumage, 3 Weber double corps de 40 mm, boite Ferrari 5 rapports, freins suspendus à l'AR, empattement 2280 mm ; base à la future Dino 206 GT

      Ferrari 275 GTB/2 (série 2, Salon de Paris) (1966-1966)

      Ferrari 275 GTB/C (Competizione - 2) ; V12 tipo 213, 3,3 litres tout alliage, 6 carbus Weber, carter sec, arbre à cames plus pointus, soupapes de LM, carrosserie allégée en alu par Scaglietti, , carter sec. (1966-1966)

      Ferrari 275 P2

      Ferrari 330 GT 2+2 série 2 à simples phares à la mi-1965 ; boîte à cinq vitesses, roues alliage léger, inspirées de la Formule 1, au lieu des Borrani à rayons (celles-ci restant disponibles sur option) ; butoirs de pare-chocs et nouveaux aérateurs latéraux à trois ouïes qui seront également adoptés en octobre par la 500 Superfast et la 275 GTS (1967-1967)

      Ferrari 330 P2 ; V12 4 litres

      Ferrari 500 Superfast (série 2) ; V12 88x68, 4963 cm3, 2 ACT, 3 crabus Weber double-corps 40DCZ/6, 400 ch à 6500 tr/mn, châssis tubes d'acier, roues Borani à rayons, 4 disques, 1530 kg (1966-1966)

      Ferves (FERrari VEicoli Speciali - Italie) (1970-1970)

      Ford Corsair (1970-1970)

      Ford Mustang Fastback (série 2) ; V8, 289 CI 200, 225 ou 271 ch (1966-1966)

      Ford Mustang Shelby 350 GT V8 (série 2) ; 289 ci (4,7l), 360 ch (1966-1966)

      Ford Taunus 12 M P4 (Ford D) ; vilebrequin en acier, à 3 paliers, entraînant un arbre compensateur, 2 paliers, disposé latéralement, calé par rapport au vilebrequin

      Ginetta G10

      Glas coupé 2600 V8 au Salon de Francfort ; style Pietro Frua, surnommé Glaserati par dérision (Maserati du pauvre) ; V8 constitué de deux 4 cylindres en ligne 1300 cm3 issus de la Glas 1304, 2562 cm3 (75x73), compression 9.2, 150 ch à 5600 tr/mn, 20.7 mkg à 4500 tr/mn, 1 ACT par rangée de cylindres, entraîné par courroie crantée en néoprène armé, soupapes en tête inclinées à 30° en V, 1800 kg, 200 km/h ; BMW achète Glas en 1966 et intègre la 2600 V8 à sa production, devenue 3000 V8 (160 ch, 400 exemplaires seulement) (1968-1968)

      Honda S600 ; cabriolet, transmission par chaîne (1966-1966)

      Honda S800 ; coupé, 4 cylindres 2 ACT, 793 cm3, 80 ch à 8000 tr/mn, transmission par chaîne (1970-1970)

      Innocenti 850 ; Mini Cooper fabriquée sous licence (1974-1974)

      Iso Grifo GL 300 et GL 365 (moteur Chevrolet 300 ch ou 365 ch)

      Iso Rivolta coupé IR 340/4 ; 4 Weber, 340 ch (1969-1969)

      Jaguar Mark X, 4,2 l. ; 6 en ligne, 4235 cm3, 92x106, 8:1, 265 ch à 5400 tr/mn, 195 km/h, 1860 kg (1966-1966)

      Jeep Gladiator, Jeep Super Wagoneer, Jeepster Commando

      Jensen cabriolet P 66, Interceptor et FF au Salon de Londres ; carrosseries dessinées par Jensen

      Jensen CV-8 Mk III ; coupé 2 portes ; V8, 6276 cm3 (107,9x85,5), 335 ch à 4600 tr/mn, 225 km/h, 1525 kg (1966-1966)

      Jensen FF (CV-8 FF) ; 4 roues motrices et antiblocage de roues ; 387 exemplaires

      Lancia Flaminia 2800 Coupe (1969-1969)

      Larc, amphibie à quatre roues motrices ; réalisé en deux versions, l'une légère, d'une charge utile de 5 t, l'autre lourde, d'une charge utile de 15 t. ; les vitesses respectives sur l'eau sont de 20 et de10 km/h

      Lotus Elan Coupé (série 3) ; 4 cylindres (base Ford), 2ACT, 106 ch à 5500 tr/mn, 1558 cm3 82,55x72,75 105 ch à 5700 tr/mn. (1968-1968)

      Luaz 969 A ; moteur avant longitudinal, V4 refroidi par air, 1197 cm3 (76x66), 40 ch DIN à 4600 tr/mn, 6 mkg à 2800 tr/mn, compression 7.2, vilebrequin à 3 paliers, arbre à cames central, carburateur inversé ; 4 roues motrices, boîte de vitesses à 4 rapports ; châssis longerons, roues avant indépendantes (barres de torsion), roues arrière indépendantes (barres de torsion), direction à vis et galet, pneus 155x13, freins à tambours avant et arrière ; longueur 3.39 m, largeur 1.77, hauteur 1.78, empattement 1.80, poids 980 kg, 85 km/h ; apparition du sigle LUAZ en 1970


      Marcos 850 GT (Mini Marcos) ; repris par Fibreglass Develomments (500 exemplaires) ; 4 cylindres en ligne origine Austin, 62,9x68,26, 848 cm3, compression 8,3:1, 1 carbu SU, 34 ch à 5500 tr/mn, 483 kg ; version course classée au Mans 1966 (1974-1974)

      Maserati A6 GCS

      Maserati Ghibli (tipo 115) ; coupé, dessin de Giugaro, carrosserie Ghia ; V8 à 90 ° 93,9x85 4719 cm3 340 ch à 5500 tr/mn 280 Km/h 1850 kg (1973-1973)

      Maserati Mexico 4.2 ; moteur de la Quattroporte (1967-1967)

      Maserati Mistral 4000 GTI (tipo 109 A1) ; 6 cylindres 4012 cm3 255 ch à 5500 tr/mn 2ACT inj. Lucas, 1450 kg Boite 5 vitesses ZF (automatique sur option)., 245 km/h (1970-1970)

      Maserati Sebring 3700 GTIS (2) ; 3692 cm3, 245 ch à 5500 tr/mn. (1967-1967)

      Maserati Tipo 65

      Matra-Bonnet Djet V (ex-René Bonnet) ; moteur 1108 70 ch ; carrosserie légèrement plus longue profitant au coffre et meilleures finitions ; 4 cylindres en ligne 1108 cm3, 70 ch à 6000 tr/mn, 8,5 mkg à 4500 tr/mn, 175 km/h ; Jet 5 au Salon de Paris 1966 (1968-1968)

      Matra-Bonnet Djet V S ; moteur Gordini 1255 cm3 94 ch ; Jet 6 au Salon de Paris 1966 (1968-1968)

      Mazda Familia Coupe (1970-1970)

      Mazda R16A, prototype à 4-rotors (1970-1970)

      MEP (Maurice Emile Pezous - France) (1975-1975)

      Mercedes 250 S (108 012) ; 6 cylindres en ligne, 1 ACT, 2496 cm3, 2 carburateurs, 130 ch, boîte 4 mécanique ou auto, 1500 kg, 180 km/h (1969-1969)

      Mercedes 250 SE (108 014) ; 6 cylindres en ligne 2496 cm3, injection mécanique, 150 ch, 22 mkg, 1510 kg, 190 km/h (1968-1968)

      Mercedes 250 SE Cabriolet ; 6 en ligne 2496 cm3, 82x79, 150 ch à 5500 tr/mn, 9,3:1, 1575 kg 190 km/h (1967-1967)

      Mercedes 600 Coupe

      Mercedes W110 Station Wagon

      MG MGB coupé Gran Turismo (MGB GT) ; 4 cylindres en ligne 1798 cm3 (80,26x89), 95 ch à 5400 tr/mn, un carbu Weber double-corps, coque autoporteuse, disques AV, tambours AR, roues rayons Rudge (1980-1980)

      MG B Coupé fastback 2 portes à hayon arrière ; 4 cylindres en ligne 1798 cm3, 95 ch à 5500 tr/mn, moteur 5 paliers, 970 kg, 175 km/h (1966-1966)

      Minisprint (Geoff Thomas - Grande-Bretagne) (1966-1966)

      Moretti Coupe (1970-1970)

      Moretti S Coupe

      Moskvitch G5 1965, 8 cylindres, 200 ch à 10 500 tr/mn


      Nissan Bluebird 1300 (1967-1967)

      Nissan President (1973-1973)

      NSU 1000 TT ; coach 55 ch; en 1969, 1200 TT 65 ch (1969-72) et 1000 TTS 70 ch (1969-71)

      NSU 1200 C

      NSU Autonova GT

      Opel Kadett B ; fastback et coupé (1973-1973)

      Opel Admiral A ; 6 cylindres, 2784 cm3, 125 ch à 4800 tr/mn, 170 km/h (1968-1968)

      Une nouvelle version de la grosse Opel Kapitän a été présentée en 1964. La nouvelle gamme Opel s'était enrichie entre autres de l'Admiral. La calandre massive s'ornait de phares anguleux l'empattement passait à 2845 cm et la longueur hors-tout à 495 cm. Au fil des ans l'Opel Admiral a été remise au goût du jour.

      Otosan/Sanoto - Otomobil Sanayi ( Ford Motor Company and Koc Holding - Turquie - Istanbul)

      Panhard 24 B, présentée dans le parc du pépiniériste Truffaut à Versailles ; moteur M8N: 2 cylindres boxer 848 cm3, 8,2:1, 42 ch à 5250 tr/mn, 140 km/h © ou 135 kmh (B et BA), 875 kg

      Panhard 24 BT 60 ch ; 2 cylindres boxer 848 cm3, compression 8,2:1, 60 ch à 5750 tr/mn, 875 kg, 150 km/h (1967-1967)

      Peugeot 204 ; 1ère voiture particulière à traction avant Peugeot ; 1ère voiture française à bloc alu ; 4 cylindres 6 CV 1130 cm3 58 ch (1976-1976)

      Peugeot 404 à boîte automatique en option

      Peugeot 404 Diesel 1948 cm3 60 ch

      Peugeot J7 (1980-1980)

      Pontiac Catalina

      Porsche 911 Targa ; 6 cylindres boxer 1991 cm3, 9:1, 148 ch à 6100 tr/mn, 210 km/h, 1080 kg (1969-1969)

      Porsche 912 ; 911 à mécanique 1600 cm3 ; 4 cylindres boxer de la 356 légèrement modifié, compression 9:1, 90 ch à 5800 tr/mn, 12,4 mkg à 3500 tr/mn, 995 kg, 210 km/h (1970-1970)

      Rambler : abandon du bloc en alliage léger pour la fonte mince (épaisseur 2.5 à 3 mm) ; gain de 10 kg ; coût inférieur

      Renault Caravelle 1100 S cabriolet (1968-1968)

      Renault 8 Gordini 1108 (2 phares) ; 4 cylindres 1108 cm3 (70x72), compression 10.4, 95 ch SAE à 6500 tr/mn, 10 mkg de 4000 à 6000 tr/mn, culasse à chambres de combustion hémisphérique en alliage léger, 2 carbu double corps Solex C 40 PHH, distribution AOA 31° RFA 61 AOE 62 RFE 26, levée soupapes 8.94/8.43, boîte 4 ; 795 kg, 170 km/h, 400 mDA 18", 1000 mDA 33" (1970-1970)

      Renault 8 Gordini 1255 ; 1255 cm3 (74.5x72), compression 10.5, 103 ch SAE à 5000 tr/mn (110 ch SAE ancienne norme), 11.9 mkg à 5000 tr/mn, 2 carbu double corps Weber 40 DCOE, distribution AOA 31° RFA 61 AOE 62 RFE 26, levée soupapes 8.94/8.43 ; 850 kg, 175 mm/h, 1000 mDA 31"9 (1970-1970)

      Renault 10 ; R8 avec parties avant et arrière allongées et équipement spécifique plus luxueux ; 687.675 exemplaires (1972-1972)

      Renault 16 ; première berline bicorps de grande série, hayon arrière ; 4 cylindres en ligne 1 470 à 1 647 cm3, 55 à 93 ch, 144 à 171 km/h ; 1 846 650 exemplaires (1979-1979)


      A l'aube des années soixante, le constructeur Renault s'impose plus que jamais comme le spécialiste de la voiture populaire. La 4 L a su prendre le relais de la 4 CV et part pour une longue carrière, alors que la R8 compte parmi les petites familiales les plus vendues. A une époque où le pouvoir d'achat progresse comme jamais, la Régie ne peut se cantonner dans ce seul créneau et doit attirer une nouvelle clientèle avec une berline plus ambitieuse. Sous l'influence de son PDG, Pierre Dreyfus, Renault va faire preuve d'une rare audace on proposant une voiture inédite, à mi-chemin entre le break et la berline. Produite dans la toute nouvelle usine de Sandouville, la R16 est moins révolutionnaire que ne le furent, en leur temps, les Citroën Traction et DS. Elle n'en marque pas moins une étape importante dans l'histoire de l'automobile moderne (traction avant, freins à disque). Elle affiche aussi une ligne totalement originale avec sa carrossante bicorps et son habitacle modulable. Le hayon arrière, (vite rebaptisé "cinquième porte" pour gommer l'aspect utilitaire), conjugué à une banquette rabattable, permettait, pour la première fois, de transporter des objets encombrants dans une simple berline. Cette silhouette inhabituelle lui vaut de gentils quolibets comme "utilitaire" ou "grosse 4L"... Ils vont bientôt s'estomper face au succès. Intelligente et pratique, la R16 est parfaitement adaptée à un temps qui voit se développer les loisirs, les résidences secondaires et leur cortège de meubles anciens, de bicyclettes et autres ustensiles de jardinage... Rapidement assimilée au paysage automobile, la première "voiture à vivre" fait école et sera tout aussi vite "copiée" par la plupart des constructeurs.

      René Bonnet Djet IV ; 4 cylindres en ligne 1108 cm3 à 2 ACT, 100 ch à 6500 tr/mn ; châssis tubulaire noyé dans carrosserie coque en polyester

      René Bonnet Missile II ; 4 cylindres en ligne, 845 cm3 (58x80), compression 9:1, 55 ch à 5200 tr/mn, 160 km/h

      Riley Kestrel (1969-1969)

      Rolls Royce Silver Cloud III ; présentation octobre 1962 ; V8 à,90°, 6230 cm3, 104,1x91,4, 9:1, 2 carbus SU, 220 ch à 4000 tr/mn, boite auto à 4 rapports, 2060 kg, 185 km/h, 4 tambours servofrein mécanique. (1971-1971)

      Rolls Royce Silver Shadow I ; première Rolls Royce à coque autoporteuse ; V8 6230 cm3 104,4x99, 9:1, 2 carburateurs SU, 220 chevaux, boîte auto 3 rapports, coque autoporteuse, 4 disques 3 circuits de freinage avec servo-assistance, 4 roues indépendantes, correcteur d'assiette. Vitres, sièges, ouverture du réservoir d'essence, antenne, air conditionné, boite de vitesse commandés électriquement. (1971-1971)

      Rover-BRM à turbine aux 24h du Mans

      Saab 96 Sport 850 cm3 ; aussi appelée Monte Carlo (victoires de Carlsson 1962 et 1963), 55 ch, 3 carburateurs Solex, système Autolub, boîte 4, freins à disque à l'avant

      Saab MC 850

      Saab Sonett III dessin Sergio Coggiola) (1970-1970)

      Serenessima (comte Volpi, Sasamotor - Italie - Modène) (1966-1966)

      Shinjin Motor Co (futur Daewoo, Corée) produit des voitures Toyota

      Singer Vogue 1592/1725 cm3 limousine (1966-1966)

      Skoda 1000 MB à moteur arrière

      Sovam 850 VS et 1100 VS au Salon de Paris ; moteur stage B 70 ch sur 1100 VS

      Suzuki Fronte 800 (1970-1970)

      Toyota 2000 GT ; première sportive japonnaise en série


      Triumph Spitfire Mk II ; 4 cylindres 1147 cm3, 67 ch, 150 km/h ; 37 409 exemplaires (1967-1967)

      TVR Trident

      Viking (Grande-Bretagne - Ile de Man) (1967-1967)

      Volkswagen Coccinelle : 10.000.000e produite, 1.000.000 par an depuis 1962

      Volkswagen 1600 (1973-1973)

      Volvo 122 S

      ZAZ 966 Zaporojetz ; berline 3 portes ; prototype en 1961 (750 cm3 de 30 ch), sortie en série en 1965 ; V4 refroidi par air, 887 cm3 (75x54.5), compression 6.5, 27 ch DIN à 5600 tr/mn, 5.3 mkg à 2400 tr/mn, arbre à cames central, carburateur inversé ; tout à l'arrière, boîte 4 vitesses, 1ère non synchronisée, levier au plancher ; suspensions à triangles superposés avant (barres de torsion), roues arriiè indépendantes (ressorts hélicoïdaux), direction à vis et galet, freins à tambours ; longueur 3.73 m, largeur 1.64, hauteur 1.37, empattement 2.16, poids 780 kg ; pneus 5.20x13, 100 km/h (1972-1972)


      ZAZ 966-V Zaporojetz, berline 3 portes ; V4 refroidi par air, 1196 cm3 (76x66), compression 7.2, 40 ch DIN à 4400 tr/mn, 7.8 mkg à 2900 tr/mn, arbre à cames central, carburateur inversé ; tout à l'arrière, boîte 4 (1ère non synchronisée), 4 roues indépendantes, ressorts hélicoïdaux, pneus 5.20x13 ; longueur 3.73 m, largeur 1.54, hauteur 1.37, empattement 2.16, poids 780 kg 110 km/h (1972-1972)


      Prototype en 1961, sortie en série en 1965. Nouvelle carrosserie, plus longue de 40 cm. Elle reproduisait les lignes esthétiques de la berline 2 portes NSU Prinz 4 avec des détails esthétiques de la Ford Falcon, comme, par exemple, le montage des feux de signalisation avant, la ligne des flancs et les deux protubérances en forme de cigare qui se terminaient à l'arriére par les feux arrière. Ce modèle était équipé d'un moteur 750 cm3 de 30 ch et de suspensions avant et arrière modifiées. Moteur 750 cm3 puis 900 et 1200 en 1966. Sa carrosserie était caractérisée par une habitabilité améliorée et par un espace suffisant pour les bagages, espace qui était totalement inexistant dans le modèle antérieur. Parmi les accessoires de série particulièrement appréciés du public russe, il y avait un chauffage puissant, la radio, le cendrier et l'allume-cigare. La dénomination de cette voiture était ZAZ 966 B. Du point de vue mécanique, il est intéressant de noter que les suspensions avant étaient dotées de ressorts supplémentaires hélicoïdaux en plus des barres de torsion, tandis que les suspensions arrtere étaient à bras oscillant longitudinal et leur comportement était décidément meilleur que celui des suspensions précédentes à bras transversal (dont le dèbattement faisait varier considérablement le carrossage).
BdA 2011

L'automobile en 1966

      Ralph Nader attacked certain US built cars as being unsafe

      This led to president Johnson approving a "Safety Act" in September 1966. Also, the Clean Air Act called for certain standards in relation to carbon monoxide and un-burned hydrocarbons in exhaust gases. The deadline to comply was January 1st 1968

      Annonce de la fusion entre BMC (British Motor Corporation) et Jaguar pendant l'été 1966

      BMW achète Glas en 1966 et intègre la 2600 V8 à sa production, devenue 3000 V8

      Exposition en Suisse des Citroën 2 CV du concours "Hobby".

      Dino : Ce vocable avait d'abord désigné un moteur à six cylindres en V de 2 litres destiné à la Formule 2, puis devient une marque sous laquelle Ferrari distribue ses voitures à moteur central qui ne sont pas équipées de V12, entre 1966 et 1977. Dino était le diminutif du fils d'Enzo, Alfredo, dit Alfredino, né en 1931 et décédé d'une néphrite virale à l'âge de vingt-quatre ans. Il avait été à l'initiative du V6 2 litres de Formule 2 et avait participé à son développement avant sa disparition. Le V6 qui équipe les premières Dino, les 206 et 246, en reprend le concept.

      L'avvocato Gianni Agnelli (1921, petit-fils de Giovanni) prend la présidence de Fiat ; il est vice-résident en 1945, administrateur délégué du groupe en 1963 ; son frère, Umberto Agnelli, est vice-président en 1970 (il assura la direction de la Juventus de Turin)

      Création de l'usine Lotus à Hethel par Anthony Colin Bruce Chapman ; ancien aérodrome militaire désaffecté

      Création de la holding Peugeot SA ; François Gauthier est le premier PDG qui ne soit pas issu de la famille Peugeot

      Rallye de Monte-Carlo ; triplé des Mini Cooper avec Timo Makinen, Rauno Aaltonen et Paddy Hopkirk mais voitures mises hors course pour éclairage non conforme ; vainqueur, la Citroën DS 21 de Pauli Toivenen, jamais classé dans les 3 premiers dans aucune des spéciales disputées

      Renault créé la Coupe R8 Gordini, qui fut suivie des Coupes R12 Gordini, R5 puis de la Coupe Clio sous la direction d'Alain Bertaut (responsable sportif) et Claude Hénaut (responsable technique)

      Epreuves sur circuit (points pour le Premier Pas Dunlop), rallyes et courses de côte ; le vainqueur gagne un volant pour débuter en Formule Renault ; 1966 60 inscrits, 1ère épreuve à Pau (04) ; vainqueur Jimmy Mieusset, 1er Pas Dunlop D. Dayan ; 1968 organisation d'épreuves de sélection devant le nombre élevé d'inscrit ; 1970 286 inscrits pour 60 places, 4 jours d'épreuves de sélection sur le circuit Bugatti ; devenue R 5 LS kitée puis 5 Alpine, 5 Alpine Turbo en 1982, Super 5 GT Turbo Coupe en 1985 (1400 115 ch). Ces formules de promotion eurent un effet stimulant sur le sport automobile français. Des pilotes tels que Jean-Pierre Jabouille, Jean-Pierre Jarier, Michel Leclère et Jean Alesi y firent leurs premières armes.

      Championnat du Monde des Voitures Prototypes Porsche, Grand Tourisme Porsche ; Les Ferrari 330 P3 décrochent les 1000 km de Monza, et Spa-Francorchamps, mais c'est Ford qui remporte le titre avec ses GT40 qui remportent Sebring, Daytona et, surtout, les 24 Heures du Mans pour la première fois ; après le retrait de Ferrari de cette discipline, ce sont des écuries privées qui les engagent, et qui reçoivent l'aide de Maranello.

      24 heures du Mans : 1er Bruce McLaren - Chris Amon sur Ford GT40 Mk.II P, 4843,09 kms à 210,795 km/h de moyenne ; 20 m séparent les Ford de Bruce Mc Laren-Chris Amon et de Ken Miles-Dennis Hulme ; début de la domination Ford aux 24 heures du Mans ; triplé Ford

      Il fallait s'y attendre: Ford a pris soin de monter son coup tranquillement, désormais, il convient de récolter l'investissement. La "J" a fait ses premiers pas, une MK Il à boîte automatique a été testée, sans doute pour répliquer à GM qui équipe les deux Chaparrall. Mais en juin, Ford aligne 5 MK Il à moteur 7 litres (475 ch) et 5 GT 40 à moteur 4,7 litres. Le duel avec Ferrari, qui aligne 3 P3 à moteur V 12 et une escouade P2/P3 de 4,4 litres, s'annonce passionnant. Aux essais, la meilleure MK II pulvérise les records avec un tour à plus de 230 km/h de moyenne ! Le ton est donné et les Ferrari y laisseront plus que des plumes. Avec McLaren-Amon, Miles-Hulme et Bucknum-Hutcherson, Ford signe le triplé gagnant devant... quatre Porsche 906/6 ! La première Ferrari est 8e. La revanche qui se joue en 1967 est plus équilibrée puisque la Ford MK IV de Gurney-Foyt devance les deux Ferrari P4 de Scarfiotti-Parkes et de Mairesse-Beurlys précédant elles-mêmes l'autre MK IV de McLaren-Donohue. Avec un temps idéal en ce début juin, les records sont tombés drus : les trois premiers ont couvert une distance supérieure à 5 000 km et la Ford des vainqueurs a tourné à plus de 218 km/h de moyenne ! En septembre 1968, on revient à des normes moins extravagantes: les législateurs ont enrayé l'hémorragie de centimètres cubes ce qui permet à Porsche de prendre place dans la liste des favoris... en l'absence des prototypes Ford et Ferrari vus par le passé. Finalement, c'est à nouveau Ford que l'on retrouve sur les tablettes avec la GT 40 de Rodriguez-Bianchi devançant la 907/8 Porsche de Spoerry-Steinemann et la 908/8 de Stommelen-Neerpasch, tandis que les Alfa 33/2 de Giunti-Nanni Galli, Facetti-Dini et Casoni-Biscaldi prennent les places d'honneur devant la Ferrari 275 LM de Piper-Attwood. Le hurlement des Matra en 1969 ne fait qu'amplifier l'intensité du fantastique duel opposant la Ford GT 40 d'Ickx-Oliver et la Porsche 908 de Hermann-Larrousse. Rarement, une course aura soulevé un tel enthousiasme, un tel suspense, une telle passion. Après 24 heures d'empoignade, les deux prétendantes à la victoire terminent au sprint. Et quel sprint ! Parti au pas rejoindre son poste de pilotage, Jacky lckx part derrière la meute et termine... devant la Porsche pour quelques mètres seulement ! Les Porsche 917 et les Matra jouaient du vibrato, la photo-finish méritait bien cet accompagnement somptueux...

      1000 km de Paris : nouvelle chicane. Parkes-Piper sur Ferrari LM

      Formule 1 : Jack Brabham sur Brabham BT7 / BT11 / BT22 Climax Brabham BT19 / BT20 Repco 620 3.0 V8 ; Champion constructeurs BRM P261-P83 BRM V8 2.0


      Accord tripartite Ford-Cosworth-Lotus, Cosworth dessinant le moteur, Lotus fournissant la voiture (49) ; Keith Duckworth à propose à Ford un moteur 1600 F2 (culasse double arbre montée sur un bloc 4 cylindres ) et un 3000 F1 en 1965 ; apparition du V8 DFV (Double Four Valve) en Hollande 1967 (400 ch, exclusivité Lotus pour 1967) : pole position pour Graham Hill et victoire pour Jim Clark ; triplé au 24 heures du Mans pour la Ford Mk II 7.0 l (GT 40)

      Abarth 1000 Bialbero ; 4 cylindres en ligne origine Fiat, 2ACT 982 cm3 (65x74), 2 carbus Weber, compression 10,8:1, 97 ch à 5500 tr/mn, boite 5, moteur arrière, 590 kg, 210 km/h

      Abarth OT 2000 Coupé America ; plate-forme Fiat 850 ; moteur arrière 4 cylindres en ligne Abarth-Simca 1946 cm3 (88x80), compression 10:1, 2 carbus Weber 45 DCOE, 185 ch à 7200 tr/mn, boite 5, 710 kg, 245 km/h

      Abarth OT Coupé 2000 S1 ; moteur arrière 4 cylindres en ligne Abarth 1946 cm3 (88x80), 4 soupapes/cylindre 2ACT, compression 10,5:1, 2 carbus Webe, 215 ch à 7600 tr/mn, boite 5, 655 kg, 270 km/h

      AC Cobra 289 Competition

      Alfa Romeo 1750 Grand Sport 4 R roadster (1967-1967)

      Alfa Romeo Giulia 1300 berline 4 vitesses (1969-1969)

      Alfa Romeo Giulia GTV 1600 ; style Bertone, 4 cylindres 2 ACT 1700 72 ch puis 2.0; version 1300 Junior

      Alfa Romeo Giulia Sprint GT Veloce ; Coupé Bertone 4 cylindres 2 ACT 1700 72 ch, 185 km/h ; grille de calandre à trois barres et feuille de trèfle (emblème de l’écurie de course d’Alfa-Romeo) sur le panneau de custode (1967-1967)

      Alfa Romeo Giulia Sprint GT Cabriolet : 1570 cm3 106 ch, 170 km/h ; 1 000 exemplaires

      Alfa Romeo Giulia Super 1600 berline (1974-1974)

      Alfa Romeo GT 1300 Junior Coupé (1970-1970)

      Alfa Romeo Scarabeo

      Alfa Romeo Spider 1600 "Duetto" au salon de Genève, carrosserie Pininfarina coda longa (arrière fuselé) ; cabriolet aux lignes arrondies originales et modernes, projecteurs et feux arrière s’inscrivant dans ces courbes ; important porte-à-faux arrière ménage un vaste coffre à bagages ; baptisé "Duetto" à la suite d’un concours ouvert au public ; restylé en 1990 ; 1570 cm3 109 ch à 6000 tr/mn, boîte 5, 4 disques, 170 km/h, 1 000 exemplaires (1968-1968)

      Alpine Renault A 110 1300 S ; moteur de R8 Gordini 1108 réalésé, 1 296 cm3, 115/132 ch ; 968 exemplaires (1970-1970)

      Alpine Renault A 110 1100 S ; 4 en ligne, 1296, 75,7x72, 120 ch à 7200 tr/mn, 215 km/h, 625 kg (1971-1971)

      Alpine Renault A 110 1300 GT 4 Coupé (1968-1968)

      Alvis TF 21 ; 6 cylindres en ligne, 2993 cm3, 84x90, 9,00:1, 150 ch à 4750 tr/mn, 193 km/h, 1554 kg, boite 4, moteur avant.

      AMC AMX II

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      ASA 613 RB (Roll-Bar) au Salon de Genève ; coupé 2 places à carrosserie en résine et fibre de verre avec toit amovible ; 6 cylindres en ligne 1290 cm3, 124 ch à 7000 tr/mn, trois carbus double-corps et 4 cylindres 1755 cm3, 150 ch à 7000 tr/mn, pour le marché US ; boîte 5, 4 disques

      Aston Martin DB6 Mark I (1969-1969)

      Aston Martin DB6 Volante Mk II ; cabriolet châssis DB6 allongé ; Mécanique de la DB6. (1970-1970)

      Aston Martin DBS (prototypes DBSC, Salon de Paris) ; carrosserie Touring Superleggera ; 6 cylindres 3995 cm3 325 ch à 5750 tr/mn 2ACT, 3 carbus doubles coprs Weber, boîte 5, 264 km/h Freins AR inboard.

      Aston Martin Volante Mark 1 cabriolet (1969-1969)

      Auburn Replicar (Glenn Pray - Etats-Unis)

      Audi 80 (1972-1972)

      Audi Super 90 ; traction avant, 4 cylindres 1700 cm3, compression 11.2, 72 ch ; version break Audi Variant (1970-1970)

      Audi Variant (1972-1972)

      Austin-Healey Sprite Mk IV (1968-1968)

      Authi (Pampelune, Espagne) ; fabrique espagnole d'automobiles, fondée à Pampelune en 1966 et absorbée par l'un de ses principaux actionnaires, le groupe anglais B.L.M.C. en 1969 (British Leyland Motors Corporation) ; production d'Austin, de Mini Morris et de MG ; deux voitures de moyenne cylindrée exclusives pour le marché espagnol : l'Austin Victoria (62 ch SAE et 5 250 tr/mn) et la Victoria de luxe (68 ch SAE et 5 750 tr/mn) ; voitures, dont certaines dotées d'une carrosserie dessinée par l'italien Michelotti, présentant les mêmes caractéristiques que l'Apache, construite dans les usines sud-africaines de la BLMC (1969-1969)

      Autobianchi Bianchina Giardiniera (1976-1976)

      Beaumont (GM Chevelle - Canada) (1969-1969)

      Bellasi (Guglielmo Bellasi - Italie - Novare) (1978-1978)

      Bentley Corniche ; Rolls-Royce Corniche en 9.1967 ; V8, 6750 cm3, 104x99, 8:1, 195 km/h, 22230 kg (1984-1984)

      Bizzarrini 1500 ; Fiat 4 en ligne de 1481 cm3, 90 ch à 5400 tr/mn.

      Bizzarrini 5300 spider SI ; V8 5359 cm3 365 C. à 5400 tr/mn (1968-1968)

      Bizzarrini Europa (GT Europa) ; Version plus petite de la Stradale, moteur Fiat 1500, puis Opel 1897 cm3 de l'Opel GT (110/130 ch à 5600 tr/mn, 210 km/h, 680 kg). (1971-1971)

      Bizzarrini GT America (1968-1968)

      BMW 1600 Jubile au Salon de Paris ; berline 2 portes

      BMW 1602 (1976-1976)

      BMW 1800 6 cylindres 170 ch berline (1977-1977)

      BMW 2000 100 ch berline 4 portes (1972-1972)

      BMW 3000 V8 (ex-Glas 2600 V8) ; 2982 cm3 (78x78), 160 ch à 5100 tr/mn, 24 mkg à 3400 tr/mn, 3 carbus Solex, 1350 kg ; 200 km/h, 0-100 km/h 9"9, 100 mDA 32", 12 l/100 km ; 400 exemplaires

      Boyertown Trolley Corporation (Battronic Truck Corporation - Etats-Unis - Pensacola, Floride)

      Bristol 409-410 ; 5211 cm3, 210 km/h (1969-1969)

      BRM H16 3 litres (Formule 1) ; Ingénieur Tony Rudd ; 400 ch à 10.000 tr/mn (600 ch potentiel), 8 ACT, 2 vilebrequins reliés par engrenages (L 560 l 690 h 540) ; monté dans les châssis BRM P 83 et P 115 et Lotus (1966 et début 1967) ; 1e GP des USA 1966 (Lotus, Jim Clark), 2e en Belgique 1967 (BRM, Jackie Stewart)

      Broadspeed Engineering Ld (Ralph Broad - Grande-Bretagne - Birmingham) (1968-1968)

      Camber GT (Grande-Bretagne - Manchester) (1968-1968)

      CG Cabriolet ; moteur Simca 1000 GLS 944 cm3 40 ch

      Chaparral 2F, V8 Chevy 5.3 l, 400 ch ; 1er aux 1000 km du Nurburgring

      Chevrolet C-10 (1970-1970)

      Chevrolet Camaro

      Chevrolet Corvette Sting Ray V8 427 Coupé (1967-1967)

      Citroën DS 21 liquide rouge

      Citroën DS Safari

      Coggiola S.p.A. (Italie)

      Dacia (Roumanie) ; création par le gouvernement roumain ; cession de licences pour la fabrication de R8 et R12 ; la Dacia 1300 (R12) est abandonnée en 2004 et remplacée par la Logan

      DAF 44 berline et break (1972-1972)


      Davrian (Grande-Bretagne - Londres) (1983-1983)

      De Tomaso Mangusta (dessin Giorgio Giugiaro, fabrication Ghia, Salon de Turin) ; V8 Ford 4727 cm3, 270 ch, 250 km/h, 427x183 cm, 1450 kg, boîte 5 vitesses ; V8 Ford 4727 cm3 306 Ch (5 litres pour les versions US) à 6200 tr/mn, 1ACT, boîte 5, 4 roues indépendantes, 260 km/h, 985 kg (1185 ?). (1972-1972)

      De Tomaso Pampero ; Cabriolet 2 places dessiné par Ghia sur la base du coupé Mangusta.

      Downs Engineering (Mike Downs - Etats-Unis - Sonoma, Californie)

      D.R.B. (Italie)

      Duesenberg (Virgil Exner, fabrication Ghia - Etats-Unis) ; renaissance de la marque prévue début 1966 ; carrosserie venant de chez Ghia (Turin), châssis Duesenberg, moteur 400 ch ; 300 voitures/jour prévues pour 1966, production annuelle de 2000 voitures escomptée

      Eagle (Dan Gurney - F1 - AAR / All American Racers ou Anglo American Racers - Etats-Unis) (1990-1990)

      Ferrari Dino 206 Berlinetta au Salon de Turin (Pininfarina) ; moteur central-arrière longitudinal Dino V6 à 65°, 2000 cm3 (86x57) dérivé du 1500 cm3 de formule 1 de 1961. Double allumage, 3 Weber double corps de 40 mm, boite Ferrari 5 rapports, freins suspendus à l'AR. Empattement 2340 mm. (1969-1969)

      Ferrari 275 GTB au Salon de Bruxelles ; avant modifié avec une calandre plus petite, des pare-chocs plus hauts et des jantes de prototype d'endurance à la place de celles des 156 Formule 1

      Ferrari 275 GTB/4 (Salon de Paris) ; premier double arbre client de Maranello ; moteur type 226 dérivé des prototypes 275 P et 330 P 1965 ; environ 700 ex ; V12 77x58,8 3285 cm3, 300 ch à 8000 tr/mn, 4ACT, 6 carbus Weber 0 DCN9 (ou 17 ou 18), 4 roues indépendantes, boîte accolée au différentiel (1968-1968)

      Ferrari 275 GTB/C (Competizione - 3) ; Comme Série 1 sauf : 3 carbus Weber 40 DF13, châssis allégé, compression 9,3:1, couvre ACT et autres pièces moteur en magnésium. Roues 7 et 7,5X15, ailes légèrement plus renflées. (1966-1966)

      Ferrari 330 GTC au Salon de Genève ; châssis de la 275 GTB, moteur de la 330 GT ; V12 3967 cm3 300 ch 2ACT (1968-1968)

      La 330 GTC, présentée au Salon de Genève en mars 1966, s'insère entre la 275 GTB, la berlinette deux places et la 330 GT 2+2, le coupé "familial". En fait, elle reprend la place laissé vacante par la 250 GT/L, la Lusso, produite de 1962 à 1964. La 330 GTC est construite sur le même châssis tubulaire de 2,40 d'empattement à quatre roues indépendantes et boîte-pont que la berlinette, mais est propulsée par le V12 4 litres de la 2+2. La puissance est, bien sûr, la même, 300 ch, et la transmission se fait par le biais d'une boîte à cinq vitesses. La carrosserie est signée Pininfarina. Elle combine l'avant effilé à petite calandre ovale de la Superfast et l'arrière à petits feux horizontaux de la 2+2 en plus fin. L'empattement court et un pavillon bien dessiné donnent à la GTC une allure particulièrement élégante et raffinée. Sa construction, chez Pininfarina, fait d'ailleurs l'objet d'un soin particulier et d'une finition appropriée.La 330 GTC sera choisie comme base pour trois carrosseries spéciales identiques éalisées par Pininfarina. La première, destinée à la princesse de Réthy, est présentée au Salon de Bruxelles en janvier 1966. Elle reprend l'avant du cabriolet 365 California avec les phares carénés sous plexiglas et deux phares escamotables supplémentaires dissimulés sous des trappes circulaires. L'arrière particulièrement original reprend le dessin à lunette concave imaginé par Pininfarina pour le prototype Dino à moteur central. Une très belle voiture qui annonce les lignes de la future 365 GT 2+2.Fin 1968, la 365 GTC succède à la 330 GTC. Elle reprend sa carrosserie à l'exception des ouïes latérales, remplacées par des extracteurs sur le capot, au pied du pare-brise. Le moteur est le V12 4,4 litres de la nouvelle 365 GT 2+2 dont la puissance gagne 20 ch et passe à 320 ch. Comme celle de la 365 GTS, la version cabriolet, la carrière de la 365 GTC sera de courte durée pour les mêmes raisons, un marché américain de plus en plus contraignant par ses lois antipollution.La production de la GTC cesse au début de 1970. Il aura été produit environ 600 330 GTC, entre la mi-1966 et la fin 1968, et 150 365 GTC, jusqu'au début de 1970.

      Ferrari 330 GTS au Salon de Paris ; elle succède à la 275 GTS ; cabriolet, dessin Pininfarina ; V12 4 l 320 ch ; V12 3967 30 ch 2ACT (1968-1968)

      Ferrari 330 P3

      Ferrari 365 California au Salon de Genève ; cabriolet PininFarina remplaçant la 500 Superfast ; V12 1ACT dérivé du moteur des 365 P, 81x71, 4390 cm3, 8,8:1, 320 ch à 6600 tr/mn, boîte 5, roues à rayon en standard. (1977-1977)

      Malgré son nom, ce grand cabriolet très haut de gamme n'a rien à voir avec le très sportif spyder 3 litres du même nom produit de 1958 à 1962. Le cabriolet 365 California est présenté au Salon de Genève en mars 1966 et prend la succession de la 500 Superfast dont il reprend le châssis de 2,65 d'empattement, commun à la 330 GT 2+2. Son moteur, un V12, bien sûr, est nouveau. Il dérive du V12 de compétition à simple arbre à cames en tête dont il reprend la cylindrée de 4 390 cm3. Le 365 désigne donc à nouveau la cylindrée unitaire comme sur les autres Ferrari et non plus la cylindrée en centilitres comme la Superamerica et la Superfast. Sa puissance est donnée pour 320 ch. La transmission se fait par la boîte à cinq rapports de la 330 GT 2+2 et l'on note une direction assistée en série.Sa ligne époustouflante est bien évidemment signée Pininfarina. Elle offre un étonnant contraste entre un avant tout en courbes et en rondeurs et un arrière à panneau tronqué aux lignes anguleuses. On remarque les très élégantes poignées de portière sur un jonc chromé barrant le sillon de l'entrée d'air de refroidissement des freins arrière, un motif emprunté au prototype de la Dino 206 GT Spéciale du Salon de Paris 1965.Le cabriolet 365 California ne connaît qu'une production limitée puisque quatorze exemplaires seulement sont construits entre septembre 1966 et juillet 1967. Aucune carrosserie hors série ne sera construite sur cette base.

      Ferrari 365 P

      Ferrari 365 P Special

      Ferrari 365 P2

      Ferrari 365 P2/3

      Ferrari 400 GT 2+2 au Salon de Paris

      Ferrari 312 F1 (nouvelle Formule 1 3 litres) ; la voiture effectue ses premiers tours de roues dès décembre (moteur dérivé du V12 de la P2) mais manque de puissance et est trop lourde de 100 kg ! ; on utilise en parallèle la Dino 2.4 litres plus légère et à peine moins puissante ; John Surtees claque la porte avant le fin de la saison (1968-1968)

      Fiat 124 au Salon de Paris ; berline 1200 cm3, 4 cylindres, double ACT, courroie crantée unique ; 100.000 exemplaires en 6 mois (1000/jour) (1977-1977)


      Fiat 124 Break (1975-1975)

      Fiat 124 Spider ; cabriolet 2 portes Pininfarina, 2.0 105 ch ; 200.000 exemplairtes (1982-1982)


      Fiat 124 Sport Spider 1400 ; moteur Aurélio Lampredi ; 4 cylindres 2ACT, 1438 cm3, 90 ch, 170 km/h, boîte 4 rapports. (1972-1972)

      Fiat Dino Coupé 2000 ; moteur V6 Ferrari ; V6 Ferrari 1987 cm3, 160 ch à 7200 tr/mn, 4 arbres à cames tête (2 par rangée de cylindre). 205 km/h, boite 5, autobloquant, 4 disques, 1280 kg (1968-1968)


      Fiat Dino Spider 2000 ; spider 2+2 PininFarina ; V6 Ferrari 1987 cm3, 86x57, 9:1, 4 ACT, bloc et culasse alliage léger, 160 ch à 7200 tr/mn, 210 km/h, boite 5, autobloquant, 4 disques ventilés, 1170 kg

      Fiat OT 1300 Coupé Abarth

      Fletcher (Norman Fletcher Ltd - Grande-Bretagne) (1967-1967)

      Ford Anglia "Deluxe" ; coach 2 portes ; 4 cylindres en ligne longitudinal avant, 997 cm3 (80,97x48,41), compression 8,9:1, 37,5 ch à 4800 tr/mn, 7,1 mkg à 2700 tr/mn, culbuteurs, 2 soupapes en tête et par cylindre, un carburateur inversé Solex 30 PSEI (essence plombée) ; transmission aux roues arrière. Boîte de vitesses manuelle à 4 rapports (1ère non synchronisée) ; caisse autoporteuse ; suspension avant à roues indépendantes, suspension type McPherson à ressorts hélicoïdaux et amortisseurs concentriques, leviers transversaux, essieu arrière rigide, ressorts à lames. direction à circuit de billes, pneumatiques: 5.20-13 tubeless ; freinage par 4 tambours ; longueur/largeur/hauteur 3900/1455/1440 mm, empattement 2299, voies avant/arrière 1168/1163, poids à vide 762 kg ; 119 km/h, 6,7 l/100 km


      Ford Cortina Estate (Ford GB) (1969-1969)

      Ford Galaxie

      Ford GT 40 Mk II "de route" ; 35 exemplaires (1968-1968)


      Ford Lotus Cortina

      Ford MK II sport-proto à boîte auto

      Ford Transit

      General Motors Electrovan ; série General Motors XP512E ; fourgonnette, sur base GMC Handivan, expérimentale actionnée par une pile à combustible de 32 éléments à hydrogène et à oxygène mise au point et fabriquée par la Division de l'électronique d'Union Carbide

      Ghia (Alessandro de Tomaso) (Italie) (1968-1968)

      Ginetta G11

      Ginetta G12

      Glassic (Jack Faircloth / Fred Pro - Etats-Unis - West Palm Beach, Floride)

      Holden HD

      Honda 50 RC 116 : moto 2 cylindres (35.20x25.14), 14 ch à 21.000 tr/mn, 2 ACT, 4 soupapes/cylindres 62 kg, 175 km/h ; version RC 112 à 116 ; Champion du Monde 1965-1966

      Honda 125 RC 149 ; moto 5 cylindres (35.50 x 25.14), 34 ch à 20.500 tr/mn, 2 ACT, 4 soupapes/cylindres 85 kg, 175 km/h (Version RC 148 à 149 ; Champion du Monde 1965)

      Honda S 800 au Salon de Paris ; coupé et cabriolet ; "Révélation du Salon de Pans 1966, le coupé Honda S 800 combinait performances extraordinaires et exotisme" ; 4 cylindres 2 ACT, 791 cm3, 70 ch à 8000 tr/mn, 160 km/h ; 11 406 exemplaires (1970-1970)

      En 1960 douze ans après fondation, Honda devient le premier constructeur mondial de deux roues. Deux ans plus tard, alors que ses machines raflent tous les succès en Grand Prix moto, le nouveau géant décide de se lancer dans l’automobile. Un audacieux programme de Formule 1 est mis sur pied, tandis que sort le premier modèle S 360. Assez rudimentaire, celui-ci cède la place, en 1966, au S 800, nettement plus abouti. Etroitement dérivée des techniques de moto qui ont fait le succès de la marque, cette petite voiture toute ronde, déclinée en coupé et en cabriolet, offre des performances phénoménales pour l’époque. Le quatre cylindres développe 70 ch pour seulement 791 cm3, et peut tourner à près de 9000 tr/mn sans affoler les soupapes ! Présentée au Salon de Paris, en octobre 1966, la S 800 connaît un succès immédiat. Bientôt, l’offre ne peut faire face à la demande. Les défaillances d’un réseau balbutiant et le tarif prohibitif des pièces calmeront bien vite les enthousiasmes, même si 3 563 exemplaires sont vendus en France. Honda voulait se faire connaître. Il a réussi au-delà de toute espérance.

      Hongqi CA 770 (FAW - First Automobile Works) ; berline 8 places (long 6 m), V8 5.7 l 220 ch, 2.7 tonnes, 160 km/h

      Innocenti Cooper ; Mini fabriquée sous licence

      Innocenti IM 3 S berline (1969-1969)

      Izh - Izhmash JSC (Russie)

      Jaguar Mk2 3.4 ; 6 cylindres en ligne longitudinal avant, 3442 cm3 (83x106), compression 8,00:1, 210 ch à 5500 tr/mn, 27,6 mkg à 3000 tr/mn, deux arbres à cames en tête, 2 soupapes par cylindre, 2 carbu SU ; transmission aux roues arrière, boîte de vitesses manuelle à 4 rapports + overdrive ; coque autoportante en acier ; doubles triangles superposés à l'avant et ressorts hélicoïdaux, essieu rigide suspendu par lames à l'arrière, direction à recirculation de billes, pneumatiques 6.40 x 15 ; freinage par 4 disques, système assisté ; longueur/largeur/hauteur 4590/1690/1460 mm, empattement 2730, voies avant/arrière 1390/1360, poids à vide 1498 kg ; 92 km/h, 0 à 100 km/h 10.3 sec


      Jaguar Type E 2+2 au Salon de Paris ; variante allongée (empattement 8'9", 2,887 m), moteur 4.2 l


      Jaguar XJ 13 ; prototype à V12 central, destiné à concurrencer les Ford 7 l et Ferrari P4 (jamais couru) ; détruite lors d'un tournage publicitaire en 1971 puis reconstruite

      Jem Cars - Mini-Jem (Jeremy Delmar-Morgan - Grande-Bretagne) (1975-1975)

      Jensen Interceptor et FF commercialisées ; totalement différentes des 2 voitures présentées en 1965 ; carrosserie dessinée en Italie par Touring, réalisée par Vignale ; transmission intégrale, freins antiblocage; 318 exemplaires (1971-1971)

      Jensen FF II au Salon de Londres (Ferguson Formula) ; dessin de Touring et Vignale ; Jensen FF II (Ferguson Formula) ; V8 Chrysler, 6276 cm3, 335 ch SAE à 4600 tr/mn, 28.7 mkg à 2800 tr/mn ; 4x4 permanent avec différentiel interponts, boîte automatique Chrysler BA3 Torque Flite, 4 freins à disques à double circuit, système antiblocage Dunlop Maxaret ; 1830 kg, 210 km/h, 0-96 km/h en 7"2 ; 318 exemplaires (1972-1972)

      Jensen Interceptor (Salon de Londres 1965) ; carrosserie Vignale acier ; V8 Chrysler 6276 cm3 (puis 7212 cm3) 335 ch à 4600 tr/mn, 1ACT, 225 km/h, 1590 kg (1969-1969)

      KADI-5, voiture de record KADI Research Institute de Kharkov ; moteurs Gaz M-21 Volga ou 3000 cm3 126 ch de la KADI-4, 550 kg, 290 km/h


      KADI-7, voiture de record dérivée du projet Kharkov-7 ; turbine ? gaz 400 ch d'hélicoptère GTD-350, 350 km/h


      Karsan Otomotiv Sanayii ve Ticaret AS (Koc Group / K?raça Holding, ex-Bursa Otomontaj ve Karoseri AS - Turquie)

      Lamborghini 400 GT 2+2 au Salon de Turin 1963 ; carrosserie "Superleggera" acier ; V12 tout alliage à 4 ACT, 3929 cm3 82x62, 320 ch Empattement 2,55 m. 1380 kg (1968-1968)

      Lamborghini Flying Star II (Salon de Turin) ; concept-car sur base de 400 GT, dessin Touring. ; Idem 400 GT 2+2

      Lamborghini Miura 140 S (1969-1969)

      Lamborghini P400 Miura au Salon de Paris ; Miura, du nom d'une race de taureau ; Paolo Stanzani et Gianpaolo Dallara, dessin de Bertone (Marcello Gandini) d'après un châssis expérimental à moteur transversal arrière exposé par Lamborghini au salon de Turin 1965 ; V12 à 60° placé en position centrale arrière, 3929 cm3, compression 9,5:1, 350 ch à 7000 tr/mn, , 38,5 mkg à 5000 t/mn, 4 carburateurs triple corps Weber 40 IDA 30 ; transmission aux roues arrière, boîte manuelle à 5 rapports synchronisés à carter et graissage commun avec le moteur ; plate-forme en acier + structures caissonnées en alu, habitacle semi-porteur ; 4 freins à disques à double circuit ( sans assistance ) ; roues avant indépendantes par triangles superposés et ressorts hélicoïdaux, roues arrière indépendantes par triangles superposés et ressorts hélicoïdaux. direction à crémaillère, pneumatiques 205 VR 15 ; longueur/largeur/hauteur 4370/1760/1050 mm, empattement 2500, poids 945/985 kg ; 260 km/h (273 revendiqués, voiture la plus rapide de son époque) ; Miura S en 1968, SV et SVJ en 1971; plus de 800 exemplaires (1970-1970)

      Lancia Flavia Injection (1969-1969)

      Lancia Fulvia Sport Zagato 1300 ; V4, 1216 cm3 (1972-1972)

      Lotus Elan Cabriolet (série 3) ; 4 cylindres (base Ford), 2ACT, 106 ch à 5500 tr/mn, 1558 cm3 82,55x72,75 105 ch à 5700 tr/mn. (1970-1970)

      Lotus Elan SE (série 3 Spécial Equipment) ; 4 cylindres (base Ford), 2ACT, 116 ch à 6000 tr/mn, 1558 cm3 82,55x72,75. 4 disques avec Servo. (1968-1968)

      Lotus Europa / Europe (type 46, puis 54, 65 et 74) ; produite dans la nouvelle usine d'Hetel ; moteur central Renault R16 modifié (type 697.04) 4 cylindres 1470 cm3 (76x81), 82 ch Arbre à cames différent, pistons avec bossage (compression 10,25:1), portées et tourillons de vlbrequins traités par trempe haute fréquence, coussinets de vilebrequin et bielles différents ; suspension avant à double triangles superposés, arrière à roues indépendantes avec bras inférieur unique et jambe de poussée ; disques avant et tambours arrière ; Cx 0,29, poids 610 kg ; Europa Twin Cam à moteur Ford en 1970; Europa Special en 1974 ; 1966-67 Europa S1, 1967-68 S1A, 1968-71 S2, 1969-71 S2 Fed, 1971-72 Twin Cam, 1972-75 Special ; 9230 exemplaires ; version de compétition Type 47 avec moteur Cosworth 1600 2ACT, boîte Hewland 5 (1967-1967)


      The Europa was a closed top, mid-engined car introduced in 1966. It featured a Renault engine and was also available in kit form. By the time that the Europa was in production, Lotus moved from the London area to Norfolk, where they have remained since. A five main bearing motor was introduced with the MG 18GB engine series

      LuAZ - Luckij avtomobilnyj zavod (Bogdan group - Russie / Ukraine)

      Marcos 1500 coupé 2 portes ; 4 cylindres en ligne 1499 cm3 (80,76x72,70), 85 ch à 5300 tr/mn, 13,4 kgm à 3600 tr/mn, moteur avant, boite 4, 762 kg (1969-1969)

      Mars (Electric Fuel Propulsion) (Etats-Unis)

      Matra Jet 5 (Djet V - 1108) et Jet 6 (Djet V S - Gordini 1255) au Salon de Paris (1967-1967)

      Matra-BRM aux 24 heures du Mans ; triple abandon en 1963 (Matra BRM M 620) et 1968 (Matra M 630), 3 sur 4 à l'arrivée en 1969 (4, 5 et 7e), nouvel échec total en 1970 (M 650/M 660) et abandon en 1971 (M 660 alors 3e) ; victoire en 1972 (doublé M 670, Pescarolo-Hill et Cevert-Ganley), 1973 (Pescarolo-Larousse) et 1974 (M 670 C, Pescarolo-Larousse)

      McLaren Cars Ltd - McLaren Automotive (Bruce McLaren, Trojan, F1 - Grande-Bretagne - Woking, Surrey)

      Mercedes 250 SL ; cabriolet avec hard-top, toit "pagode" (Paul Bracq) ; 6 cylindres en ligne 1 ACT, 2496 cm3, 150 ch, boite 4 méca ou automatique, 195 km/h, 0 à 100 km/h: 11 s. (1967-1967)

      Mercedes 600 ; V 8, 6330 cm3, 205 ch à 4000 tr/mn, 205 km/h.

      La Mercedes 600 était disponible en deux versions : une limousine à six places de 320 cm d'empattement et de 554 cm de longueur hors tout et un modèle Pullman de 390 cm d'empattement et 624 cm de long. Le moteur était un V8 de 6330 cm3 de cylindrée avec un arbre à cames en tête par rangée de cylindres et une injection intermittente dans la tubulure d'admission. Il développait 250 ch au modeste régime de 4100 tr/min,

      Mercury Comet, berline, convertible et hardtop (1967-1967)

      Mercury Cougar (1974-1974)

      Mercury Cyclone Coupe

      MG Midget MK III (1979-1979)

      MG modifications were to include padded dashboards, special switches, new brake gear, special tires, collapsible sterring columns, new door locks Intake and exhaust systems were also to be "extensively" modified to meet the new air pollution regulations There were a total of twenty-two regulation that BMC had to meet

      Mini-Jem - Jem Cars (Jeremy Delmar-Morgan, ex-Dizzy Addicott's Mini Dart - Grande-Bretagne) (1975-1975)

      Moretti 750S Berlina (1967-1967)

      Morris 1800 (1975-1975)

      Moskvitch 408 Berline (Elite Deluxe) ; Moskvitch importée par SCALDIA, 66 900 F



      Moskvitch 426 Station Wagon (Paket Elite)

      Nissan / Datsun 1000

      Nissan Asutralie (Australie)

      Nissan Sunny (1970-1970)

      NSU Typ 110 ; coach 1085 cm3 (1969-1969)

      Oldsmobile Toronado ; coupé 6 places à traction avant, V8 7 litres 385 ch, 2039 kg (1971-1971)

      Opel Rekord Caravan (1970-1970)

      Opus (Neville Trickett - Grande-Bretagne) (1968-1968)

      Otosan Anadol (Istanbul, Turquie) ; Ford acquiert Otosan pour produire les Ford Taunus en Turquie

      Otosan Anadol FW5, coach en matière synthètique ; design Ogle Design, mècanique Ford Cortina ; berline, break et coupè STC-16 en 1974


      Panhard 24 BT ; berline 4 places 2 portes ; fin de production de Panhard le 28 juillet 1967 ; moteur Tigre M8S: 2 cylindres boxer 848 cm3, 8,2:1, 50 ch à 5750 tr/mn, 150 km/h (CT) ou 147 kmh (BT), 875 kg (1967-1967)

      Parradine (Grande-Bretagne)

      Paykan (Iran)

      Penske Racing (Penske Corporation, Roger Penske - Etats-Unis - Mooresville, Caroline du Nord)

      Peugeot 204 Coupé et Cabriolet au salon de Paris (1970-1970)

      Peugeot 404 carburateur 80 ch

      Pontiac GTO (1969-1969)

      Porsche 904/6 ; châssis et carrosserie comme 904 / Carrera GTS mais équippée d'un 6 cylindres, double allumage, 3 carbus Weber double-corps, 220 ch à 8000 tr/mn, et caisse allégée. (1967-1967)

      Porsche 906 (Carrera 6) ; Flat-6 en alliage léger, 88x86, 1991 cm3, 2 ACT, double allumage, 2 carbus Weber 46 triple corps, 210 ch à 8000 tr/mn, carter sec, boîte 5, châssis multitubulaire, carrosserie plastique armé, portes à ouverture papillon, 675 kg, 4 disques ATE, 280 km/h (1969-1969)

      Porsche 911 S au Salon de Paris ; 2.0 160 ch ; Comme 911 (66), mais Weber triple corps type IDA 30 3C, 9,8:1, 160ch à 6600 tr/mn, 18,2 mkg à 5200 tr/mn, boîte 5 vitesses, limiteur de régime mécanique. Disques ventilés avant, pleins AR. (1969-1969)

      Porsche 911 Targa

      Renault Dauphine Gordini (1968-1968)

      Renault 8 Gordini 1300 (1255 cm3, 93 ch, boîte 5 vitesses) (1969-1969)

      Rolls Royce Silver Wraith II ; version longue (+4 pouces) de la Silver Shadow

      Rolls-Royce Silver Shadow berline et berline longue ; 6230 cm3 (1970-1970)

      Rover 1100 Wolseley (1968-1968)

      Rover 2000 TC (1976-1976)

      Rover Kestrel (1968-1968)

      Saab 96 V4 ; moteur Ford V4 4 temps (1980-1980)

      Saab Catherin ; cabriolet "Targa" ; 3 cylindres deux temps, 60 ch (1968-1968)

      Saab Sonett au Salon de Stockholm ; 3 cylindres 2 temps 758 cm3, 57 ch, carrosserie en fibre de verre, 600 kg, 160 km/h (1968-1968)

      Saipa (Iran)

      Simca 936, projet devant succéder à la Simca 1000 ; traction avant compacte 5 ports et moteur transversal

      SImca 1100 au salon de Turin ; 1ère traction Simca


      Simca 1301 au Salon de Paris ; 1290 cm3 54 ch, 135 km/h (1970-1970)

      Simca 1501 au Salon de Paris ; 1475 cm3 69 ch (64 en 72 sur automatique), 147 km/h (1969-1969)

      Studebaker Avanti II ; coupé 2 portes, V8 5 l 156 ch ; dernier modèle Studebaker, commercialisé sous le nom Avanti (Avanti Motor Corporation)

      Subaru FF-1 (1972-1972)

      Sunbeam Hunter au Salon de Paris (groupe Rootes)

      Sunbeam Imp (1976-1976)

      Toyota Celica

      Toyota Corolla KE 10 ; première voiture Japonaise produite à 15.000.000 d'exemplaires (1971-1971)

      Toyota Corolla Sprinter (1970-1970)

      Toyota Corolla Station Wagon (1976-1976)

      Trident (Grande-Bretagne - Woodbridge / Ipswich) (1978-1978)

      Triumph 1300 (1970-1970)


      Triumph GT6 au Salon de Paris ; Spitfire fermée à profil fast back, carrosserie "grand tourisme" 2 portes 2 places ; moteur 6 cylindres 2.0 105 ch, 177 km/h (1969-1969)


      TVR Grantura IV (1967-1967)

      Unipower (Grande-Bretagne - Perivale) (1970-1970)

      Vauxhall Viscount (1972-1972)

      Vauxhall Viva au Salon de Paris

      Volvo 144 (1975-1975)


      Wartburg 353 W, berline et break ; remplace la 311 de 1955 ; seul modèle produit par Wartburg, à 50.000 exemplaires/an ; 3 cylindres 2 temps, 992 cm3, compression 7.5, 50 ch à 4250 tr/mn, 10 mkg à 3000 tr/mn ; traction avant, boîte 4 synchro, 920 kg, 130 km/h ; freins à disques avant en 1974

      ZAZ 966-B ; nouvelle carrosserie, plus longue de 40 cm ; suspensions avant dotées de ressorts supplémentaires hélicoïdaux en plus des barres de torsion, suspensions arrière améliorée, à bras oscillant longitudinal


      ZIL 130, camion

BdA 2011

L'automobile en 1967

      Ouverture de la voie express rive droite (13 km d'est en ouest sur les berges de la Seine)

      Création des brigades d'intervention rapide sur autoroute (berlinette Alpine Renault, Citroën DS à compresseur 160 ch, Alpine Renault A 310, Citroën SM, Renault 21 Turbo, etc.)

      Le gouvernement français consent un prêt de 6.000.000 F à Matra pour la réalisation d'une F1, complété par un accord financier et technique avec Elf

      Critique des véhicules électriques (1.1967) :

      Avantages : Ils ne consomment de l'énergie que lorsqu'ils roulent ; Leurs frais d'entretien sont très bas et leur robustesse certaine (Les immobilisations pour pannes sont rares ; Ils ne sont pas sensibles au froid et au gel ; Les risques d'incendie sont très réduits ; Les démarrages sont instantanés et faciles et ne demandent pas d'effort ; La conduite est extrêmement simple et n'exige pas de compétence particulière (Elle ne met en oeuvre que deux pédales) ; La rapidité de démarrage et la valeur des accélérations compensent en partie les vitesses réduites dans l'établissement d'une moyenne honorable ; L'énergie de remplacement est fournie dans les heures creuses ; l'empattement court facilite le stationnement ; Les véhicules électriques sont silencieux et propres ; Ils n'émettent pas de gaz nocifs ; Ils ne salissent ni les marchandises, ni le conducteur.Avantages du moteur électrique ; Valeurs maxi de couple et puissance dès le régime nominal ou ralenti ; Le régime augmentant, la courbe de couple s'infléchit, la courbe de puissance reste pratiquement plate (Même puissance jusqu'au régime maximum de rotation du moteur). ; Inconvénients : Rayon d'action réduit ; Longueur des recharges (De 5 à 8 heures, mais de nuit) ; Difficulté pour les recharges en dehors du garage particulier ; Prix assez élevé des véhicules ; Durée de la batterie d'accumulateurs (4 à 6 ans).

      49e Salon de Turin (1-12.11.1967) : Quatre firmes italiennes présentaient une voiture électrique à destination urbaine : Ghia, Giannini, Moretti, Urbanina. Ces "curiosités" du Salon de Turin attirèrent de nombreux amateurs. Précisons que leur technique est des plus classique : moteur électrique alimenté par des batteries d'accumulateurs au plomb. Les véhicules exposés par Moretti et Giannini sont des adaptations qui rappellent les solutions adoptées par de nombreux constructeurs pendant les deux années de l'occupation. L'Urbanina, plus élaborée, mérite une attention particulière, non pour son mode de traction qui reste classique, mais pour sa conception générale qui sort des sentiers battus. Il en est de même de la Rowan de Ghia avec châssis De Tomaso qui, par sa carrosserie originale de petit gabarit, peut préfigurer la voiture de ville de demain.

      Création d'AMG; 5 personnes en 67, 420 en 1995

      En juillet, accord Citroën-Berliet ; l'ensemble ainsi formé couvre un marché des véhicules utilitaires allant de la 2 CV AZU 250 kg au camion Super Berliet de 100 tonnes

      Création de la co-filiale Comotor (Compagnie Européenne de Construction de Moteurs Automobiles) de Citroën et NSU, pour la fabrication (au Luxembourg) de moteurs à piston rotatif ; fabrication et diffusion des moteurs à piston rotatif ; licence acquise par Isuzu, Renault, Nissan, GM, Toyota, Ford, BSA, Yamaha et Suzuki

      Fiat achète Autobianchi

      Fondation de Ford Europe par rapprochement de Ford GB et Allemagne

      100.000.000ème voiture de la General Motors en avril 1967

      En avril 1967, le gouvernement français accorde un prêt de 6.000.000 F à la société Matra Sports pour la réalisation d'une Formule 1

      Arrêt définitif de production des Panhard le 28.07; 1456 Panhard construite en 1967

      Elf Aquitaine lancée en France en mars 1967 (les Ronds Rouges) ; accord de coopération technique et financière Elf-Matra en janvier ; Elf-Antar France, filiale Elf Lubrifiants ; fabrication et commercialisation de tous lubrifiants ; accords signés avec Renault en 1968 (préconisation, études, sport)

      Rauno Aaltonen (FIN) vainqueur au Monte Carlos sur Mini Cooper S devant Ove Andersson (S) sur Lancia Fulvia) et Vic Elford (GB) sur Porsche 911

      Championnat du Monde des Voitures Prototypes Ferrari, Grand Tourisme Porsche ; coup d'éclat de Ferrari à Daytona où trois P4 passent la ligne d'arrivé de front. Mis à part Monza, Ferrari ne remportera aucune autre des huit épreuves, mais gagne quand même le championnat du monde des constructeurs

      24 heures du Mans : Les trois premiers dépassent 5.000 km, la Ford MK IV 7.0 l des vainqueurs gagnant à plus de 218 km/h de moyenne ; 1er Dan Gurney - A. J. Foyt sur Ford GT40 Mk.IV P, 5232,9 kms à 218,038 km/h de moyenne ; Gurney-Foyt devance les deux Ferrari P4 de Scarfiotti-Parkes et de Mairesse-Beurlys, précédant elles-mêmes l'autre MK IV de McLaren-Donohue ; avec un temps idéal en ce début juin, les records sont tombés drus : les trois premiers ont couvert une distance supérieure à 5 000 km et la Ford des vainqueurs a tourné à plus de 218 km/h de moyenne ! ; apparition de la Chaparral à aileron mobile servant de frein aérodynamique


      1000 km de Paris : Jacky Ickx et Paul Hawkins sur Mirage Ford (John Wyer)

      Champions F1 : Denny Hulme sur Brabham Repco ; Champion constructeurs Brabham BT11 - Climax Brabham BT19 / BT20 / BT24 Repco 740 3.0 V8 ; prise en compte des meilleurs résultats sur deux demi-saisons (1967-1979-1980) ; Lorenzi Bandini meurt dans l'incendie de sa Ferrari au GP de Monaco


      Ford Cosworth F1 : 1ère sortie GP Hollande du Ford Coscorth V8 DFV (Double Four Valve) sur Lotus 49 (400 ch, moteur porteur) : Pole position Graham Hill, victoire en course Jim Clark


      1958 Fondation de la Cosworth Engineeting Ltd (Keith Duckworth et Mike Costin) ; 1965 Présentation aux dirigeants de Ford Angleterre d'un projet de création de moteurs 4 cylindres1600 cc double arbre à cames FVA (Four Valve série A) pour la Formule 2 et V8 3000 cc DFV (Double Four Valve) pour la Formule 1 ; accord tripartite Ford-Cosworth-Lotus en 1966, Cosworth dessinant le moteur, Lotus fournissant la voiture ; Cosworth Engineering Ltd fondée en 1958 et Mike Costin et Keith Duckworth ; Keith Duckworth travaille sur une culasse double arbre montée sur un bloc 4 cylindres ; V8 à 90°, 2993 cm3 (85.67x64.80), 400 ch à 9000 tr/mn ; Bloc alliage léger, vilebrequin 5 paliers, bielles acier (Entraxe 118.4, 555 g), pistons 359 g (Axe d 20.6, 98 g, segments 12 g), vilebrequin acier (Paliers d 60.3, mannetons 49.2) ; Culasse en alliage d'aluminium, 4 ACT entraînés par pignons, 4 soup/cyl (Angle des soupapes 32°, admission 34.5 mm levée 10.2, échappement 29 levée 10.2, calage 62-86-86-62) ; Petit arbre intermédiaire tournant à 1/2 vitesse du vilebrequin commandant le système d'injection, l'alternateur et le distributeur d'allumage, refroidi par eau, lubrification par carter sec, système d'injection Lucas F1 ; 1ère sortie GP Hollande 1967 (Zandvoort) avec Graham Hill et Jim Clark ; pole position, record du tour et victoire ; 400 ch, exclusivité Lotus pour 1967 ; Lotus 49, dessinée spécifiquement, coque s'arrêtant derrière le siège du pilote, pole position pour Graham Hill et victoire pour Jim Clark ; 3 victoires sur 11 en 1967 ; 155 GP gagnés de 1967 à 1992

      Création de la Formule Ford par Geoff Clark (MRS, Motor Racing Stables), avec Dean Delamont (RAC), Henry Taylor (Service Compétition de Ford Angleterre) et John Webb (Motor Circuits Developments) ; moteurs Ford Cortina 1500 montés dans des châssis de F3 par Geoff Clark, boîte de vitesses de Renault 8 puis Hewland Mark 3 (basée sur la boîte VW de F3) ; voitures Lotus Mark 51 (Colin Chapman) et Russell-Alexis Mark 14 (Jim Russel) ; prix imposé 1000 livres ; première course à Brands Hatch le 02.07, premier champion Claude Bourgoignie sur Russell-Alexis

      Création de la Formule France (12)

      moteur Renault Gordini 1300 ; dès l'annonce de la création, voitures des constructeurs Alpine, Gilbert Salles-Armagnac, Caugaro, Elina, Fournier-Marcadier, Grac, Jefa et Pygmée ; première course à Albi le 31.03 (victoire de Robert Mieusset sur Grac) ; premier champion Jean Max sur Grac MT 5 et MT 6 (17 épreuves) ; remplacée par la Formule Renault (moteur 1600)

      Moteur V12 Matra

      Matra MS 9 (12.1967); conception Georges Martin, V12 à 60°, 2993 cm3 (79.7x50), 360 ch à 10.500 tr/mn ; bloc moteur porteur alliage AS 9 KG, bielles acier (35 NCD 16), coussinets trimétal sur ligne d'arbre et bimétal sur arbre à cames, 4 soup/cylindres angle des soupapes 56°, admission au centre des culasses, allumage simple, lubrification à carter sec (1 pompe de pression, 2 de vidange) ; Matra 630 Sport aux 24 h du Mans (Pescarolo-Servoz Gavin, 2e à 3 h de l'arrivée, abandon sur éclatement de pneumatiques) ; Matra MS 11 F1, débuts à Monaco 1968 ; Matra MS 12: Retouche des culasses (Le MS 9 souffre de surchauffe excessive), angle des soupapes refermé à 33°4 (Admission au centre du V), en essais courant 1969; Sur Matra MS 120 F1 et barquette Sport Matra 650 en 1970; Matra 670: 1e aux 24h du Mans 1972 (Pescarolo-Hill) ; Matra MS 71 : Pistons allégés, remplissage et rendement améliorés, angle des soupapes 15°6 (Angle avec axe des cylindre admission 7°20 échappement 8°45), diam 33 et 27.2, levée 9.5, angle 90°); Admission acier au NiCrMo 36 NC D16, échappement réfractaire PER 2B; Sièges en bronze au Ni KCI; Problèmes de pompage de l'huile en virage; Sur Matra MS 120 B F1 1971/1972 (Chris Amon) ; Matra MS 72 : Nouveau carter empêchant le désamorçage d'huile, grosses soupapes en F1 480 ch à 11.500 tr/mn, petites soupapes en Endurance 450 ch à 10.700 tr/mn; Sur Matra MS 120 C et D F1 1972; Matra abandonne la F1 en 1973; Matra 670 Sport aux 24 h du Mans 1972 (Beltoise-Amon et Cevert-Ganley); Matra 670 B Sport: 1e aux 24 h du Mans 1973 (Pescarolo-Larousse) ; Matra MS 73 : odification de la culasse et des soupapes, version 1000 km 480 ch à 11.200 tr/mn; Matra 670 C Sport: 1e aux 24 h du Mans 1974 (Pescarolo-Larousse), Champion du Monde des Marques 1974; Sur Shadow F1 en 1975 (2 Grands Prix) ; Matra MS 73 1976 : compression 11, 500 ch à 11600 tr/mn, 33 mkg à 9400 tr/mn, injection Lucas, allumage électronique Ducellier, bougies SEV Marchal 028 (Culot long, diam 10 mm) ; Matra MS 76 : Centre de gravité plus bas (-27 mm entre axe de vilebrequin et fond de carter; Sur Ligier JS 7 F1: 1e au GP de Suède en 1974

      Weber passe sous le contrôle de Fiat avant d'être absorbée par le géant de l'équipement électrique Marelli, au début des années 1980

      AC 428 cabriolet Frua (1973-1973)

      AC 428 Coupé Frua (1973-1973)

      AC 428 Frua Coupé ; présentation octobre 1966 ; carrosserie Pietro Frua sur un châssis de 427 allongé ; V8 6989 cm3 350 ch à 4600 tr/mn 240 km/h, 1ACT, 1330 kg, 4 roues indépendantes, boîte 4 ou automatique (1966-1966)

      A.E.I. Limited (Grande-Bretagne)

      AEI Ltd, transformation électrique : poids à vide 1.134 kg, en charge 1.338 kg (poids des batteries 340 kg), vitesse maximale 66 km/h en plat, en charge ; accélérations 5 secondes pour atteindre 29 km/h, 10 s pour 43 km/h, 22 s pour 48 km/h ; parcours sans arrêt à pleine puissance 47 km (essai arrêté à 16 km/h), 59 km sans arrêt à la vitesse constante de 48 km/h, 26 km avec 4 arrêts-départs par mile ; consommation 47 km sans arrêt (12 kWh)


      A.E.M. - Soci (Grande - Bretagne)

      Alfa Romeo 1750 Berlina (1972-1972)

      Alfa Romeo 1750 GTV Coupé (1973-1973)

      Alfa Romeo 1750 Spider Veloce ; 4 cylindres en ligne, 1779 cm3, 190 km/h (1971-1971)

      Alfa Romeo 33 Stradale (ou 33/2) ; dessin Scaglione, réalisation Marazzi ; berlinette V8 1995 cm3 ; V8 1995 cm3 230 ch à 8800 tr/mn 2ACT, 700 kg, 260 km/h, boîte 6 vitesses (1969-1969)

      Alfa Romeo Montreal, prototype à l'Exposition universelle de Montreal (Bertone) ; version définitive au salon de Turin 1970

      Alfa Romeo 33 Prototype (Autodelta) ; La première 33, dotée d'un moteur arrière à huit cylindres, de 2000 cm3, fit ses débuts en compétition à la course de côte de Fleron, en Belgique ; le modèle 33 de 3 litres participa à la course de Sebring en 1969 ; puis elle obtint ses meilleurs résultats au championnat international des marques de 1971 en remportant les courses de Brands Hatch, de la Targa Florio et de Watkins Glen, et en se classant parmi les premiers aux autres épreuves ; pour améliorer les résultats obtenus en 1972, Autodelta présenta, en 1973, le prototype 33 TT avec moteur arrière à douze cylindres horizontaux opposés (boxer). La cylindrée de cette dernière voiture est de 2995 cm3, la puissance de 460 ch à 11 000 tr/mn

      Alpine Renault A 110 1300 G (G pour Gordini) ; moteur R8 Gordini 1300, 1255 cm3 (74x72), compression 10,5:1, 103 ch à 6750 tr/mn, 205 km/h, 630 kg ; 761 exemplaires (1971-1971)

      Alpine Renault A 110 1500 ; moteur R16, 1656 cm3 (77x84), compression 8,6:1, 92 ch à 5500 tr/mn, 195 km/h, 635 kg ; 42 exemplaires (1968-1968)

      Alpine Renault 3000 Sport Prototype ; moteur V8 à 90° Renault Gordini compact (tient dans un cube de 60 cm de côté) ; 2986 cm3 (87x63), 315 à 325 ch à 8000 tr/mn, 2 culasses double ACT, 4 carburateurs double corps (injection envisagée) ; débuts aux 1000 km de Montlhéry (10.1967), classée 7e

      Alvis Graber Coupé super ; coupé 2 portes 2+2 ; 6 cylindres en ligne, 2993 cm3, 84X90, 9:1, 150 ch à 4750 tr/mn, 193 km/h, 1450 kg

      Amitron - American Motors et Gulton Industries (Etats-Unis)

      Andino - Automotores 9 de Julio SA (Argentine - Buenos Aires) ; sous ce nom, la firme argentine Automotores 9 De Juiio SA, construit des automobiles depuis 1967 ; le siège de la société se trouve Buenos Aires. Il s'agit dune fabrique à caractère pratiquement artisanal dont la production est limitée ; le premier modèle, présenté en 1968, a été le Lui-Varela 850 GT suivi bientôt par le coupé GT 1100 équipé soit d'un moteur de 1118 cm3 soit d'un moteur de 1300 cm3 (1973-1973)

      Aston Martin DBS (serie 1, Salon de Londres) ; dessin William Towns ; 6 cylindres 3995 cm3, 3 carbu SU Coupé ; 6 cylindres en ligne 3995 cm3 (96x92), 2ACT, 3 carbus SU, 286 ch à 5500 tr/mn (en option gratuite triple Webers, compression 9,4:1 au lieu de 8,9:1, 325 chevaux = DBS Vantage) ; boîte ZF 5 ou Borg Warner automatique ; quatre feux avant intégrés à la grille de calandre, roues à rayons ; 1580 kg, 230 km/h (1972-1972)

      La DB S était un coupé "fastback" à quatre places particulièrement élégant. Cette luxueuse voiture de sport à deux paires de phares est issue du service de styling maison. Sa carrosserie en aluminium était fixée sur un châssis plate-forme. Ses autres caractéristiques marquantes étaient un pont De Dion et des pédales ainsi qu'un volant réglables.

      Aston Martin DBS ; 6 cylindres 3995 cm3, 3 carbu Weber Coupé (1972-1972)

      Attica (Grèce) ; sous le nom d'Attica, l'usine grecque Vioplastic construisit sous licence, de 1967 à 1969, la voiturette allemande Fuldamobil à moteur arrière monocylindrique et carrosserie en résine armée de fibres de verre ; depuis 1969, la licence appartient à la société Alta Inc., dont le siège est Athènes, qui en continue la construction sous le nom d'Alta avec une carrosserie légèrement modifiée (1969-1969)

      Austin 1300 Saloon

      Austin 3 Litre (1971-1971)

      Austin/Morris Cooper 1000 Mark II, 998 cm3, 56 ch, 645 kg, 141 km/h, 16 396 exemplaires (1970-1970)

      Austin/Morris Cooper S MkII, 1275 cm3, 77 ch, 695 kg, 156 km/h, 6 329 exemplaires (1970-1970)

      BMW 1600 Baur ; cabriolet 4 places 2 portes ; 4 cylindres en ligne 1573 cm3 (84x71), 95 ch à 5800 tr/mn, 910 kg, 160 km/h (1971-1971)

      BMW 1600 GT Coupé ; dérivée de la Glas 1700 GT, dessinée par Frua, organes mécaniques BMW ; 1573 cm3 105 ch ; 4 cylindres en ligne, 1573 cm3, 84X71 cm3, 1 ACT, bloc fonte, culasse alu, 2 carbus Solex, 105 ch à 6000 tr/mn, 13,4 mkg à 4500 tr/mn, boîte 4 (5 et autobloquant en option), disques avant, tambours arrière, 970 kg, 190 km/h, 0-100 : 11,2 s., 1000 m. : 32 s (1968-1968)

      BMW 1600 Ti 105 ch coach (1968-1968)

      BMW 2000 Ti 120 ch berline 4 portes (1971-1971)

      Brush Engineering (Brush Pony Milk Float - Grande-Bretagne - Loughborough)

      Busse, amphibie au Salon de Genève ; six roues motrices, propulsé sur l'eau par des pneus équipés de crampons ; moteur VW 1 600 de 50 ch

      Cadillac Brougham (1970-1970)

      Cadillac Fleetwood limousine (1975-1975)

      Campeador (Espagne - Barcelone)

      Carter Engineering Company Ltd (Grande-Bretagne)

      Carter Coaster ; deux portes et quatre places (en principe deux adultes et deux enfants) ; moteur arrière, quatre batteries de 12 V ; longueur 2.59 m, empattement 1.60, largeur 1.67, hauteur 1.22, rayon de braquage 6 m, poids 318 kg, charge utile 227 kg ; autonomie 30 km à 56 km/h (A vitesse réduite, sur parcours optimisé, autonomie 100 km) ; une seule charge de la batterie permet un parcours de 97 km dans des conditions favorables


      La Carter Engineering Company Ltd a étudié et mis au point un véhicule électrique de ville à accumulateurs, le Carter Coaster. La voiture est susceptible de s'amortir en vingt ans environ. Elle doit avoir la faveur de ceux dont le parcours quotidien est de l'ordre de 32 km, comme c'est le cas pour les médecins urbains, les infirmières, etc. Parmi les caractéristiques du véhicule, signalons : un réchauffeur électrique qui chauffe la voiture quand les batteries ont été chargées, une carrosserie en plastique avec pare-brise en verre et fenêtres fixes en plastique transparent, un système de transmission breveté comprenant une roue libre, un système de barre fixé au capot pour connecter automatiquement les batteries quand le couvercle est rabattu, des sièges de plastique cellulaire, deux pédales de commande. La conduite comprend les opérations suivantes : - Une clef tournée dans un sens ou dans l'autre donne la marche avant et la marche arrière ; - Le premier mouvement de la pédale de l'accélérateur fait tourner le moteur vers 3.000 tours à la minute ; - Si l'on appuie davantage, on agit sur un potentiomètre qui actionne lui-même un accouplement électromagnétique monté entre le moteur et le différentiel ; - On obtient une excellente accélération puisque le moteur tourne à la vitesse optimale ; - Si l'on abandonne l'accélérateur, on coupe l'accouplement et l'on arrête le moteur ; de cette façon, on économise l'énergie au maximum et l'on tire le kilométrage maximal de la capacité de la batterie.

      Caubet (France - Rueil, Seine et Oise) (1968-1968)

      Chaparral à aileron mobile servant de frein aérodynamique aux 24 heures du Mans

      Chevrolet Camaro ; V8, 5735 cm3, 210 km/h (2002-2002)

      Chevrolet Chevelle Hardtop

      Chevrolet Impala (1996-1996)

      Citroën Dyane au salon de Paris (1975-1975)

      Citroën Dyane 6 Weekend

      Citroën ID 19 / ID 20 liquide vert (1969-1969)

      Le millésime 1967 est marqué par l'emploi sur le circuit hydraulique de tous les modèles D d'une nouvelle huile minérale, le LHM de couleur verte d'une meilleure stabilité d'usage que le précédent liquide synthétique rouge ; le LHM est aussi moins corrosif. La rentrée de septembre apporte une importante innovation stylistique avec le remaniement de la face avant de toute la gamme D où les ailes avant intègrent des doubles phares sous verrière, les phares d'appoint ayant la faculté de pivoter automatiquement pour éclairer les virages. Dans cette physionomie, les DS gagnent beaucoup en aérodynamisme et en modernité.

      Cox (Grand Touring Mini - Grande-Bretagne - Loughborough)

      Daewoo (Corée du Sud) ; Woo-Chong Kim emprunte 50.000 F et se lance dans les affaires en créant Daewoo ; 200 milliards de F en 1995

      Daihatsu C° ; 800 cm3, 750 kg en version "thermique" et 990 kg en version électrique ; construite par le Battery Electric Car Development Group qui réunit cinq firmes, dont le constructeur de la voiture ; batterie d'accumulateurs au plomb de 84 V et 120 Ah, à recharge rapide ; moteur électrique de 5 kW, 80 V, 80 A, 2.900 tr/mn, avec circuit d'huile de refroidissement ; bloc de commande à thyristors ('embrayage et transmission mécanique conservés) ; deux passagers et une charge de 200 kg, vitesse maximale 70 km/h, vitesse de croisière 50 km/h, pente de 25 % à 10 km/h, pente de 5 % à 45 km/h, parcours total sans recharge : 80 km


      Daimler Limousine (DS420) ; évolution de la Jaguar Mk X, moteur 4.2 l issu des cabriolets Jaguar XK 120

      De Tomaso Pantera ; dessin de Marcello Gandini ; réactualisée en 1992 (Salon de Paris)

      Diamond Reo Trucks Inc (Diamond T and Reo Motor Company - Etats-Unis)

      Dino 246 GT au Salon de Turin ; nommée Dino, du prénom du fils d'Enzo Ferrari, dérivée du proto Pininfarina Dino 206 S du Salon de Paris 1965 ; modèle quasi définitif proche de la Dino de série dont la production va commencer au début de 1969 ; première Ferrari à moteur central ; V6 2419 cm3, 195 ch, carrosserie Pininfarina, 230 km/h ; 246 GTS en 1972 (marché américain, pavillon amovible) ; 3.755 exemplaires


      Dodge Charger

      Dodge Monaco

      Electric Power Storage (Grande-Bretagne - Manchester)

      Electric Power Storage, fourgonnette électrique ; pile à combustible hydrogène/oxygène ; "ainsi est bien démontré que la pile à combustible n'est pas abandonnée, et qu'on recherche des perfectionnements qu'on atteindra à coup sûr"


      Ferrari 275 GTB/4 Spider "NART" ; V12 77x58,8 3285 cm3, 300 ch à 8000 tr/mn, 4ACT, 6 carbus Weber, 4 roues indépendantes, boîte accolée au différentiel. Portes et capots en alu. Carrosserie tout alu (et vitres électriques) en option. (1968-1968)

      Ferrari 330 GTC spéciale PininFarina ; V12 3967 cm3 300 ch 2ACT (1969-1969)

      Ferrari 330 P4

      Ferrari 365 GT 2+2 au Salon de Paris (Pininfarina) ; moteur 4,4 litres de 320 ch 2ACT ; boîte à cinq vitesses des 330 GT 2+2 de la deuxième série ; châssis tubulaire acier de 2,65 m d'empattement avec des voies élargies, quatre roues indépendantes, suspension arrière équipée d'un système oléopneumatique de correction d'assiette en fonction de la charge ; direction assistée, pour la première fois sur une Ferrari ; avant effilé de la Superfast mais phares dépourvus de carénages en plexiglas ; jantes en alliage à cinq branches du même type que celles de la Daytona dans le courant de 1969 ; 800 exemplaires ; suivie par la 365 GT4 2+2 présentée au Salon de Paris 1972 (1971-1971)

      Ferrari 412 P (ou P3/P4) ; carrosserie P4 ; V12 à 60°, 3967 cm3, 77x71, tout alliage, 2 soupapes / cylindre, 4ACT, 400 ch à 8000 tr/mn, chassis tubulaire, carrosserie aluminium, 4 disques, 850 kg

      Ferrari F1 W18 ; étude de Franco Rocchi, 3000 cm3. (prototype 3 cyl 500 cm3 80 ch) ; abandonnée, le réglement de la F1 limitant les moteurs à 12 cyl

      Fiat 124 Coupé ; 380.000 exemplaires (1975-1975)

      Fiat 125, berline 1600 (1975-1975)


      Fiat 500 Gamine (1970-1970)

      Fiat Spider Bertone ; moteur V6 Ferrari 2 l, permet à Ferrari l'homologation du moteur en F2 (1972-1972)

      Filipinetti (Georges Filipinetti - Suisse - Château Grandson) (1973-1973)

      Ford Fairlane (1969-1969)

      Ford GT 40 Mk III ; 8 ex. ; V8 4736 cm3 306 ch à 6000 tr/mn, 1ACT boîte 5, 4 roues indépendantes, 260 km/h

      Ford Mustang (série 3) (1968-1968)

      Ford Escort

      Ford Comuta, voiture électrique ; quatre batteries 12 V au plomb, 85 Ah (deux batteries installées de chaque côté de la poutre du châssis, très accessibles et amovibles grâce à des panneaux latéraux) ; deux moteurs électriques 5 ch à l'arrière du châssis ; châssis en tôle d'acier assemblée par points de soudure, carrosserie en fibre de verre et matière plastique ; suspension avant et arrière par bras de levier et dispositif Neidhardt, amortisseurs télescopiques classiques ; longueur 2,03 m, largeur 1,26 m, hauteur 1,42 m, empattement 1,36 m, voie 1,12 m, rayon de braquage 2,74 m, poids 544 kg ; vitesse maximale 64 km/h, accélération de 0 à 48 km/h 14 secondes, rayon d'action à 40 km/h 64 km


      Ford Grande-Bretagne vient de présenter sa première voiture électrique. Prévue pour la circulation urbaine et suburbaine, c'est un prototype expérimental, actionné par une batterie classique au plomb. D'une autonomie limitée à 65 km environ, cette voiture ne peut être qu'une avant-garde des voitures électriques de l'avenir. Selon la firme Ford, les voitures électriques sont susceptibles, pour l'utilisation urbaine d'être commercialisées dans les dix années à venir. Il y a encore, en effet, beaucoup de problèmes à résoudre pour le stockage pratique de l'énergie électrique. Dès maintenant d'ailleurs, des études sont en train aux U.S.A. pour l'adaptation à la "Comuta" des batteries sodium-soufre, ces deux corps constituant les électrodes liquides, avec comme électrolyte une céramique (solide) à base d'oxyde d'aluminium. (...) Ajoutons que l'adoption des batteries sodium-soufre donnerait au véhicule en cause une autonomie dont l'ordre de grandeur pourrait dépasser 300 km, ce qui commencerait à être très intéressant. Mais il y a des problèmes de prix de revient à résoudre dans le domaine électrochimique. Quant aux problèmes électriques et électroniques, ils suivent semble-t-il les études avec assez d'aisance. Il existe aussi des problèmes mécaniques, car la répartition des poids et des volumes dans les voitures électriques n'est pas la même que pour la voiture classique. II s'agit en somme d'une voiture pour les cités d'aujourd'hui et de demain, où les problèmes d'encombrement, de pollution et de bruit, prennent et prendront de plus en plus, si l'on n'y prend garde, une importance très inquiétante. Cette petite voiture est conçue pour transporter deux adultes et deux enfants (ou même trois), ou deux adultes et des bagages. La photographie ci-dessus donne une vue sympathique d'une occupation possible. Cette question de la capacité a fait l'objet d'études spéciales très poussées. Ses caractéristiques traduisent bien le faible encombrement du véhicule et la facilité de manoeuvre pour la circulation et le stationnement. On peut loger trois Comuta dans chaque emplacement normal attribué à une voiture.

      "Le véhicule complet comporte l'assemblage très facile d'un châssis et d'une carrosserie. La carrosserie est en fibre de verre et matière plastique. Le châssis est de la sorte ""à épine dorsale à ailettes"", en tôle d'acier assemblée par points de soudure. C'est sur les branches de cet ensemble que sont montés le volant, les pédales, la carrosserie, les pare-chocs, les conduites du chauffage intérieur et de la ventilation, les batteries et les moteurs, la suspension et les amortisseurs. Seules une pédale de frein et une d'accélération sont nécessaires puisque les moteurs électriques et les dispositifs électroniques de commande éliminent naturellement la boîte de vitesses et l'embrayage. La suspension avant comporte un bras de levier, et comprend un dispositif Neidhardt. Ce dernier, qui a été utilisé sur divers véhicules, consiste en un tube en forme d'équerre avec une pièce de caoutchouc à l'intérieur d'un tube externe. Le même principe est employé pour la suspension arrière, et les deux suspensions sont équipées d'amortisseurs télescopiques classiques. Le freinage est également classique sur chaque roue. Le frein à main agit sur les roues arrière, La roue de rechange est placée derrière les sièges arrière. L'air chaud provenant du refroidissement des moteurs électriques est la source de la chaleur à employer pour le chauffage de l'intérieur de la voiture. L'orientation de la circulation d'air est commandée de l'intérieur de la voiture suivant trois principes : - ""Recyclage"" de l'air intérieur refroidissant les moteurs et revenant à l'intérieur ; - Air extérieur introduit après réchauffage sur les moteurs ; - Air extérieur admis à l'intérieur de la voiture, puis renvoyé sur les moteurs avec rejet de l'air chaud à l'extérieur ; la circulation d'air est provoquée par un ventilateur électrique. Grâce à son action orientée on peut climatiser à volonté l'intérieur de la voiture."

      Le véhicule est actuellement muni de quatre batteries de 12 V au plomb, classiques. Cela fait une tension nominale de 48 V. La capacité est de 85 Ah pour un régime de 1 heure. Deux batteries sont installées de chaque côté de la poutre du châssis ; elles sont très accessibles et amovibles grâce à des panneaux latéraux. Un interrupteur disposé sur le plancher du véhicule à portée du conducteur permet d'isoler les quatre batteries montées en série. Les batteries contiennent assez d'énergie pour donner une autonomie de 64 km à la vitesse régulière d'environ 40 km/h avec une charge moyenne. Quand des batteries de principes énergétiques nouveaux seront commercialisées, l'autonomie pourra être augmentée, sans doute d'une manière très importante. Les batteries peuvent être rechargées au moyen d'un chargeur au garage. On peut aussi procéder à un échange de batterie si l'on est organisé pour cela. Le véhicule est muni de deux moteurs électriques à l'arrière du châssis. Ce sont des moteurs de 5 ch au maximum. Leur diamètre est de 14 cm environ. Chaque arbre de moteur se termine par un pignon qui commande un engrenage hélicoïdal. Des éléments de caoutchouc sont intercalés dans la transmission pour absorber les vibrations. Les moteurs sont placés dans un carter d'aluminium relié à une conduite d'air, animée par un ventilateur électrique et qui est en rapport avec le chauffage de la voiture, comme nous l'avons dit. Les moyens d'action donnés au conducteur sont : - Une simple commande au pied qui prend la place de la pédale d'accélérateur de la voiture classique, et qui tient le rôle de la pédale d'accélération, de la pédale de débrayage et du levier de changement de vitesse, car le dispositif électrique réalise une transmission automatique ; - Un levier de sélection donnant de chaque côté d'un point mort, d'une part la marche avant, d'autre part la marche arrière ; - Une pédale de freinage mécanique.

      L'application de l'énergie motrice aux moteurs, dans les conditions fixées par la pédale de commande électrique et le levier de sélection, utilise des thyristors dont nous avons défini dans d'autres articles les lignes générales d'emploi pour la traction électrique moderne. (...) Sans vouloir reprendre cette question, il est bon de rappeler que la variation de vitesse des moteurs s'obtient par variation de la tension qui leur est appliquée. Cette variation était réalisée, dans les premières tractions électriques, en gaspillant sous forme de chaleur, dans des résistances bobinées ou des piles de carbone, l'énergie qu'on ne pouvait employer dans les moteurs. Grâce aux thyristors, appareils de commutation extrêmement rapides, on sait transformer une tension permanente donnée par une batterie en une série d'impulsions plus ou moins longues de cette tension, qui donne une tension moyenne inférieure sans gaspillage d'énergie. On sait aussi que pendant les coupures, et grâce aux selfs des circuits, on récupère dans les moteurs l'énergie magnétique empruntée à la batterie, ce qui est excellent pour le rendement et la régularité du couple. C'est la pédale de l'accélérateur qui fixe les caractéristiques (durée et fréquence) des impulsions, c'est-à-dire la tension moyenne qui alimente les moteurs, et par suite les couples moteurs qu'ils donnent. Dans les circuits électroniques on rencontre : - Les contacts fixés par le levier de sélection et actionnés par la pédale ; - Le circuit de puissance qui comprend les thyristors comme pièces principales, et des éléments annexes ; - Un ensemble "logique" comprenant les éléments électroniques qui déclenchent ou bloquent les thyristors, et procurent les sécurités indispensables, en prévenant notamment les surcharges des moteurs et l'amorçage des arcs entre les contacts. Le véhicule comporte, en plus des dispositifs propres à la traction, ceux qui sont exigés par tout véhicule routier, tels que les phares et lanternes, les indicateurs de direction, essuie-glace et lave-glace. Le tableau de bord comporte un indicateur de charge de la batterie. G. Gory, AutoVolt, juillet 1967

      Gaz M 24 Volga, évolution de la M 21 ; 4 cylindres 2445 cm3 (92x92), compression 6.7, 7.8 ou 8.5, 95, 105 ou 110 ch SAE à 4500 tr/mn, 19.5 à 21 mkg à 2400 tr/mn, arbre à cames latéral, carburateur double corps ; propulsion, boîte 4 vitesses synchronisées avec levier au plancher. ; suspensions à triangles superposés avant (ressorts hélicoïdaux), essieu rigide arrière (ressorts à lames), direction à vis et galet, freins à tambours ; longueur 4.74 m, largeur 1.80, hauteur 1.49, empattement 2.80, poids 1300 kg ; pneus 7.35x15, 145 km/h (110 ch) ; versions 3102 (nouvelle carrosserie, 1978), 3110, 31105 et 3111 (nouvelle carrosserie, 2001) ; équipée d'un moteur Diesel Rover ou Indenor (depuis janvier 1972) par l'importateur belge "Scaldia Volga S.A., à Bruxelles)


      Gaz M 24 Diesel Scaldia (Scaldia-Volga S.A., Belgique) ; moteur Rover 4 cylindres, 2286 cm3 (90.5x88.9), compression 23, 62 ch SAE à 4000 tr/mn, 21.4 mkg à 1750 tr/mn

      La production des véhicules industriels Gaz s'est développée à un point tel que, pendant un certain temps, la fabrique soviétique a été la plus grosse entreprise européenne dans ce domaine.

      Ghia Rowan au Salon de Turin ; berline 2 + 2 places, 3 portes, dotée de 2 moteurs électriques - châssis réalisé par De Tomaso ; ce véhicule dénommé le "Rowan" est annoncé comme pouvant se déplacer à la vitesse de 75 km/h avec une autonomie de 300 km


      Giannini électrique au salon de Turin ; transformation de la Fiat 500, portant sur le moteur uniquement. ; moteur électrique alimenté par 8 batteries au plomb, classiques de 6 volts ; 50 km/h, autonomie 100 km

      Ginetta Cars Ltd (Walklett brothers - Grande-Bretagne - Woodbridge / Witham)

      Glas BMW, prototype amphibie ; décapotable 4-5 places (longueur 3,50 m, largeur 1,70 m) équipée d'un moteur central ; quatre roues motrices, changement de vitesse à 4 rapports plus un démultiplicateur ; deux types de moteurs peuvent équiper ce véhicule : un BMW 2000 cm3 (80 ch), ou un polycarburant Man de 2500 cm3 développant 70 ch ; vitesse maximale 105 km/h sur route et 8 km/h sur l'eau

      GP Project (Grande-Bretagne)

      GTM Cars Limited (Bernard Cox and Jack Hosker - Cox GTM - Grande-Bretagne - Loughborough)

      High Speed Motors Ltd (Grande-Bretagne)

      High Speed mini-vélo électrique ; très petit véhicule susceptible de faire du 48 km à l'heure en plat avec un cavalier de 90 kg ; frein puissant à l'avant et à l'arrière, monocoque en plastique, entièrement fermée, qui constitue une carrosserie résistant à la corrosion


      Holden HB (1972-1972)

      Holden HR 3.0

      Hyundai Motor Company (famille Chung - Coree - Seoul) ; premières voitures Ford sous licence

      Innocenti coupé C 1100 (1969-1969)

      Isuzu Florian (1983-1983)

      Izh 412 ; moteur 1360 cm3 à arbre à cames en tête commandé par pignons, 50 ch ; moteur porté à 1472 cm3 et 75 ch (arbre à cames en tête commandé par chaîne)

      Jaguar 240 (1969-1969)

      Jaguar 420G (1968-1968)

      Jaguar E-Type série 1.5 (1968-1968)

      Primary spotting features : Uncovered headlights in large chrome bezel and small taillights above rear bumpers. All are 4.2 litre cars with dual Stromberg carburettors. Details like the dashboard switches, brake system, exterior lights, even the bumpers, changed almost constantly in this 1967-68 production run, as various changes to meet the US's "1968" vehicle laws were implemented. Same wheelbase scheme as Series 1. Top speed, 145 MPH, 0-60 in 7.2 seconds (FHC; open cars and 2+2 cars were slower, automatic 2+2 much more so.)

      Jaguar Sovereign série I (Daimler) (1973-1973)

      Jaguar XJ 13 ; prototype ; V12, 4991 cm3, 550 chevaux, 1125 kg, 400m. DA : 12,1 s., 1000 m DA : 21,9 s.

      Lamborghini Marzal au Salon de Genève ; prototype Bertone, "berline" 4 places, 2 portes articulées sur le pavillon (portes papillon) ; 6 cylindres transversal arrière (moitié du V12 de la Miura) ; 1965 cm3 (82x62), 175 ch à 6800 tr/mn, 1310 kg, 190 km/h ; ouvre le Grand Prix de Monaco, conduite par le Prince Rénier (enclume dans le coffre avant pour l'équilibrer) ; Lamborghini Espada dérivée en 1968

      Lancia Fulvia Coupe 1.3 Rallye

      Lancia Fulvia Sport Zagato 1600 ; V4, 1584 cm3 (1973-1973)

      Lotus Cortina-Lotus Mk 2 (1970-1970)

      Lotus Europa S1A (1968-1968)

      Lotus Type 47 ; modèle compétition ; moteur Lotus 2ACT

      Lotus Elan +2 (Type 50) (1969-1969)

      Marcos 1600 GT série 1 ; Ford 1600

      Marcos 1600 GT série 2 ; V4 ou 4 cylindres en ligne origine Ford

      Maserati Mistrale ; V6 3692 cm3, 225 ch à 5200 tr/mn, boîte 4 vitesses, 450x165 cm, 1400 kg, 255 km/h

      Matra-Bonnet Jet 6 ; 4 cylindres en ligne (de la Renault R8 Gordini 1300), 1255 cm3 (74,5x72), 2 double-corps Weber 40 DCOE, 105 chevaux à 6800 tr/mn, 200 km/h (1968-1968)

      Matra MS 9 ; conception Georges Martin, V12 à 60°, 2993 cm3 (79.7x50), 360 ch à 10.500 tr/mn ; bloc moteur porteur alliage AS 9 KG, bielles acier (35 NCD 16), coussinets trimétal sur ligne d'arbre et bimétal sur arbre à cames, 4 soup/cylindres angle des soupapes 56°, admission au centre des culasses, allumage simple, lubrification à carter sec (1 pompe de pression, 2 de vidange) (1973-1973)


      Matra 630 Sport aux 24 h du Mans (Pescarolo-Servoz Gavin, 2e à 3 h de l'arrivée, abandon sur éclatement de pneumatiques)

      Philippe Guédon : 1956 ingénieur chez Simca ; 1965 responsable des études de la branche automobile de Matra à sa création (directeur Jean-Luc Lgardère) ; 1967 présentation de la Matra 530 ; 1973 lancement de la Bagheera, triplace à moteur central ; 1977 Matra Rancho, première auto-loisir ; 1984 concept de l'Espace (projet refusé par Peugeot) ; 1998 projet Matra Renault

      Matra 530, "la voiture des copains", au Salon de Genève ; Philippe Guédon (créateur des Matra 530, Bagheera, Rancho et Murena et de la Renault Espace), nom pris à un missile de chez Matra ; coupé à toit amovible 2+2, V4 Ford 1699 cm3, 73 à 75 ch, châssis tôle, carrosserie polyester, 935 kg, 170 à 175 km/h ; 9.609 exemplaires (1973-1973)


      Mazda 1000


      Mazda Cosmo Sport 110S L10A - Familia Rotary R 100/TSS (Salon de Tokyo 1964) ; coupé 2 places moteur avant, essais des prototypes Mazda 110 S au Japon en 1966, prototype au Salon de Tokyo 1967, produite en 07.1968 (Coupé R100 puis berline TSS) ; moteur 10A Birotor 982 cm3 (2x491cm3), 110 ch à 7000 tr/mn, 13.8 mkg à 4000 tr/mn, carbu Hitachi KCB 306 ; propulsion, boîte 4 vitesses ; coque autoporteuse en acier, 825 kg, 180 km/h ; 95.891 exemplaires de 1968 à 1973 (31.238 en 1970), 24 h de Spa 1969 et 70^; boite 5 à partir de 1969 ; 128 ch/200 km/h à partir de 1970 (1974-1974)

      Mazda Luce (1973-1973)

      Mazda RX85, prototype

      Mazda RX87, prototype au salon de Tokyo ; coupé à traction avant, modèle de série Mazda Luce Rotary R 130 (11.1969)

      Mercedes 300 SEL 6.3 (109 018) ; V8 2ACT, 6330 cm3, injection mécanique, 250 chevaux, 51 mkg, boite auto 4 rapports, Réservoir 105 litres. 1740 kg (?), 221 km/h (1972-1972)

      Mercury Brougham

      Mercury Montclair Hardtop (1968-1968)

      Mercury Park Lane

      Meyers Manx - B.F. Meyers & Co (Bruce Meyers - Etats-Unis) (1971-1971)

      MG B Mark II (GHD4 GHN4) ; boîte 4 vitesse toutes synchro et mieux étagée, pont renforcé, alternateur (-) à la masse ; en 1969, calandre plastique, roues Rostyle (roues Rudge en option), grands feux arrière, sièges Skaï et petit volant (MG est repris par la British Leyland) ; en 1971 colonne de direction déformable (consigne de sécurité US), nouveau tableau de bord ; en 1972 nouvelle calandre et nouveau volant ; en 1973 servofrein en série ; en 1974 boucliers polyuréthane noir (style US) ; en 1975 overdrive en série, une batterie 12 V au lieu des deux de 6 volts ; série spéciale MGB GT Golden Anniversary ; dernière MGB le 23.10.1980 ; retour au Salon de Genève 1995 (MGF) (1980-1980)

      Mark II model had a fully synchronized gear box ; Optional automatic transission was available for extra ; Alternator instead of a dynamo

      MG C ; 6 cylindres 3 litres Austin, 2912 cm3 (2858 en France), 147 ch à 5250 tr/mn, 187 à 205 km/h sleon rappoprts de pont, boîte 4 ou auto 3 rapports (1969-1969)

      Engine lacked low speed torque and was geared very high, not great 0-60 car, could do 120 mph, though

      MG C GT ; 6 cylindres en ligne 2912 cm3 (2858 en France), 147 ch à 5250 tr/mn, 187 à 205 km/h sleon rappoprts de pont, boîte 4 ou auto 3 raports, (1969-1969)

      Mini Mk II ; calandre en saillie, feux arrière carrés et lunette agrandie (1969-1969)

      Mohs (Bruce Baldwin Mohs, Mohs Seaplane Corp. - Etats-Unis - Madison, Wisconsin)

      Monteverdi (Peter Monteverdi - Suisse - Binningen, Bâle) (1995-1995)

      Monteverdi 400 S (Fissore) ; 405 ch à 500 t/mn (1971-1971)

      Monteverdi High Speed 375

      Monteverdi High Speed 375C Cabriolet ; V8 chrysler, 7206 cm3, 380 ch à 4600 tr/mn, 240 km/h, boite Auto ou 4. (1977-1977)

      Monteverdi High Speed 375S ; carrosserie 2 places Frua, puis Fissore ; V8 chrysler 7206 cm3 380 ch à 4600 tr/mn (1969-1969)

      Moretti électrique au Salon de Turin, sur base Fiat 500 ; 50 km/h avec une autonomie de 100 km ; Moretti a également annoncé qu'il préparait un prototype capable de rouler à 60 km à l'heure avec 2 personnes à bord, l'autonomie de ce véhicule est annoncée pour 200 km

      Moretti Spider Turismo (1970-1970)

      Moskvitch : le 18 mai 1967, la millionième Moskvitch sort des chaines ; entre 1967 et 1974, un autre million de Moskvitch étaient produites

      Moskvitch 412 berline et 427 break 427 ; premiére voiture russe équipée d'un moteur en alliage léger à arbre à cames en tête ; 4 cylindres 1419 cm3 (82x70), compression 8.8, 80 ch SAE à 5800 tr/mn, 11.4 mkg à 3000 tr/mn, arbre à cames en tête, carburateur double corps inversé ; transmission classique, boîte 4 vitesses synchronisées avec levier au plancher ; suspensions à triangles superposés avant (ressorts hélicoïdaux), essieu rigide arrière (ressorts à lames), direction à vis et galet, freins à tambours, servofrein ; longueur 4.09 m, largeur 1.55, hauteur 1.48, empattement 2.40, poids 1040 kg ; pneus 6.45x13, 140 km/h ; phares rectangulaires (ronds sur les 408/426), sièges couchette et ceintures de sécurité ; voitures importées en Belgique sous le nom de Scaldia, en finition Normale, LS, Elita et Rallye


      Nissan Bluebird 510 (1972-1972)

      Nissan Gloria PA30 (1972-1972)

      NSU RO 80 présentée au Salon de Francfort ; berline à moteur Wankel bi-rotor de 2x497.5 cm3 (coefficient 2), 6 CV, compression 9, 115 ch à 5500 tr/mn, 16.7 mkg à 4500 tr/mn, 2 carburateurs horizontaux à registre (Solex 18/32 HHD), 2 bougies par rotor ; moteur en avant de l'axe des roues avant, boîte de vitesses semi-auto à 3 rapports en arrière de l'axe des roues (2.056/1.208/0.788, MAr 2.105, pont 4.857), embrayage monodisque à sec à commande électro-pneumatique et convertisseur de couple Fitchel et Sachs, arbres de transmission légèrement obliques vers l'avant : défavorable au braquage mais bénéfique pour la tenue de roue suspension Mc Pherson à grand débattement ; 1280kg, Cx 0.355, 180 km/h, 0-100 12"8, 4000 mDA 20"1, 1000 mDA 33"5, consommations 60 9.8, 130 20, 160 22 l aux 100 km ; 24.000 F en 1968, 18.000 F pour une DS 21 ; 37.398 voitures produites, 1413 immatriculées en France de 1968 à 1977 (108 en 1968, 423 1969, 208 1970, 165 1971, 170 1972, 162 1973, 79 1974, 70 1975)


      Oldsmobile Toronado Thor

      Opel Commodore (1971-1971)

      Opel Olympia (1972-1972)

      Opel Olympia Coupe (1970-1970)

      Opel Record

      Opel Record Coupe

      Opel Rekord C (1972-1972)

      Osi Silver Fox ; prototype à 2 fuselages, moteur Alpine Renault 1000 cm3, 250 km/h

      Ostentatienne Opera Mohs - Mohs (Bruce Baldwin Mohs, Mohs Seaplane Corp.) - Etats-Unis - Madison, Wisconsin)

      Paxton Turbocar Pratt Wittney aux 500 miles d'Indianapolis ; Parnelli Jones domine avant d'abandonner tout près du but sur bris de suspension

      Peugeot 204 Diesel ; premier Diesel alu, première traction avant Diesel

      Peugeot 404/8 8 CV 1488 cm3 66 ch

      Piper (Grande-Bretagne) (1976-1976)

      Plymouth Fury

      Pontiac Firebird , 2 carrosseries (coupé et cabriolet), 5 versions ; base 6 cylindres 165 ch, Sprint 6 cylindres 215 ch, 326 V8 3.5 250 ch, HO V8 3.5 285 ch, 400 V8 6.6 325 ch) (1969-1969)

      Nouvelle carrosserie en 1970, modèles 6 cylindres ou V8, base, Esprit, Formula 400 et Trans Am ; production 1967-1969, Coupé (233.235 ex), cabriolet (44.145) ; 1970-1981, base (290.170), Esprit (264.013), Formula (166.008), Trans Am (459.217) ; 1.456.788 exemplaires (277.380+1.179.408)

      Pontiac Grande Parisienne (1968-1968)

      Porsche 356 Cabriolet ; 4 cylindres, 1582 cm3, 60 ch à 4500 tr/mn, 160 km/h

      Extérieurement cette Porsche était reconnaissable à son pare-brise en une pièce mais qui conservait un angle central aux pare-chocs limités à des butoirs aux jantes ajourées ainsi qu'aux feux arrière alignés. Les quatre vitesses synchronisées étaient une nouveauté.

      Porsche 910 ; Soit flat-6 2 litres (comme 906), sauf 220 ch à 8000 tr/mn, 21 kgm à 6400 tr/mn ; soit flat-8 (type 771), 2,2 l., 270 ch à 8600 tr/mn, 23,5 kgm à 7500 tr/mn. 4 ACT, carter en magnésium, bielles titane, double allumage, injection Bosch 600 kg (1970-1970)

      Porsche 911 S en versions coupé et Targa, 160 ch

      Porsche 911 R (Racing) ; caisse légère Baur (portes, capot et ailes avant plastique, pare-brise plus fin, vitres plexiglas, intérieur dépouillé), 210 ch ; moins de 10 exemplaires produits

      Powell & Cie (Pays de Galle)

      Powell et Cie scooter électrique ; moyen de transport convenant pour les hôpitaux, les magasins, les services de building, les ensembles industriels, toutes les fois que le personnel est appelé à parcourir des surfaces étendues ; moteur 12 V alimenté par batterie, autonomie 24 km ; "Il est très facile à conduire, car il n'a ni boîte de vitesses ni embrayage. Il dispose de d'eux vitesses. Il est évidemment silencieux et sans fumées."


      Reliant Rebel 700 Estate

      Reliant Rebel 750

      Reliant Rebel 750 Estate

      Rolls Royce Silver Shadow Coupé 2 portes ; produite par Mulliner Park Ward ; 6230 cm3 (1971-1971)

      Rolls-Royce Corniche (Bentley Corniche 1966) ; V8 6750 cm3, 220 ch à 4500 tr/mn, boîte 4 vitesses, 520x170 cm, 2300 kg, 180 km/h

      Rolls-Royce Silver Shadow 6230 cm3 cabriolet (1971-1971)

      Rover P5 MK II B ; 6 cylindres en ligne 2995 cm3 (dérivé du moteur de la P4 "110" 2,5 l), ou version 2,6 litres (104 ch à 4750 tr/mn) . Bloc fonte, culasse alu, AC latéral, soupapes latérales d'échappement, 134 ch à 5000 tr/mn, 22,5 mkg à 1750 tr/mn. Boîte mécanique Borg & Back 4 rapports, overdrive en option. Boîte auto Borg Warner en option. (1973-1973)

      Rowan (Suède) (1969-1969)

      Saab 99 ; berline 2/4 portes, 2.0 l 100 ch (1974-1974)

      Saab Sonett II ; coupé 2 places ; moteur V4 Ford Taunus, 65 ch (1969-1969)

      Scaldia, voitures Moskvitch 412 et 427 break importées en Belgique, en finition Normale, LS, Elita et Rallye

      Shelby GT-500 ; moteur Ford V8 428 ci, 7014 cm3, 355 ch, 1623 kg, 212 km/h, 0-100 6 s (1968-1968)

      Shelby Mustang GT 350 (série 2) (1966-1966)

      Shelby Mustang GT 350 ; sur base Mustang "Fastback", présentée en août 1964 ; moteur V8, 289 ci "High Performance" 306 ch

      Simca 1100 au Salon de Turin ; 1ère traction Simca ; 44 ch, 130 km/h (1981-1981)

      Simca 1200 S au Salon de Paris (Bertone) (1971-1971)

      Simca 1500 ; 1475 cm3 69 ch, 145 km/h (1978-1978)

      Automobiles Sovam SA (France- 79 Parthenay) (1969-1969)

      Sovam ; coupé sport en polyester avec toit amovible, moteur Renault 845 15 ch ou 1108 62 ch, roues avant motrices, boîte 4 vitesses, 570 kg

      Siva - Sirio Siva (Conrero - Italie) (1969-1969)

      Sunbeam-Talbot Tiger 289

      Sunbeam-Talbot Tiger 289

      Suzuki Fronte ; 3 cylindres 2 temps arrière refroidi par air, 356 cm3 (52x56), compression 6.8, 31 ch à 6000 tr/mn, 3.7 mkg à 5000 tr/mn, 3 carbu simple corps ; tout à l'arrière, boîte 4 synchro ; long 2.995 m, larg 1.30 m, haut 1.30 m, empat 2.01m, 420 kg, 115 km/h, nouvelle carrosserie en 1971 (Fronte 71) ; nouvelle carrosserie en 1971 (Fronte 71); version Fronte 71 GTW en 1971 (37 ch, 440 kg, 125 km/h) (1976-1976)

      T.I.R.L. Tube Investments Research Laboratories - Essex (Grande-Bretagne)

      TIRL, petite voiture à deux places, carrossée en plastique, et disposant d'une autonomie de plus de 80 km, à une vitesse moyenne de 40 km/h ; "Elle peut faire un dur trajet de 48 km avec 176 arrêts et démarrages, en conservant de bonnes accélérations. Cette voiture a une batterie classique."

      Toyota Century (1981-1981)

      Toyota Sports 800 (S800, prototype au salon de Tokyo 1962) ; biplace à toit Targa, basée sur la mécanique de la Publica ; 2 cylindres à plat AV refroidi par air, 790 cm3, 82x73, AC latéral / soupapes en tête, 49 ch SAE à 5400 tmn, 7,3 mkg, deux carbus dbles corps, 9:1, tambours AV et AR sans assistance, boîte 4, susp AV roues indép, AR essieu rigide et ressorts semi-elliptiques, coque autoporteuse acier, ouvrants en alu, coupé 2 places avec Hard-top type targa ; L 3,48, l 1,46, h 1,17, empattement 2 m., 580 kg, 155 kmh (1970-1970)

      Toyota Land Cruiser FJ55V Station Wagon ; 100 000ème Land Cruiser en 1968 (1981-1981)

      Triumph Spitfire Mk III ; 4 cylindres 1296 cm3, 75 ch, 165 km/h ; 65 320 exemplaires (1970-1970)

      Triumph TR4 A IRS (1968-1968)

      Triumph TR5

      TVR Grantura, 1800 cm3 (1970-1970)

      TVR Tuscan V8 ; V8 origine Ford "289", 101,6x72,9, 4734 cm3, 1 carbu Holley 4 corps, 271 ch à 6000 tr/mn, châssis tubulaire acier, 4 roues indépendantes, 1000 kg, 4 disques Girling, 240 km/h (1972-1972)

      TVR Vixen S1 (1968-1968)

      Union Carbide (Etats-Unis)

      Union Carbide, motocyclette fonctionnant avec une pile à combustible


      Dans un numéro précédent d'Auto-Volt (décembre 1966), nous avons décrit l'Electrovan, fourgonnette expérimentale présentée récemment par la General Motors. Ce véhicule était actionné par une pile à combustible de 32 éléments à hydrogène et à oxygène mise au point et fabriquée par la Division de l'électronique d'Union Carbide. Pour mettre en relief les possibilités très grandes qu'offre la pile à combustible, les services de recherche d'Union Carbide ont présenté une motocyclette qui ne se distingue guère extérieurement des engins de types courants, mais dont le moteur à explosion a été remplacé par une pile à combustible fonctionnant à l'hydrazine avec l'oxygène de l'air. Elle roule en ne faisant entendre qu'un léger vrombissement, contrairement à ses congénères, Elle peut circuler à la vitesse de 40 km à l'heure, et effectuer un parcours de 320 km avec environ 3,80 litres d'hydrazine. Union Carbide a d'ailleurs précisé qu'il ne fallait pas conclure qu'elle envisageait de commercialiser de tels véhicules, mais que la démonstration devait seulement mettre en évidence quel stade avaient atteint les recherches, et quelles perspectives elles ouvraient. Il faut, à cette occasion, attirer l'attention sur l'hydrazine qui permet actuellement la réalisation de piles robustes, ne polluant pas l'atmosphère. Le principe de telles piles est connu depuis plus de trente ans, mais l'hydrazine était alors trop chère pour qu'on puisse s'y intéresser utilement. Depuis, son utilisation comme propergol dans les fusées a permis d'effectuer d'énormes progrès dans sa fabrication et de faire baisser son prix d'une manière importante. Union Carbide peut conclure dans le domaine de ses recherches : "nous sommes parvenus à un stade de la technique où il est possible de prévoir que ces éléments producteurs d'énergie pourront être prochainement commercialisés. AutoVolt, février 1967, G. Gory

      Urbanina - Bargagli & Cristiani (Italie - Pise)

      Urbanina Ue 2 au Salon de Genève ; prototype à châssis 4 places ; moteur électrique 1 kW 24 V disposé sous le plancher, batteries d'accumulateurs spéciales ; transmission progressive, levier de sélection sur le volant, "possibilité de monter n'importe quelle pente" ; carrosserie en plastique vitrifié ; longueur 1,96 m, largeur de 1,28 m, hauteur 1,70 m ; 70 km/h, autonomie 80 km ; "elle peut se garer partout grâce à une carrosserie tournante qui permet de descendre de tous les côtés"

      Urbanina Usc ; moteur thermique 2 CV, poids à vide 310 kg, 86 km/h

      Vauxhall Viva Brabham

      Volksrod (Grande-Bretagne)

      Volkswagen 1302 (1980-1980)

      Volkswagen 411 (1973-1973)

      Volvo 123 GT ; coach à moteur B18 1778 115 ch (1968-1968)

      Volvo 140 ; Volvo 200 en 1978 (1993-1993)

      Wartburg 353 W

      Westinghouse SA (Espagne)

      Willam (France - Ets Scattolini, Italie) ; Lawill, Lambretta S.A.F.D.

      Wolseley 1800 au Salon de Paris ; 1ère transmission automatique classique (Borg Warner) sur une voiture à moteur transversal ; convertisseur en bout de vilebrequin, transmission à la boîte automatique par une chaîne multiple ; train épicycloïdal à commande hydraulique, différentiel en arrière de la boîte

      ZIL 114 ; limousine d'apparat 7 places 114 et berline 5 places 117 ; moteur avant longitudinal, V8, 6 959 cm3 (108x95), vilebrequin à 5 paliers, arbre à cames central, carburateur quadruple corps ; compression 9, 230 ch SAE à 4200 tr/mn, 52 mkg à 2200 tr/mn ; compression 9.5, 300 ch SAE à 4400 tr/mn, 57 mkg à 2800 tr/mn ; roues arrière motrices, boîte de vitesses automatique ; châssis longerons, roues avant indépendantes (barres de torsion), essieu arrière rigide (ressorts semi-elliptiques), direction à circuit de billes avec servo-assistance, pneus 235x380 ; freins à disques avant et arrière avec servofein ; longueur 6.285 m (5.785), largeur 2.07, hauteur 1.51, empattement 3.76 (3.26), voies avant/arrière 1.57/1.62 ; poids 2800 à 3175 kg, 190 km/h


      Version ZIL 114, dans laquelle l'empattement et la carrosserie avaient été allongés, tandis que l'ancien moteur en fonte avait été remplacé par un nouveau groupe en alliage léger. La cylindrée fut portée à 6 959 cm3 et la puissance à 300 ch. La nouveauté pour la production soviétique était matérialisée par les freins à disque ventilés, la colonne de direction réglable, un mécanisme de fermeture des portes à commande centralisée et l'allumage électronique. Fin 1971, à la limousine ZIL 114. vint s'ajouter une nouvelle berline à 5 places. dênomée ZlL 117, avec un empattement de 3,30 m. Les ZIL sont les voitures de prestige de l'U.R.S.S. et leur construction est particulièrement soignée, Chaque moteur est essayé pendant trente deux heures et chaque voiture compléte effectue un essai de réception de 2 000 km.
BdA 2011

L'automobile en 1968

      Introduction des parcmètres à Paris, sur le terre-plein central du boulevard Pasteur, par le Préfet de Police, pour financer un vaste programme de parking souterrains

      MIT versus Cal Tech Great electric vehicle Race (USA), premier rallye de l'Electric Auto Association aux USA

      La BMC (British Motor Corporation) devient British Leyland (Donald Strokes)

      Le 27 juin, remaniement structural de la société Citroën ; Pierre Bercot est président de la société holding Citroën SA, qui groupe Citroën, Berliet et Panhard ; Claude-Alain Sarre est président d'Automobiles Citroën

      Le 11 janvier, accord de coopération Citroën-Maserati relatif à la conception, la fabrication et la vente d'automobiles

      Le 25 octobre, accord de coopération avec Citroën-Fiat ; constitution d'une holding commune, Pardevi.

      Leyland absorbe Brossel ; fabricant d'autobus belges en service sur le lignes de la STIB ; acquiert Pipe en 1932

      Skoda Motorsport recréé ; apparition en rallye en 1985 puis en 1989, avec une traction avant ; directeur du service compétition Pavel Janeba

      Ital Design (Italie) ; Giorgietto Giugaro fonde le studio Ital Design avec les techniciens Aldo Mantovani et Luciano Bosio ; Alfa Romeo Iguana puis Manta (3 places frontales)

      En 1962, il passe chez Bertone où il prend la succession de Franco Scaglione. Il y créera notamment l'Alfa Romeo 2600 coupé, le coupé Giulia, la Canguro, l'Iso Griffo et deux Ferrari 250 GT spéciales en 1960 et 1962. En 1965, il quitte Bertone pour Ghia où il dessinera deux de ses chefs-d'Ïuvre, la Maserati Ghibli et la De Tomaso Mangusta. En 1968, il crée sa propre affaire, Ital Design. Outre de nombreuses études de style, Ital Design signe les carrosseries de voitures de grande série qui connaîtront un immense succès commercial, l'Alfa Romeo Alfasud, les Volkswagen Golf et Polo, la Renault 21, entre autres. Il est, plus récemment, l'auteur de la berline Bugatti EB 112.

      Marathon Londres-Sydney

      Création du Championnat du Monde des Rallyes (constructeurs), remporté par Ford GB

      Rallye de Monte-Carlo : Vainqueur classé au scratch (fin des handicaps) ; 1ère participation des berlinettes Alpine 1300 cm3 ; Gérard Larrousse en tête du parcours commun dérape sur de la neige déposée par les spectateurs dans le Turini et abandonne, roue arrachée ; 1er Vic Elford devant Toivonen sur Porsche 911

      Victoire de Jean-Claude Killy en catégorie GT à la Targa Florio sur Porsche 911

      Ford Champion du Monde des Marques de Voiture de Sport

      24 heures du Mans : Circuit de 13.469 km : virage-chicane juste avant les tribunes pour diminuer la vitesse des voitures dans la courbe Dunlop (plus de 250 km/h) ; victoire de la Ford GT 40 Mk.I S 5.0 l de Lucien Bianchi et Pedro Rodriguez (4 452,880 km, 185,536 km/h) devançant la 907/8 Porsche de Sperry-Steinemann et la 908/8 de Stommelen-Neerpasch, tandis que les Alfa 33/2 de Giunti-Nanni Galli, Facetti-Dini et Casoni-Biscaldi prennent les places d'honneur devant la Ferrari 275 LM de Piper-Attwood.

      Aux 1000 km de Paris, victoire de Stommelen-Hermann sur Porsche 908

      Formule 1 : Graham Hill ; Champion constructeurs Lotus 49 / 49B Ford Cosworth DFV 3.0 V8 ; mort de Jim Clark à Hockenheim, Jo Schlesser, Mike Spence et Ludovico Scarfiotti ; Mauro Forghieri est le premier à installer un aileron sur une F1 ; premier sponsor extra-sportif en F1 au Grand Prix d'Espagne (le vert et jaune du Team Lotus devient rouge, blanc et or Gold Leaf) - victoire au GP d'Espagne (5) et Championnat du Monde remporté par Graham Hill, titre constructeur par le Gold Leaf Team Lotus

      Création de la Formule France (Formule Renault)

      31.3.1968 Formule France : châssis tubulaire, moteur R8 Gordini 1300, boîte de vitesses issue de la série, 420 kg (1ère course remportée par Jimmy Mieusset sur Grac) ; 1971 Formule Renault : organisation sportive de la Formule France confiée par la FFSA à la Promotion Sportive de Renault ; 1972 moteur R12 Gordini 1600, pneus Michelin obligatoires ; 1975 création de la Formule Renault Europe : kit moteur et pneus Michelin Racing, 1975-1978 ; 1976 pneus Michelin Racing pour la Formule Renault France (Alain Prost gagne 12 des 13 manches) ; 1977 1ère monocoque alu commercialisée par Tico Martini ; 1982 moteur R18 Turbo 1600 ; 1989 moteur R21 1721, châssis tubulaire obligatoire (réduction des coûts) ; 1995 moteur Laguna 2 l 12 soupapes 150 ch, boîte Hewland à crabots ; 5.11.1999 Formule Renault 2000 : moteur Clio RS 2.0 (préparation Huger, carter sec, 180 ch), coque carbone Tatuus, pneus Michelin Racing, 480 kg, 260.000 F T.T.C. (32.500 euros H.T.), une saison revenant à 850.000 F tout compris

      Abarth 1300 Scorpione Coupé ; carrosserie Franco Lombardi ; plate-forme Fiat 850, moteur Fiat 124 ; 4 cylindres en ligne, 1280 cm3, compression 10,5:1, 1 carbu Solex/weber, 75 ch 6000 tr/mn, 4 disques, boite 4, moteur arrière, 670 kg, 185 km/h, 0-100 12 s

      Giorgetto Giugiaro créé Ital Design

      Giorgetto Giugiaro (1939) entre dans l'équipe de Dante Giacosa au Centro Stile Fiat en 1956 à l'âge de dix-sept ans. Il est considéré comme l'un des plus grands designers contemporains. En 1962, il passe chez Bertone où il prend la succession de Franco Scaglione. Il y créera notamment l'Alfa Romeo 2600 coupé, le coupé Giulia, la Canguro, l'Iso Griffo et deux Ferrari 250 GT spéciales en 1960 et 1962. En 1965, il quitte Bertone pour Ghia où il dessinera deux de ses chefs-d'Ïuvre, la Maserati Ghibli et la De Tomaso Mangusta. En 1968, il crée sa propre affaire, Ital Design. Outre de nombreuses études de style, Ital Design signe les carrosseries de voitures de grande série qui connaîtront un immense succès commercial, l'Alfa Romeo Alfasud, les Volkswagen Golf et Polo, la Renault 21, entre autres. Il est, plus récemment, l'auteur de la berline Bugatti EB 112.

      AGS (Etats-Unis)

      Alfa Romeo Carabo

      Alfa Romeo Giulia 1750 Coupé GT Veloce ; baptisée 1750 en hommage à la prestigieuse Alfa du même nom ; 1779 cm3 118 ch, 190 km/h ; 4 4270 exemplaires (1972-1972)

      Alfa Romeo Spider 1300 Junior spider coda longa (arriere fusele) (1970-1970)

      Alfa Romeo Spider 1750 Veloce spider coda longa (arriere fusele) 4 cylindres 1960 cm3 132 ch (1970-1970)

      Alta - Alta Inc. (Grèce - Aten) (1974-1974)

      AMC AMX ; V8 de 225 à 315 chevaux. (1970-1970)


      AMC Javelin ; 6 cylindres en ligne 3,8 l 147 ch, ou V8 4,7 l ou 6 ; 4 l (315 ch). (1974-1974)

      A.M.S. - Attrezzature Meccaniche Speciali (Bologne, Italie) ; fabrique de voitures de sport (Equipements mécaniques spéciaux) créée en 1968 par ingénieur Tancredi Simonetti, après qu'il ait quitté ATS, (Automobile Tourisme Sport) ; en 1969, le siège de la firme est transféré de Casalecchio di Resto (Bologne) à Sasso Marconi (Bologne) ; A.M.S. débute par la construction du prototype 1000 SP et de cinq monoplaces de formule 850

      AMS 1000 SP ; prototype à châssis en treillis tubulaire ; en 1969, la 1000 SP finit deuxième de la course Bolzano-Mendola ; en 1970, adoption du chassis coque et moteurs Cosworth et Alfa Romeo (Championnat d'Italie en catégorie 1000 et 1300 cm3), en 1971, AMS remporte la Coupe C.S.A.I. avec Nesti et Buonapace ; Carlos Pace finit deuxième de la Temporada Argentina en 1972

      Andino Lui-Varela 850 GT

      Audi 100 GL


      Autolite Lead Wedge (Jerry Kugel - Etats-Unis)

      Autolite, voiture de record électrique ; 138 mph (222.042 km/h)

      A.Z.L.K. - Automobilnij Zavod Leninskovo Komsola - Moskvitch (Russie - Ishevsk) ; en novembre 1968, la MZMA (Moskovsky Zavod Malolitrazhnykh Avtomobiley) qui produit la Moskvich change sa raison sociale en AZLK (Autotatohilnij ZavodLeninskovo Komsomola) , quelques-uns des modèles produits à lshevsk sont vendus sous la marque lsh ; ils ne se distinguent des autres que par quelques petits détails ; la firme construit également de petits véhicules de transport ; la millionième Moskvitch est sortie des chaînes le 18 mai 1967 et, entre 1967 et 1974, un autre million de Moskvich sont produites

      Bellier - Groupe FAST (France - 85 Talmont-Saint-Hilaire) ; Jean Bellier - ex-Bel Motor

      Bertone Carabo ; vert-doré, portes en élytre et lamelles noires, profil en coin


      Bizzarrini Manta ; V8 origine GM, 101,6x82,55, 5354 cm3, 355 ch à 5800 tr/mn, boite 5. (1973-1973)

      Bizzarrini P 538 ; compétition, moteur central-arrière. châssis tubulaire acier, carrosserie fibre de verre ; moteur Lamborghini V12 4 litres (450 ch à 10.000 tr/mn) ou Chevrolet V8. Boîte ZF 5 vitesses. 4 disques, inboard à l'AR. 700 kg

      BMW 1600 Cabriolet (1970-1970)

      BMW 2.5 CS (1976-1976)

      BMW 2000 Coupé TI

      BMW 2000 TiLux 120 ch berline 4 portes (1971-1971)

      BMW 2500 6 cylindres 150 ch berline (1977-1977)

      BMW 2800 (1976-1976)

      BMW 2800 CS 6 cylindres 170 ch Coupé ; 6 cylindres en ligne, 2788 cm3, 86x80, 170 ch À 6000 tr/mn, 206 km/h, 1355 kg (1971-1971)

      British Leyland (Grande-Bretagne) (1982-1982)

      Buick Riviera ; V8, 6,6 litres 330 ch à 4400 tr/mn, 190 km/h (69 : 7 litres, 360 ch). (1969-1969)

      Cadillac Calais Sedan (1975-1975)

      CG 1000 S au Salon de Paris ; 1118 cm3 49 ch

      Chapron, cabriolet sur base Citroën DS, avec jane Birkin


      Chapron spéciale présidence, sur base Citroën DS 21 ; commandée par le général de Gaulle, longue de 6,55 m

      Chapron Le Léman, coach, proche dans le dessin de son pavillon des premiers Concorde; 24 exemplaires ; production reprise en 1972-73 avec une poupe rectangulaire (1973-1973)

      Chevrolet Chevelle (1972-1972)

      Chevrolet Corvette Sting Ray (C3) ; nouvelle partie arrière, toit amovible, boîte 4 , 471x175 cm, 1500 kg ; ; coupé V8 327 / 5360 cm3 et 350 / 5735 cm3 (1973-1973)

      Chevrolet Corvette Sting Ray cabriolet (C3) ; nouvelle partie arrière, toit amovible ; V8, 6997 cm3, boîte 4, 471x175 cm, 1500 kg, 240 km/h (1975-1975)

      Chevrolet Corvette Sting Ray (C3) coupé V8 427 / 6997 cm3 et 454 / 7440 cm3 (274 ch à 4400 tr/mn, 230 km/h) (1974-1974)

      Chevrolet Nova (1978-1978)

      Chevron Racing Ltd (Derek Bennett - Grande-Bretagne - Antrobus, Cheshire)

      Chrysler Newport (1981-1981)

      Chrysler Town & Country (1970-1970)

      Citroën Ami 6 Break (1974-1974)

      Citroën Dyane 6

      Citroën Dyane 6 Méhari / Citroën Méhari (Salon de Paris) ; véhicule tous chemins de type plateau pick-up, carrosserie en ABS thermoformé ; 2 cylindres horizontaux opposés, 603 cm3 (74x70), compression 7,55:1, 26 ch à 5400 tr/mn, soupapes en tête et culbuteurs, culasse hémisphérique, un carbu inversé Solex simple corps 40 PICS (à partir de Sept 72, Solex 34 PICS, refroidissement par air, traction avant, 4 freinns à tambours, boite 4, 525 kg, 100 km/h ; à partir de juillet 1977, freins à disques avant ; à partir de juillet 1978, double corps Solex 26/35 CSIC, 29 ch à 5750 tr/mn, refroidissement par air, traction avant, 4 fraiens à tambours (à partir de Juillet 77, disques AV), boite 4, 525 kg, 100 km/h. (1987-1987)

      à partir de septembre 1972, Solex 34 PICS, refroidissement par air, traction avant, 4 freins à tambours, boite 4, 525 kg, 100 km/h ; à partir de juillet 1977, freins à disques avant ; à partir de juillet 1978, double corps Solex 26/35 CSIC, 29 ch à 5750 tr/mn, refroidissement par air, traction avant, , boite 4, 525 kg, 100 km/h

      Citroën ID 20 ; moteur DS 20, 103 ch (1970-1970)

      Citroën DS 20 ; moteur DS 19A 1985 cm3, 103 ch puis 108 en 1971 (1971-1971)

      Costin (Frank Costin, Simon Garrett, and Bill Barranco with I.A.D. - Grande-Bretagne) (1972-1972)

      Cobra 427 de Caroll Shelby

      Cournil JA2 à moteur Diesel Land Rover ou Ricardo (Massey Fergusson) ; En 1970, après liquidation judicicaire, Alain Cournil reprend l'entreprise ; 80 Cournil sont produits jusqu'en 1977

      Dacia (Roumanie)

      Dacia ; berline 4 portes et break 5 portes dérivée de la Renault 12 ; nouvelle carrosserie en 1981 (1.3 56 ch) (1971-1971)

      Daf 44 Break


      Daf 55 Coupé (1975-1975)


      Dacia Pitesti ; berline 4 portes et break 5 portes, Renault 12 fabriquée sous licence ; 26 ch, 35 ch et 38 ch Diesel (Renault) ; nouvelle carrosserie en 1981 (1.3 56 ch)

      Daimler Limousine ; Evolution de la Jaguar Mk X, moteur 4.2 l issu des cabriolets Jaguar XK 120

      De Tomaso Mangusta au Salon de Turin ; berlinette à V8 Ford 4727 cm3, 270 ch, boîte 5 vitesses, 427x183 cm, 1450 kg, 250 km/h (1970-1970)

      La Carrozzeria Ghia, fondée en 1915 par Giacinto Ghia, périclite jusqu'à l'arrivée d'Alejandro de Tomaso, un pilote argentin qui avait fondé sa propre marque de voitures de sport à Modène en 1959. Il commissionne plusieurs voitures dont la fameuse Mangusta, en 1968, dessinée par le jeune Giorgietto Giugiaro qui avait pris la suite de Sergio Coggiola au style. La même année, il réalise un second chef-d'oeuvre, la Maserati Ghibli, alors que de Tomaso prend le contrôle de Ghia. De Tomaso rachète également la carrosserie Vignale qui produira sa Pantera qu'il réussit à vendre aux états-Unis par le canal de Ford.

      Dino 206 GT ; dessin PininFarina, moteur dérivé du V6 de Formule 1 ; présentée au Salon de Turin en septembre 1967 ; moteur en alliage léger V6 Fiat Dino à 65°, 1987 cm3 (86x57) 180 ch 2ACT, monté en transversal-arrière, 180 ch à 8000 tmn, 3 Weber doubles corps 40mm, carrosserie en aluminium fabriquée par Scaglietti ; 152 exemplaires (1969-1969)

      Fils unique du Commendatore, Alfredo Ferrari, dit Alfredino, voit sa jeune carrière de technicien interrompue à l'âge de vingt-quatre ans, foudroyé par la maladie en juin 1956. L'ombre du fils disparu continuera de planer à Maranello avec l'annonce, en décembre 1964, de la commercialisation d'une voiture sportive de la classe 1600 sous la marque Dino. Ferrari se refuse à mener lui-même ce projet. Fiat prend le relais et développe la Fiat Dino à moteur V6. En attendant le premier véhicule de route, les projets Ferrari pour la marque Dino se résument à la compétition. C'est sans compter sur Sergio Pininfarina qui propose l'idée d'une voiture de sport à moteur central. Malgré le refus d'Enzo Ferrari, le carrossier persiste et présente, au Salon de Paris 1965, la Dino Berlinetta Speciale. Treize mois plus tard, une version plus civilisée, la Berlinetta GT voit le jour avec un châssis tubulaire inédit et le moteur V6 2 litres de 180 ch de la Fiat Dino. En septembre 1967, la Dino 206 GT fait son baptême du feu au Salon de Turin. Produite à 152 exemplaires dès 1968, elle laissera la place, en mars 1969, à la 246 GT. En 1972, une version découvrable GTS viendra épauler la berlinette. En 1974, sa production s'arrêtera au profit d'un modèle moins sportif, la Dino 308 GT4.

      Dodge Coronet (1969-1969)

      Dodge Dart (1972-1972)

      Dodge Polara 2 door fast top

      Electra (The Ray Thomas Co. Inc. - Etats-Unis)

      Ets Arnault (France - Garches)

      Fairthorpe TX-GT

      Ferrari 250 P5

      Ferrari 330 GT Break Vignale

      Ferrari 365 GTC ; elle remplace la 330 GTC

      Ferrari 365 GTS ; elle succède à la 330 GTS et est surtout destinée au marché américain

      Ferrari 365 GTB/4 "Daytona" au Salon de Paris ; Pininfarina ; surnom dû à la victoire des P4 à Daytona en janvier 1967 ; moteur avant, selon Enzo Ferrari, agacé par le succès de la Lamborghini Miura à moteur arrière, "le cheval ne pousse pas la charrette, il la tire" ; V12 4390 cm3 (81x71) 352 ch à 7500 tr/mn 4ACT, carter sec, transmission classique, 280 km/h, 1280 kg ; 1 412 exemplaires (1974-1974)

      Pour tout le monde c'est la Daytona. Ce ne fut pourtant jamais une appellation officielle, son véritable nom étant, comme à l'accoutumée, la cylindrée unitaire, 365 cm3, suivie de GT pour Gran Tourismo, B pour berlinetta et 4 pour quatre arbres à cames. Elle reçut son surnom dès sa présentation, au Salon de Paris en octobre 1968, en souvenir de la victoire de Ferrari à cette course de 24 Heures, disputée sur le circuit de Daytona (Floride), aux Etats-Unis.La Daytona succède à la 275 GTB/4 et en reprend les 4 arbres à cames en tête, mais avec une cylindrée de 4, 4 litres, au lieu de 3,3 litres, ce qui lui permet d'offrir 52 ch de plus, tout en répondant aux nouvelles normes antipollution américaines.Le châssis en tubes de section ovale et son empattement de 2,40 m sont les mêmes que sur la 275 GTB/4, mais les voies avant et arrière sont plus larges et les jantes en alliage coulé de 15 pouces arborent un nouveau dessin en étoile à cinq branches, lui aussi directement inspiré de la Formule 1. Le 1er janvier 1972, la Daytona produite à plus de 500 exemplaires est homologuée en Groupe 4, Grand Tourisme Spécial. Elle connaît donc une carrière sportive pour laquelle elle n'avait pas été créée. Une quinzaine de voitures seront officiellement transformées pour la compétition. Engagées au 24 Heures du Mans elles s'adjugeront leur catégorie en 1972, 1973 et 1974. L'une d'elles gagnera le Tour de France automobile avec l'équipage Andruet/"Biche" en 1972 et une autre terminera deuxième des 24 Heures de Daytona en 1979 alors que la production a cessé depuis cinq ans ! Il fut construit environ 1300 exemplaires de la 365 GTB/4 entre 1969 et 1973 auxquels il faut ajouter 120 cabriolets Scaglietti.

      Ce fut la dernière berlinette à moteur avant de Ferrari. Elle fut en effet remplacée par la fameuse BB à moteur central.Le dessin de la carrosserie de la 365 GTB/4 est signée Pininfarina, qui construit le premier prototype, mais c'est Scaglietti qui en assurera la production. Le style de la Daytona est très nerveux et arbore des lignes tendues bien plus modernes que celles de sa devancière. Le trait le plus caractéristique en est assurément le bandeau transparent derrière lequel sont abrités les phares. Cette particularité va pourtant disparaître en 1971. Pour satisfaire aux normes américaines la Daytona reçoit en effet des phares rétractables.Au Salon de Francfort, en septembre 1969, un cabriolet signé Pininfarina est exposé. Cet exercice de style très réussi sera repris par Scaglietti qui réalisera 120 exemplaires parallèlement à la berlinette. Ils étaient équipés de roues à rayons Borrani et étaient mécaniquement identiques au coupé.Au Salon de Paris, en septembre 1969, Pininfarina expose un spider, très différent du cabriolet. Il est muni d'un arceau fixe en acier brossé et d'une lunette arrière souple escamotable. De plus, le porte-à-faux arrière est plus important et doté de pare-chocs plus enveloppants. Il restera unique.En 1974, Giovanni Michelotti dessine et réalise une carrosserie spéciale pour Luigi Chinetti sur un châssis Daytona de série. Il s'agit d'un spider du type Targa destiné à l'acteur Steve McQueen. Au Salon de Genève, une nouvelle carrosserie spéciale, signée et réalisée par le même Giovanni Michelotti à la demande du même Luigi Chinetti, est présentée sur la base d'une Daytona de série. Cette voiture évoque à la fois le spider destiné à Steve McQueen et la Chevrolet Corvette. Elle sera inscrite aux 24 Heures du Mans en 1975, mais sera retirée une heure avant le départ ainsi que l'ensemble des voitures engagées par la NART dans l'épreuve.Enfin, un étrange break aux proportions un peu déséquilibrées est réalisé par la firme Panther, en Angleterre, à la demande de "Coco" Chinetti, le fils de Luigi Chinetti. La partie arrière vitrée était articulée dans sa partie médiane et s'ouvrait comme les portes papillon de la Mercedes 300 SL, ou plus précisément comme le capot moteur de la De Tomaso Mangusta.

      Depuis l'aube des années cinquante, la berlinette à moteur avant est une tradition chez Ferrari, presque un label. Pourtant, en 1966, Ferruccio Lamborghini décida de faire mieux en présentant au salon de Genève un modèle à moteur central : la Miura. Son succès, son audace et surtout les performances de son moteur V12 ne pouvaient qu’agacer - et le mot est faible - son concurrent Enzo Ferrari. Du haut de son repère de Maranello, il faisait tonner un nouveau commandement destiné à ces adorateurs d’idoles modernes : "Le cheval ne pousse pas la charrette. Il la tire". Ainsi, la nouvelle 365 GTB 4, dont la présentation était programmée pour l’automne 1968, sera bien une berlinette traditionnelle à moteur avant. Ce choix ne facilite pas la tâche de Pininfarina chargé de concevoir et de réaliser la carrosserie. La silhouette compacte et surbaissée de la Miura a tellement bouleversé le petit monde des sportives que toutes les rivales semblent démodées et déjà condamnées. Stimulé par ce pari presque impossible, Pininfarina va pourtant enfanter un chef-d’oeuvre. Aujourd’hui encore, il est considéré comme le suprême aboutissement du concept de voiture de sport à moteur avant. Dévoilée au salon de Paris, l'auto surprend par la sobriété de ses lignes. Malgré son arrière court et son long capot effilé, elle dégage une formidable agressivité. Baptisée Daytona, en souvenir du triomphe des prototypes Ferrari sur la piste américaine en 1967, elle semble bien armée pour se montrer digne de cet héritage. Puissant et tout en souplesse, le V12 procure des sensations rares et des sonorités inoubliables. Si elle ne se montre pas des plus à l’aise sur des parcours accidentés, la Daytona va cependant s’imposer comme la meilleure grande routière de son temps, rapide et rassurante à haute vitesse. Elle marque toutefois la fin d’une époque. Il faudra attendre vingt ans pour revoir un coupé Ferrari à moteur avant.

      Ferrari 365 GTS/4 Daytona ; spider ; V124390 cm3, 320 ch 4 ACT (1969-1969)

      Fiat 128 ; Ingénieur Dante Giacosa, 1e berline Fiat traction à moteur transversal (1981-1981)

      Fiat 132 (Berline 1600-1800 cm3) (1977-1977)

      Fiat 850 0.9 Coupé / Spider / Sport Special / Super (1972-1972)

      FM Auto - Faralli & Mazzanti (Italie - Quattrostrade - Lari - Pisa)

      Ford Torino (remplace la Fairlane) (1976-1976)

      Ford Mustang Boss 302 ; V8, 4900 cm3 (302 ci), culasses "Cleveland" avec soupapes montées en biais, embiellage et vilbrequin en acier forgé à 5 paliers. 350 ch (rééls) / 290 ch (homologation) (1969-1969)

      Ford Mustang Boss 302 429 CI (option) ; V8, 7030 cm3 (429 ci) à culasses hémisphériques, 415 chevaux (réels) / 315 ch (homologation) (1969-1969)

      Ford Mustang Cobra Jet

      Ford Ranchero (1969-1969)

      Ford GT 40 Mk IV (1972-1972)

      Ford 17 M

      Ford Escort (propulsion) ; première Ford Escort, version break de l'Anglia 100 E, en 1955 ; Escort II en 1975 ; 4.000.000 d'Escort propulsion ; Escort traction en 1980


      Ford Escort 1300 GT

      Ford Escort 1300 Sport

      Ford Escort Estate (1970-1970)

      FSO 125 P (Polski-Fiat), 35-44 ch (1975-1975)

      Ginetta G15 (1969-1969)

      Holden HK (1969-1969)

      Honda N 360, N 400 et N 600 au Salon de Tokyo ; 2 cylindres coach, commercialisé à partir de mars 1967 (1974-1974)


      Honda S800 ; 70 ch à 8000 tr/mn (1974-1974)

      Irmscher GmbH (Allemagne - Remshalden-Grunbach) (1995-1995)

      Iso Fidia IR 10 ; berline à moteur Chevrolet 300 et 355 ch ; en 1972, moteur Ford 330 ch, 1972-74

      Iso Grifo 7 l 406 ch (Chevy 427)

      Isuzu 117 (1972-1972)

      Jaguar XJ 6 berline au Salon de Paris ; 6 cylindres, 2ACT, 92X106, 4235 cm3, 245 ch à 5500 tr/mn, boîte 4 manuelle ou auto. 3 vitesses, 1598 kg, 193 km/h (1972-1972)

      Jaguar Type E Series 2 (1970-1970)

      Primary spotting features : Uncovered headlights and large taillights under the rear bumper. Again, all 4.2 litre cars, produced through September, 1970. The 2+2 finally lost the "giraffe carrier" look when the base of the windscreen was moved forward to the front of the scuttle for Series 2. The more normally proportioned windscreen on the 2+2 also meant two wipers, rather than the three used on previous 'E' Types. The open 2-seater and FHC kept their traditional rooflines, triple windscreen wipers and 8' wheelbases, with the 2+2 still riding on an 8'9" wheelbase. Series 2 cars were produced from October, 1968, through September, 1970. Top speed, 143 MPH, 0-60 in 7.2 seconds (FHC, open cars and 2+2 cars were slower, automatic 2+2 very much so.)

      Jeffrey (Grande-Bretagne) (1975-1975)

      Jensen Interceptor Mk II ; 330 ch à 5000 t/mn, 1650 kg, 220 km/h (1971-1971)

      JMC - Jiangling Motors Corporation Limited (Chine)

      Kalmar-Daf (Kalmar Tjorven - Suède) (1971-1971)

      La Voiture Electronique (Jarret frères - France) (1975-1975)

      Lamborghini Islero 400 GT ; 320, puis 340 c, empattement 2,55 m (1969-1969)

      Lamborghini Espada ; dérivée du "dream-car" Bertone Marzal de 1967 ; coupé 4 places le plus bas et le plus rapide du monde à l'époque ; 4 l 325 a 360 ch ; V12 à 4 ACT, 3929 cm3 (82x62), 2ACT entraînés par chaîne, 6 Weber 40 DCOE, 325 ch puis 340 ch à 7800 tr/mn ; structure autoporteuse acier, suspension indépendante aux 4 roues, disques ventilés à l'AV, direction ZF ; longueur 4,73 m, largeur 1,85m, hauteur 1,18m, empattement 2,65 m, 1482 kg ; série 1 V12 4.0, 325 à 360 ch ; série 2 en 1970, série 3 1973-78 ; 1224 exemplaires (1972-1972)

      Lamborghini Miura S P400 au Salon de Turin ; 3 929 cm3, 370 ch à 7700 tr/mn, conduits d'admission de 30 mm contre 28, compression 10,5:1 puis 10,7 ; 4 Weber 40 IDL3L ; 39,5 mkg ; disques ventilés ; 1180 kg, 280 km/h (1971-1971)


      Lamborghini Miura Spyder / Roadster ; V12 à 4 ACT à 60° monté transversalement en position centrale-arrière, 3929 cm3, 9,5:1 (9.8 ?), 4 ACT, 2 soupapes/cyl, 4 carbus Weber, 350 ch à 7000 tr/mn. Plate-forme en acier + structures caissonnées en alu. 945/980 kg, 4 disques Girling, 273 km/h Réservoir 80 l. (1980-1980)

      Lancia A112 (ex-Autobianchi) (1976-1976)

      Lancia Fulvia 1300 HF (1969-1969)

      Lincoln Continental Mk III (1971-1971)

      LMX Automobile SRL (Michel Liprandi - Italie - Milan) (1972-1972)

      Lola GT ; V8 origine chevrolet 101,6x82,55, 5354 cm3. 9,6:1, 4 carbus Weber, 285 ch à 6700 tr/mn, moteur central-arrière. 800 kg

      Lotus Seven (Mark 7 ou Super 7 série 3) (1970-1970)

      Lotus Europe / Europa S1/A

      Lotus Europe / Europa S1/B

      Lotus Europa S2 (Type 54) (1971-1971)

      Lotus Elan S4 (type 36) ; 4 cylindres en ligne 1595 cm3, 2 ACT, 2 carbus Weber, 126 ch à 6500 tr/mn, boîte 4 rapports, 4 disques (1971-1971)

      Lotus Elan Plus 2 Coupé (1972-1972)

      Lotus 56 B à turbine F1 ; turbine Pratt Wittney, 4 roues motrices, pilote Dave Walker ; Formule 1 et 500 miles d'Indianapolis (1972-1972)

      Mahindra & Mahindra (Inde - Bombay)

      Manic (Canada) (1971-1971)

      Marcos 1600 coupé 2 portes ; 4 cylindres en ligne origine Ford 1598 cm3 (80,96x77,62), compression 9,00:1, 1 carbu Weber, 88 ch à 5400 tr/mn, 13,3 kgm à 3600 tr/mn, moteur avant, disques AV, tambours AR, boîte 4, 762 kg, 175 km/h, 0-100 11,4 s

      Maserati Ghibli (Spider) ; V8 à 90°, 93,9 x 85, 4719 cm3, 4 ACT, 4 carbus Weber, 330 ch à 5500 tr/mn, 1430 kg, 255 km/h, 0-100 7,2 s. (1972-1972)

      Maserati Indy (tipo 116, Salon de Genève) ; coupé 4 places, ; prototype au Salon de Turin 1968 ; V8 4135 cm3 (Mexico) 260 ch , 250 km/h 2+2, air conditionné, boîte 5 ou auto 3 rapports, 1500 kg (1976-1976)

      Maserati Mexico 4.7 (tipo 112) ; V8 à 90° 93,9x85 4719 cm3 290 ch à 5500 tr/mn 1600 kg 230 Km/h ; Version 4,2 l (4136 cm3 260 ch , 220 Km/h (1973-1973)

      Matra M 530 A (Salon de Genève 1967) ; 2+2 à moteur central arrière ; V4 Ford à 60°, 1699 cm3, 90x66,8mm. D'abord "P5S" 70 ch à 4800 tr/mn, carbu simple corps Solex, puis (68 >#1736) "C3S/C", nouvelles culases bougies à culot long, 70 ch à 5000 tr/mn, puis (69 > # 4000) "C3 D/C", carbu double corps Solex, 75 ch à 5000 tr/mn, puis (71, ALX et ASX) D/C DV-d. Boîte 4 rapports, 175 km/h Plate-forme en tôle soudée, carrosserie en résine époxy et fibre de verre, 4 disques, 935 kg Toit amovible de série avec blocage par papillons. (1973-1973)

      Matra MS 11 F1, débuts à Monaco 1968

      Débuts en F1 de Matra au GP d'Afrique du Sud (Jackie Stewart, Matra-Ford) ; victoire au GP de Hollande (Matra Ford, Jackie Stewart, Jean-Pierre Beltoise 2e sur la Matra V12) ; la Matra-Matra V12 débute au GP de Monaco (aucune victoire en F1)

      Mazda 1000 (1976-1976)

      Mazda Cosmo Sport 110S L10B Birotor ; moteur Wankel 982 cm3, 128 ch SAE à 7 000 tr/mn (1972-1972)

      Mazda R100 Familia Presto Coupe 2+2 (1973-1973)

      Mazda Luce Estate (1973-1973)

      Mazda : débuts des Mazda à moteur Wankel en Compétition

      1968 Mazda Cosmos 110S : 08-4e du Marathon de la route ; 1969 Mazda R100 Coupé : 07-5e et 6e des 24 h de Spa ; 11-1e à Suzuka ; 1971 Mazda RX2 : 07-3e au 1000 km de Fuji ; 1971 Mazda RX3 : 12-1e à Fuji Tourist Trophy ; 1981 Mazda RX7 : 26.07-1e 24 h de Spa (Walkinshaw-Dieudonné) ; 1984 Mazda RX7 : 07-1e au rallye de Pologne

      Mercedes 280 S (108) ; 6 cylindres en ligne, 2778 cm3, 2 carburateurs, 140 ch, 22,8 mkg, 1550 kg, 185 km/h ; 6 en ligne, 2778 cm3, 86x79, 9,5:1, 160 ch à 5500 tr/mn, 193 km/h, 1590 kg ; 6 cylindres en ligne 1 ACT, 2778 cm3, injection mécanique, 160 ch, 24,5 mkg, boîte 4, 5, ou auto, 1560 kg, 185/190 km/h (1972-1972)

      Mercedes 280 SE Cabriolet ; 6 en ligne, 2778 cm3, 86x79, 9,5:1, 160 ch à 5500 tr/mn, 193 km/h, 1590 kg (1971-1971)

      Mercedes 280 SL ; cabriolet avec hard-top, toit "pagode" (Paul Bracq) ; 6 en ligne 2778 cm3, 86,5x78,8, 9,5:1, 195 ch à 5900 tr/mn, 1360 kg, 200 km/h Boîte 4, sauf les plus récentes: boîte ZF 5 en option. (1971-1971)

      Mercedes 300 SEL 6.3 ; V8 6332 cm3, 250 ch à 4000 tr/mn (5250 maxi), 51 mkg à 2800 tr/mn ; boîte auto ZF 4 rapports, pont 2.85, pneus 195 VR 14 ; 1e rapport 3.98, 10.63 km/h à 1000 tr/mn (56 km/h maxi) ; 2e 2.46, 17.20 (90) ; 3e 1.58, 26.80 (140) ; 4e 1.00, 42.31 (219) ; 1765 kg, 0-100 km/h 7", 400 mDA 15", 1000 mDA 27"1

      Mercedes 300 TE D

      Mercedes série 200 (W114-115) ; E 200 / E220 / E 230 (1976-1976)

      Mercury Marauder (2005-2005)

      MG MGB Mark II

      Micron (Grande-Bretagne)

      Mini Mk II Clubman (1969-1969)

      Mitsubishi Colt (1977-1977)

      Mitsuoka Motor Co Ltd (Japon - Toyama Prefecture)

      Monteverdi 2000 GTi (1973-1973)

      Monteverdi 2000 GTI (Salon de Bâle 1968) ; 1996 cm3, 130 ch à 6000 tr/mn, boîte 4, 210 km/h.

      Monteverdi High Speed 375L (série 1 Frua) ; Idem 375 S (1969-1969)

      Moretti SS Torino (1969-1969)

      Morgan 4/4 ; moteur Ford 1.6 (1986-1986)

      Morgan Plus 8 ; cabriolet 2 portes ; moteur Ford 1.6 remplacé par le V8 Rover, 3528 cm3, 155 ch à 5200 tr/mn, 210 km/h, 850 kg (1980-1980)

      Moskvitch devient AZLK (Automobilnij Zavod Leninskovo Komsomola) en novembre 1968

      Moynet-Simca aux 24 h du Mans : moteur 1200 S - abandon

      Nissan / Datsun 1800

      Nissan Laurel C30 (1973-1973)

      Nissan Skyline 2000 GT / 2000 GTR (1978-1978)

      NSU RO 80 ; berline à moteur Wankel birotor 115 ch (sa carrosserie préfigure l'Audi 80) (1977-1977)

      Oldsmobile 442 (4-4-2) (1970-1970)

      Opel GT 1100 (1970-1970)

      Opel GT 1900 au Salon de Paris (1973-1973)

      Opel Kapitan (1973-1973)

      Opel Admiral


      Pachiaudi ; buggy d'Yves et Jean-René Pachiaudi

      2 formules Vée construites en 1965 pour Yves Pachiaudi ; châssis et mécanique VW Coccinelle, coque polyester ; 25 exemplaires construits (immatriculés sous le nom de Pachiaudi Original) ; châssis compétition à >moteur VW 1600, gagne à Chamrousse 3 ans de suite ; 1 buggy vendu à Bernard Grosfilley, vainqueur aux 2 premières éditions du Rallye Tout Terrain du Haut Bugey ; victoire d'Yves Pachiaudi au Rallye des Cimes 1974 ; châsssis tubulaire en 1975, moteur Porsche 914 100 ch, vainqueur au Cîmes 1975 et 1976, puis 1981 avec Garnier ; premier 4 roues motrices en 1977, moteur Porsche 2.7, premier aux Cîmes 1978 ; 17 victoires de 1979 à 1985 en version 2 roues motrices ; 4 roues motrices et moteur central fin 1983, champion de France en 1984 (victoire au Haut Bugey) et 1985 (premier aux Cîmes et au Haut Bugey) ; en 1987, nouveau buggy à suspension triangulée et moteur Porsche 3.4 250 ch, 6e à la Baja espagnole 1988, 6e victoire au Rallye des Cîmes en 1988 (10 victoire d'un engin Pachiaudi)

      Peugeot 504 au Salon de Paris (Pininfarina) ; 4 cylindres 1796 cm3, 73 ch, 155 km/h ; Diesel 2304 cm3 64 ch, 145 km/h ; voiture de l'année 1969 ; 3.6 millions d'exemplaires - bda (1986-1986)


      Plymouth GTX Hardtop

      Plymouth VIP Fasttop

      Polski-Fiat 125 ; réplique de la Fiat 125

      Porsche 911 T 110 ch

      Porsche 911 R (compétition) ; 6 cylindres à plat, 1991 cm3, 210 chevaux. (1970-1970)

      Porsche 907 (1971-1971)

      Porsche 908 3.0 ; moteur 8 cylindres à plat, 360 ch ; 1er titre mondial Porsche en 1969 (remporte 6 épreuves sur 10) (1974-1974)

      Pumas (Puma) ; voitures de sport à base VW

      Quasar (Quasar Kanh - Unipower Cars Ace Works - Grande-Bretagne - London)

      Ranger (Afrique du Sud) (1973-1973)

      Reliant Regal

      Renault 6 au Salon de Paris

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      Renault 6 Rodéo

      Renault 8 S ; 4 cylindres 1108 cm3, 60 ch, 145 km/h ; 52 400 exemplaires (1972-1972)

      Renault 16 ; première berline bicorps de grande série, hayon arrière (1980-1980)

      Rolls Royce Phantom VI

      Rover P5B ; Rover V8 3228 cm3 (1969-1969)

      Rover P6 3.5 Rover V8 (1969-1969)

      Sarap (Société Anonyme de Recherche et Application Plastique) ; voiture de course à carrosserie plastique ; construction des buggies à moteur Renault Buffalo

      Sbarro (Franco Sbarro - Suisse - Les Tuileries de Grandson)

      Seat 124 (1983-1983)

      Shelby Mustang GT 350 Cabriolet (série 1) (1970-1970)

      Simca Mistral (1970-1970)

      Sovra-LM (France - Corbeilles en Gâtinais) ; Michel Landois, ingénieur automobile, fabrication de buggies sur base VW 1300 ou 1600; de 1968 à 1978 ; 3 carrosseries/jour et 2 modèles montés/semaine (environ 7000 exemplaires) ; depuis 1978, 2 carrosseries/jour, un modèle monté/semaine (environ 6500 exemplaires) ; 14.000 buggies sortis au 1.1993 et diffusés en France, dans les DOM-TOM et en Afrique

      Sunbeam Rapier (1976-1976)

      Toyota 1000 Estate

      Toyota 2000 GT (Salon de Tokyo 1965) ; coupé 2 places ; dessin Albrecht Goertz ; 6 en ligne, 1998 cm3 (75x75) 150 ch à 6600 tr/mn, 3 Carbus Solex (option Weber/ 200 ch), 18 mkg, bloc fonte, culasses alu hémisph, 2ACT, boîte 5, 4 roues indép, 4 disques, châssis caissons, coque acier, 1120 kg jantes magnésium, 220 km/h (1970-1970)

      Toyota Corona Mk II (1974-1974)

      Toyota Corona Mk II Hard Top (1975-1975)

      Triumph Spitfire Mk III (1970-1970)


      Triumph GT6 (Michelotti) ; Mk 1 1968, Mk 2 1969, Mk 3 1970-1973


      Triumph 2.5 PI

      TVR Vixen S2 (1970-1970)

      Tyrrell - BAR/Tyrrell (F1 - Grande-Bretagne) (1997-1997)

      Vanden Plas Princess 1300 berline, conduite a droite / à gauche (1974-1974)

      Vauxhall Viva GT

      Volkswagen Bresil (Bresil)

      Volkswagen 1303 (1973-1973)

      Volkswagen Coccinelle cabriolet 3e génération, phares verticaux (1973-1973)

      Volkswagen 411/412 ; 367.728 exemplaires (1974-1974)

      Volvo 145 (1975-1975)

      Volvo 164 ; berline 6 cylindres ; 164 E en 1972 (1975-1975)

      Zastava 1300 (1980-1980)

      Volvo P1800 S 1985 cm3, 90 ch à 5500 tr/mn, boîte 4, 1090 kg, 170 km/h

      En 1968, l'étude d'un dérivé "break de chasse" est confiée au styliste transalpin Coggiola. Ce véhicule original et chic, baptisé P 1800 ES connut une carrière très brève du fait de son prix excessif. Aujourd'hui encore, ce véhicule intemporel reste une source d'inspiration pour les designers suédois, à en croire le récent prototype SCC.
BdA 2011

L'automobile en 1969

      Expérimentation de la limitation de vitesse sur 1.600 km de routes nationales de rase campagne constituant 5 grands itinéraires (24.3.1969) ; vitesse fixée à titre permanent à 100 km/h, sauf sur quelques sections réduites où elle est fixée soit à 80, soit à 120 ; les conducteurs sont autorisés à dépasser de 20 km/h la limite fixée lors des manoeuvres de dépassement ; action répressive de la Gendarmerie limitée à 1 heure de contrôle par jour et pour 100 km ; adoption du cinémomètre Mesta (précision acceptable de ñ 3 à 5 %, prix abordable), 30 appareils en 1969

      Limitation de vitesse à 90 km/h pendant un an pour les nouveaux titulaires du permis de conduire

      SMIG à 98 F

      Premier vol d'essai de Concorde le 2 mars ; le projet débute en 1962, le premier vol commercial a lieu le 21 janvier 1976

      Fondation de la société Audi-NSU ; Volkswagen, actionnaire majoritaire, reprend le projet NSU K 70 (1ère traction VW)

      Création de Chrysler France

      Citroën acquiert une participation majoritaire de Maserati

      La Société des transports Citroën crée CITER, société de location de véhicules

      Les Ferrari sont importées en France par Charles Pozzi.

      Fiat (Gianni Agnelli) achète 50% des parts de la SEFAC Ferrari le 18 juin 1969 pour plus de deux milliards de lires (7e rencontre au 8e étage du siège de la Fiat, corso Marconi à Turin ; 1ère le 21 mai) ; Ferrari conserve l'entière direction du département compétition "assuré d'avoir donné une juste orientation à l'entreprise à laquelle il a consacré toute sa vie"

      Fiat devient actionnaire majoritaire de Lancia

      Accord de coopération entre Matra et Simca ; Le réseau Simca distribue les automobiles Matra ; les modèles de compétition prennent l'appellation Matra-Simca

      MG est repris par la British Leyland

      5.000.000 de Peugeot produite

      Renault-Gordini s'installe dans de nouveaux locaux à Viry-Châtillon, baptisés usine "Amédée Gordini"

      Premières motos japonaises en France : Honda 125 et 250 Benly et Dream

      For the 1969 Motor Show the cars were merely "face-lifted" by fitting new wheels, new seats and a new matt black front grille with the M.G. badge moved to its center - plus, to the disgust of the traditionalists, British Leyland badges on the body sides

      Hertz en France


      Implantation en 1954, à l'intention des touristes américains ; 150 000 voitures dans le monde, 120 000 aux Etats-Unis et 25 000 en Europe, 5 000 en France ; 3 000 appartiennent à Hertz France, dans 30 succursales, et 2 000 à 110 concessionnaires ("l'abandon international" existe depuis1962) ; 700 sont des Renault 16 (100 R 16 TS), les autres des Renault 4 (en Corse), 6, 8 et 12, des Peugeot 204, 304 et 504, des Simca 1000 et 1100, des Fiat 850 et quelques Mercedes, Volvo, Rover ; la Citroën DS n'a pas été retenue en raison de son coût à la revente et à l'entretien ; la moitié du parc est affecté aux aérodromes ; l'âge moyen du parc est de l'ordre de 7 mois, avec une limite autour de 15 000 km au compteur (les 30 000 km ne sont jamais atteints) ; 60 à 65% des utilisateurs sont français, 10 à 15% américains, les autres sont anglais, allemands... ; 45% des déplacements sont professionnels, 30% touristiques ; la durée moyenne de location est de 3 jours (4 à 5 jours en été), avec 120 km parcourus par jour (les toursites américains parcourent 20 km par jour en moyenne) ; les "Golden Girls" ont le niveau hiérarchique le plus élevé... et les jupes les plus courtes

      Porsche Champion du Monde des Marques de Voiture de Sport avec les 908 et 917 ; 1er titre mondial pour Porsche (la 908 3.0 remporte 6 épreuves sur 10)

      Victoire de Björn Waldegard au Rallye de Monte Carlo, sur Porsche 911 ; il remporte 5 des 7 spéciales du complémentaire mais perd 2' de pénalisation routière lors d'un changement de plaquettes de freins ; Vic Elford, alors premier, heurte violemment un arbre et abandonne à Sospel lors d'un tronçon de liaison ; publicité autorisée sur les voitures ; Vinatier 4e sur une Alpine Renault 1300 S, Nicolas 5e sur une 1600 S

      24 heures du Mans : 4ème victoire consécutive de la Ford GT40 (Mk II 7.0 1966, triplé, Mk IV 7.0 1967, GT 40 5.0 1968 ; 1er Jacky Ickx - Jackie Oliver sur Ford GT40 Mk.I S, 4997,88 kms à 208,25 km/h de moyenne, 120 m devant la Porsche 908 de Gérard Larrousse-Hans Herrmann, après 4 998.000 km de course ; grave accident de Henri Pescarolo sur Matra aux essais ; Lucien Bianchi se tue aux essais

      Le hurlement des Matra en 1969 ne fait qu'amplifier l'intensité du fantastique duel opposant la Ford GT 40 d'Ickx-Oliver et la Porsche 908 de Hermann-Larrousse. Rarement, une course aura soulevé un tel enthousiasme, un tel suspense, une telle passion. Après 24 heures d'empoignade, les deux prétendantes à la victoire terminent au sprint. Et quel sprint ! Parti au pas rejoindre son poste de pilotage, Jacky lckx part derrière la meute et termine... devant la Porsche pour quelques mètres seulement ! Les Porsche 917 et les Matra jouaient du vibrato, la photo-finish méritait bien cet accompagnement somptueux...

      1000 km de Paris : Jean-Pierre Beltoise-Henri Pescarolo sur Matra 630

      Turbines interdites aux 500 miles d'indianapolis

      Jackie Stewart champion du Monde F1 sur Matra Ford MS 80, un an après ses débuts en F1 (6 victoires) ; Champion constructeurs Matra MS10 / MS80 / MS84 Ford Cosworth DFV 3.0 V8


      Création de Tyrrell F1

      Ken Tyrell débute dans le commerce de bois (surnom "marchand de bois" ou "bûcheron"), il découvre le sport automobile à Silverstone en 1951 ; en F3 de 1952 à 1957, puis F2 oùu il arrête le pilotage fin 1958 ; fonde une écurie privée en 1959 avec des Cooper F2, Cooper officielles en 1960, Formule Junior puis F3, engage Jackie Stewart en 1964, F3, F2 puis F1 ; 2e au Championnat des Conducteurs 1968 (Matra Cosworth) ; en 1970, les constructeurs refusent de lui fournir un châssis (Stewart trop performant) ; titre mondial en 1969 (Matra Cosworth), 1971 (Tyrell) et 1973 (Tyrell), 2e en 1972 ; fin 1973, Stewart se retire (mort de François Cevert au GP des USA) ; ernière victoire enregistrée par Alboreto aux USA 1983

      Débuts de Frank Williams en F1; Brabham privée engagée pour son ami Piers Courage

      Frank Wiliams vend des pièces de rechange en F3 (camion-atelier) puis des voitures de course d'occasion ; en 1968, cesse de piloter et s'occupe de la Brabham F2 de Piers Courage en 1968 (victoire à Buenos Aires, dernière manche de la Temporada sud-américaine) ; crée l'écurie Williams en 1969, Brabham Ford F1 pour Piers Courage (couleur bleu nuit, présentation impeccable, seul concurrenbt privé avec Rob Walker, Lotus pour Siffert) ; débute au GP d'Espagne (Montjuif), Brabham BT 26 (châssis n°1), ingénieur Robin Herd, abandon en course (ressort de soupape cassé) ; 2e à Monaco (2e GP disputé) puis aux USA, 8ème au Championnat Pilotes 1969 ; en 1970, les constructeurs refusent de fournir un châssis à Williams qui achète une March (Robin Herd), Williams décide Alessandro De Tomaso à construire une F1 en 1970 et devient manager d'une écurie d'usine (au lieu de concurrent privé) ; dessin de Gianpaolo Dall'Ara et moteur V8 Cosworth, début au GP d'Afrique du Sud (Piers Courage) ; Piers Courage se tue au Grand Prix des Pays-Bas 70 (sortie de route, accélérateur bloqué) sur la De Tomaso ; Courage à Zandvoort (aucune course terminée en 11 GP) ; en 1971, Henri Pescarolo sur March 701 puis 711 Motul, ingénieur Len Bailey, victoire à la Gold Cup à Oulton park (hors-championnat) ; engage des March en F2 pour Jean Max et Carlos Pace ; en 1972, March 711 et 721 puis voiture créés pour Williams en 1972, avec la marque de jouets Politoys, ingénieur Len Bailey ; débuts au GP d'Angleterre avec Pescarolo (voiture pratiquement détruite à la suite du rupture de suspension avant), reste de la saison avec Carlos Pace ; Iso Ford IR en 1973, avec le concours de Marlboro (Iso-Marlboro, nouvelle version de la Politoys) ; 2 fois 6e en 1973 (Van Lennep en Hollande et Howden Ganley au Canada) ; Iso Ford FW en 1974, 4e ; Williams Ford FW 1 en 1975 (Jacques Lafitte 2e au GP d'Allemagne) ; Williams Ford FW 05 (Hesketh 308 C) en 1976 ; après une association décevante en 1976 avec le pétrolier Austro-Canadien Walter Wolf, sa nouvelle écurie, Williams Grand Prix Engineering, achète une March qui est confiée à Patrick Neve ; au cours de cette même période, Williams recrute des mécaniciens qui lui resteront fidèles par la suite, ainsi qu'un ingénieur à l'avenir plein de promesses, qui se nomme Patrick Head... ; écurie Saudia-Williams en 1977 (March 761/B) ; Williams FW 06 en 1978 et début 1979 pour Alan Jones ; Williams FW 07 en 1979, 5 victoires en GP

      Début du Criterium national de Formule bleue disputé en circuit sur monoplace MEP X2

      En mars 1968, 20 monoplaces MEP X2 sont offertes par Citroën à la Fédération française des clubs automobiles. Maurice-Emile Pezous, ingénieur des Arts et Métiers, concessionnaire Citroën à Albi, dessine en 1965 les plans d'une monoplace pour l'initiation des jeunes à la compétition en circuit. Il la baptise de ses propres initiales. Mais cette première MEPP, ainsi que le lui confirme le pilote Maurice Trintignant après essai du prototype, souffre du manque de puissance (25 ch) du moteur 600 cm3 de l'Ami 6 dont elle est équipée. Pezous le remplace par le moteur 848 cm3 (60 ch) de la Panhard 24 CT. Dotée d'un châssis tubulaire portant une carrosserie légère en polyester moulé, d'une boîte de vitesses et de quatre freins à disque Citroën, cette monoplace MEP X2 atteint 190 km/h. élle séduit Pierre Bercot, PDG de Citroën. Avec la contribution de BP, il en est alors construit vingt exemplaires. Ils sont remis à la Fédération nationale des clubs automobiles au printemps 1967. D'une façon un peu anarchique, ils évoluèrent au cours de l'année 1968 sur différents circuits. En 1969, il est demandé à René Cotton de prendre en mains les activités des MEP X2 et d'y mettre de l'ordre. Il crée un critérium national de Formule bleue (prise en compte des dix meilleurs résultats sur dix-sept courses en circuit et dix-sept courses de côte), approuvé par la Fédération française du sport automobile et richement doté. Cinquante monoplaces MEP X2 sont fabriquées. Leur prix de revient est de 24 000 F ; elles sont vendues au prix exceptionnel de 8 000 F grâce à la participation de Citroën, Michelin et Total (qui a relayé BP). Dès la création de la GS en 1970, Maurice Pezous adapte sa boîte, sa transmission, ses freins et son moteur quatre cylindres à sa monoplace, qui dispose alors de 78 ch et atteint les 200 km/h. Vingt-cinq de ces MEP X27 sont fabriquées en 1971, vingt-cinq autres en 1972, vendues sur des bases similaires à celles de la X2. Cette année-là, Marlène Cotton en peaufine encore le règlement et impose une discipline sans faille qui fait de la Formule bleue l'exemple à suivre. Des moteurs sont prélevés après chaque course et leur conformité au règlement est vérifiée et s'il le faut sanctionnée. En 1974, les courses de côte, peu prisées des concurrents, sont supprimées, en même temps qu'est annoncé pour l'année suivante l'arrêt de la formule, qui coûterait cher à ses sponsors quand il faudra financer le renouvellement des voitures. Les temps sont devenus durs. Fin 1975, après sept ans, plusieurs centaines de jeunes pilotes ont été formés à la course en circuit grâce à la Formule bleue.

      Les champions de France de Formule bleue : 1969 : Roger Dubos (MEP X2) (14 victoires en circuits, 5 en courses de côte. 30 concurrents, 34 épreuves) ; 1970 : Alain Couderc (MEP X2) (12 victoires en circuits, 4 en courses de côte. 50 concurrents, 35 épreuves) ; 1971 : Hervé Labedan (MEP X2) (11 victoires en circuit, 3 en courses de côte. 50 concurrents, 37 épreuves) ; 1972 : Philippe Bochet (MEP X27) (182 points. 50 concurrents, 42 épreuves) ; 1973 : Jean-Pierre Maillard (MEP X27) (6 victoires en circuit, 3 en courses de côte. 65 concurrents, 29 épreuves) ; 1974 : Patrick Piget (MEP X27) (7 fois premier. 43 concurrents, 14 courses en circuit) ; 1975 : Philippe Jaffrennou (MEP X27) (6 fois premier. 53 concurrents, 13 courses en circuit)

      Création d'Opal Lubrifiants (IG, Rueil Malmaison), regroupement d'entreprises spécialisées

      Moteur Z V6 PRV 2.5 à 3.0 l (120/j), moteur J essence 2.0 et 2.2 l, Diesel 2068 (1200/j) ; Renault 21 (2.0 et 2.2 Turbo), Nevada, 25, Espace, Trafic et Master ; Diesel : Renault 21, 25, Espace, Trafic, Master, Jeep Cherokee ; Moteur TU 954 à 1360, Diesel 1360 (4.350/j) : Citroën AX, BX 14, ZX Reflex et Avantage, Peugeot 106, 205, 309 et 405 GL ; Citroën AX Diesel

      Création de la CFM (Française de Mécanique) ; accord Peugeot-Renault (5670 moteurs/jour en 1991)

      Boîte de vitesses automatique pilotée électroniquement sur la Renault 16

      Porsche 908 (sport proto) ; châssis multitubulaire en aluminium très complexe, à partir de 1969 ; Une valve permettait de le remplir en air comprimé, un manomètre permettant de détecter ainsi la présence de fissures ou de rupture ; Ce système fut utilisé sur les 917 et 936, dont le châssis dérivait de la 908 ; On le vit donc aux 24 heures du Mans de 1969 à 1981

      Abarth 1600 GT Coupé (Italdesing) ; moteur arrière 4 cylindres en ligne Abarth, 2ACT, 1592 cm3 (86x68,5), compression 9,8:1, 2 carbus Weber, 145 ch à 7200 tr/mn, boite 6, 674 kg, 240 km/h

      Abarth 2000 Coupé Speciale ; moteur central arrière 4 cylindres en ligne Abarth, 2ACT, 4 soupapes/cylindre, compression 10,5:1, 2 carbus Weber, 220 ch à 7600 tr/mn, boite 5, 4 disques, 275 km/h

      ABC - Auto Body Craft (Ggrande-Bretagne - Brierley Hills, Staffs.) (1975-1975)

      Adams Probe (Grande-Bretagne) (1971-1971)

      Alfa Romeo Coupé 33

      Alfa Romeo Giulia GTA 1.3 Coupé (1972-1972)

      Alfa Romeo Junior Z 1300 au Salon de Turin (Zagato) ; sur base Spider Giulia ; 208 voitures vendues fin 1969 ; 1108 exemplaires ; 1600 en 1972 (1972-1972)

      Alfa Romeo Montreal (Bertone, exposition universelle de Montreal 1967) ; moteur dérivé de celui de l'Alfa Romeo 33 de compétition ; V8 2.6 200 ch, 1270 kg, 220 km/h ; ; V8 2ACT 2593 cm3, 80x64,5, 200 ch à 6500 tr/mn, 4ACT, boîte 5, coque autoportante, 4 disques, 1270 kg, 220 km/h (1976-1976)

      Alpine Renault A 110 1600 S au Salon de Paris ; moteur R16 TS ; 1 565 cm3, 95/138 ch ; proche de la version championne du monde des rallyes en 1973 ; ; 202 + 1 550 exemplaires (1973-1973)

      Alta Inc. (Grèce - Athènes) ; sous le nom d'Attica, l'usine grecque Vioplastic construisit sous licence, de 1967 à 1969, la voiturette allemande Fuldamobil à moteur arrière monocylindrique et carrosserie en résine armée de fibres de verre ; depuis 1969, la licence appartient à la société Alta Inc., dont le siège est Athènes, qui en continue la construction sous le nom d'Alta avec une carrosserie légèrement modifiée

      Ambassador (Grande-Bretagne) (1980-1980)

      AMC Hornet

      AMC AMX/2 au Chicago Auto Show


      AMX (Bizzarini - Italie - Turin) (1972-1972)

      Andino coupé GT 1100 ; moteur de 1118 cm3 soit d'un moteur de 1300 cm3

      Ariès Formule 3 au salon de Genève


      Entreprise espagnole fondée en 1920 et produisant des accessoires automobiles et des véhicules spéciaux. L'Ariès, dont le siège est à Barcelone, a également construit pendant une brève période une monoplace de formule 3. La gamme des véhicules spéciaux comprend un tout-terrain amphibie destiné au transport de matériaux, des véhicules pour terrains de golf et des engins équipés de patins et de chenilles utilisables sur les champs de neige.

      Aston Martin DB6 Mark 2 ; 277 exemplaires dont 46 avec injection électronique Brico et 38 Volante ; Comme DB6, sauf roues, pneus et moyeux de la DBS. Quelques exemplaires en Vantage (badge sur les sorties d'air latérales) 3 Weber 45, compression 9,4:1, 325 chevaux. (1971-1971)

      Aston Martin DBS, "la voiture la plus rapide du moment" ; V8 5340 cm3 (100x85), puissance non annoncée, couple 55 mdaN à 4500 tr/mn, injection Bosch, 275 km/h

      Aston Martin Volante Mark 2 cabriolet (1970-1970)

      Audi 72, 80, Super 90 et 100

      Audi 100S au salon de Francfort ; coupé 2 portes "fastback" ; 4 cylindres en ligne 1871 cm3, deux carburateurs, 115 ch à 5500 tr/mn, boîte 4, freins avant à disques ventilés ; longueur 440 cm, hauteur 133 cm ; 185 km/h (1976-1976)

      Audi AG (Allemagne - Ingolstadt)

      Austin 1300 GT

      Austin Maxi (1981-1981)

      Austin Mini 1275 GT, la Mini Cooper devient 1275 GT depuis fin 1969 ; fin de l'accord avec Cooper en 1970 avec la S Mk III (coût 2 livres par voiture)


      Austin Mini Clubman

      Austin-Healey Sprite Mk V (1971-1971)

      Autobianchi A111 ; 56 900 voitures produites (1973-1973)


      Autobianchi A 112 au Salon de Turin ; moteur 4 cylindres transversal avant, cylindrée 903 et 965 cm3, puissance 44 et 48 ch, vitesse maxi 135 et 140 km/h ; 1,2 million d'exemplaires produits ; ligne modernisée en juillet 1979 (1982-1982)


      Conçue pour tailler des croupières à la légendaire Mini Austin, l'Autobianchi A 112 a parfaitement rempli son contrat. E légante et surtout meilleur marché que sa rivale britannique, elle est restée seize ans au catalogue et a été commercialisée à plus de 1,2 million d'exemplaires. Absorbée par le géant Fiat en 1955, la vieille société Bianchi fait alors l'objet d'une sérieuse cure de rajeunissement. Rebaptisée Autobianchi, elle va d'abord produire d'élégantes petites voitures dérivées de la Fiat 500, avant de devenir le laboratoire technologique de la firme turinoise. En 1964, c'est sur l'Autobianchi Primula que Fiat inaugure des solutions d'avant-garde (carrosserie bicorps, moteur transversal avant et traction avant) évitant ainsi de prendre des risques commerciaux avec ses propres modèles. Forte de cette image innovante, Autobianchi se taille bientôt une place enviable sur le marché des populaires à tendance bourgeoise. Fiat, chahuté sur ses propres terres par le succès croissant de la Mini Austin, produite désormais en Italie sous le label Innocenti, décide une fois encore d'envoyer Autobianchi en première ligne. Présentée au Salon de Turin 1969, la petite A 112 exprime une synthèse parfaite du savoir-faire de la marque. Elle conjugue des solutions modernes (traction et moteur transversal avant) avec une ligne élégante et, surtout, une meilleure finition que sur les Fiat. Un peu bruyante, mais plutôt confortable avec sa suspension à roues indépendantes, elle fait preuve d'une belle agilité on ville. Sa mécanique, assez tonique, lui permet de se faufiler avec aisance dans le trafic. Citadine par excellence, elle n'est pas des plus à l'aise sur les longs trajets, mais se montre plaisante (surtout en version Abarth> dès que la route devient sinueuse. Pouvant compter sur des moteurs fiables dans l'ensemble, l'Autobianchi A 112 collectionnait néanmoins les problèmes des italiennes de l'époque (électricité fantaisiste et corrosion galopante). Ce qui, ajouté à une image de marque un peu floue, a singulièrement terni sa réputation.

      Loin de posséder le palmarès de la Mini Cooper, l'A 112 Abarth connut quelques pourtant jolis succès on rallyes. Etroitement associé à Fiat, le préparateur Carlo Abarth réussit l'exploit de transformer les petits "pots de yaourt" de la firme turinoise en véritables bêtes de circuit. En 1971, il donna un sérieux coup de pouce à l'image de la petite A 112 en lançant une version sportive. Animée d'abord par un 982 cm3 de 58 ch, elle arrivera à pleine maturité on 1974 avec un nouveau quatre cylindres de 1 049 cm3, délivrant 70 ch, et autorisant une vitesse pointe de 160 km/h. Sans posséder la notoriété des Mini Cooper, les versions Abarth commencent à avoir la cote auprès des collectionneurs. Très maniable, l'A 112 pouvait également compter sur le tonus de ses mécaniques pour se jouer du trafic.

      Autocoast (Costa Mesa, Californie, USA) ; petite firme américaine productrice de voitures de course de type Can-Am, fondée par un ancien mécanicien d'origine anglaise, Peter Bryant, qui devient par la suite constructeur ; Autocoast, dont le siège se trouvait à Costa Mesa, prés de Los Angeles (Californie), doit sa création au soutien financier et l'important matériel que lui concéda Titanium Metals Corporation, une société productrice de tôles et de profilés en alliage de titane ; en 1970, en dépit de l'aide financière fournie par de nouvelles firmes, telle Norris Industries, et des modifications apportées la voiture, les versions Mk 1 et Mk 2 de l'Autocoast Ti 22 ne réussirent pas â remporter la moindre victoire au championnat Can-Am ; en conséquence, Titanium Metals Corporation décida, la fin de cette même année, de supprimer tout soutien financier la firme, qui dut cesser ses activités ; après la fermeture d'Autocoast, Peter Bryant entra chez A.V.S. (Advanced Vehicle Systems) et conçut la Shadow Mk 2 Can-Am (1970-1970)

      Autocoast Ti 22 (symbole et numéro atomique du titane) ; moteur Chevrolet 6 997 cm3 adapté par Bartz ; châssis monocoque, suspension roues indépendantes, carrosserie en matière plastique ; en 1969, la Ti 22, conduite par le seul pilote officiel qu'ait jamais eu l'entreprise, Jackie Oliver, participe à la course de Laguna Seca (Californie) comptant pour la Canadian-American Challenge Cup ; en 1970, en dépit de l'aide financière fournie par de nouvelles firmes, telle Norris Industries, et des modifications apportées la voiture, les versions Mk 1 et Mk 2 de l'Autocoast Ti 22 ne réussirent pas â remporter la moindre victoire au championnat Can-Am

      Baja GT (Grande-Bretagne)

      Biota Products Ltd (Grande-Bretagne - Dinnington, Sheffield) (1976-1976)

      Bitter (carrosserie Baur, Erich Bitter - Allemagne - Stuttgart) (1986-1986)

      BMW 2002 100 ch coach (1975-1975)

      BMW 2002 Ti 120 ch coach (1971-1971)

      Bolide (Andrew Griffith - Etats-Unis)

      Bosch (Allemagne)

      Bristol 410

      Bristol 411 ; 6277 cm3, 220 km/h (1976-1976)

      Bugetta (Etats-Unis - Costa Mesa, Californie)

      Buick GS (1974-1974)

      Bulgar-Renault (Bulgarie)

      BSA F&S, moto à moteur Wankel

      Cadillac Eldorado (1978-1978)

      C.A.P. (Italie)

      Caprera Algol

      Caprera Algol électrique ; monoplace à 3 roues, "conçue en tenant compte des exigences de 1980" selon ses concepteurs) ; voiture qui serait utilisée comme taxi urbain sans chauffeur avec des pièces de monnaie

      C.D.A. - Copper Development Association Inc. (Etats-Unis - New York) (1979-1979)

      CG 1200 ; moteur Simca 1200 S 85 ch 188 km/h

      Chapron Lorraine, sur base Citroën DS ; différenciée par sa poupe taillée à la serpe ; 20 exemplaires (1975-1975)

      Checker Aerobus (1974-1974)

      Chevrolet Belair (1972-1972)

      Chevrolet Camaro - berlinetta - Iroc - Z28 (1981-1981)

      Chevrolet Discayne (1992-1992)

      Chevrolet Impala (1992-1992)

      Chevrolet IROC (1981-1981)

      Chevrolet Monte Carlo - Malibu (1977-1977)

      Chevrolet Vega (1974-1974)

      Chrysler 160 et 180 au Salon de Paris (Chrysler-France) (1980-1980)

      Chrysler Dodge Phoenix (1970-1970)

      Chrysler Spain SA (Barreiros group - Espagne)

      Citroën Dyane 4

      Citroën Ami 8 ; remplace l'Ami 6 (1976-1976)


      Citroën M 35 ; coupé à moteur Wankel ; prototype dérivé de l'Ami 6, présenté en 10.1969, livrés à des clients coopérant avec le Bureau d'Etudes Citroën ; moteur Wankel monorotor 995 cm3, rapport volumétrique 9:1, 49 ch à 5500 t/mn, 7 mkg à 2745 t/mn, traction avant, boite 4 ; disques avant, tambours arrière ; 144 km/h, 400 m DA 21,5 s, 1000m DA 40,5 s ; confiée à des clients coopérant avec le Bureau d'Etudes Citroën (prix 14.000 F au 01.01.1970 soit le prix d'une D Special) ; plus de 30.000.000 km parcourus en 1971-72 ; 500 exemplaires prévus, 267 livrés (le numéro porté sur l'aile avant va jusqu'à 473, dernière sortie en 3.1971) (1971-1971)


      Citroën et le moteur à piston rotatif : Nous avons été conviés à la présentation "en petit comité" d'un prototype de Citroën, doté d'un moteur à piston rotatif. Certes, ce moteur est issu des études de base réalisées par la Société NSU et plus particulièrement par MM. Wankel et Froëde, toutefois le bureau d'études de la Société Citroën se préoccupait de cette question depuis fort longtemps, parallèlement, en quelque sorte, avec la Société NSU. Depuis la création de la Société Comotor qui a concrétisé la politique d'entraide technique entre NSU et Citroën, ces deux constructeurs ou plus exactement leurs deux bureaux d'études ont, en joignant leurs efforts, réussi à faire progresser d'une façon spectaculaire la technique du moteur à piston rotatif (en novembre dernier, plus de 900 000 km avaient été parcourus par des essayeurs de l'usine Citroën avec les différentes versions de moteurs à pistons rotatifs et plus de 4000 heures se sont écoulées au banc d'essai). Tout ceci, bien entendu, en liaison avec d'autres constructeurs intéressés aussi par cette technique, comme Mazda pour le Japon et Mercedes-Benz pour l'Allemagne. Quand on sait l'activité, l'imagination, l'esprit créateur d'un bureau d'études lorsqu'il a pour nom Citroën, on peut s'attendre à une "interprétation" des plus intéressantes de ce type de moteur. Toutefois, la Société Citroën a voulu jouer la carte de la prudence. L'époque où les constructeurs faisaient essuyer les plâtres aux clients assez téméraires pour acheter "le tout nouveau modèle" est pour elle révolue, à plus forte raison lorsqu'il s'agit d'un moteur utilisant un principe de fonctionnement encore très nouveau (comparativement à l'expérience acquise pour la construction des moteurs classiques).

      Citroën nous a donc fait part de l'expérience, sans précédent, qu'elle a l'intention de lancer à partir du premier janvier 1970. Certains feront des rapprochements avec les essais spéciaux que Renault avait instaurés lors de la période "d'avant lancement" de la Renault 16. D'autres ayant encore plus de mémoire se souviendront de l'expérience tentée en 1963 par Chrysler qui, à cette époque, mit dans les mains de certains de ses clients une cinquantaine de voitures-prototypes à turbine. Il semble intéressant de faire ce rapprochement car tout comme dans le cas Citroën, Chrysler avait conçu une carrosserie spéciale servant uniquement de réceptacle au moteur à turbine. Là aussi, il s'agissait pour les clients et pour le bureau d'études du constructeur de juger et de tester la "tenue" du moteur à turbine et non pas le restant du véhicule. Mais en étudiant de plus près l'expérience Citroën, ils verront que ce constructeur est allé encore plus loin que Chrysler qui, cependant, garde le mérite d'avoir ouvert la voie. Quoi qu'il en soit, cette façon d'agir ne peut qu'aller à longue échéance vers l'intérêt de la clientèle. Elle seule sait vraiment essayer les voitures. Tout ce qui résiste aux essayeurs professionnels casse bien souvent dans les mains des premiers clients, cela a toujours été ainsi. Les clients essayeurs volontaires testeront ces moteurs. Ils diront ce qu'ils en pensent et avec les informations transmises par les concessionnaires chargés de surveiller ces voitures, Citroën saura s'il doit persévérer dans cette voie ou bien s'il doit agir comme Chrysler pour sa voiture à turbine... Roger Brioult, RTA, 2.1970

      - Moteur : Type à piston rotatif monorotor. Cylindrée totale 995 cm3. Puissance fiscale 6 CV. Rapport volumétrique 9 à 1. Puissance DIN 49 ch à 5500 tr/mn. Couple maxi 7 mkg à 2745 tr/mn. Capacité réservoir de carburant 43 litres. Capacité du circuit d'huile 4,5 I (vidange tous les 10 000 km). Alimentation par pompe et carburateur horizontal SOLEX 18/32 HHD. Refroidissement par eau, capacité 6,350 I y compris le chauffage. Echappement par 1 pot de détente elliptique 90 x 70 longueur 600 et 1 pot silencieux elliptique 150 x 146 longueur 490. - Transmission : Traction avant. Embrayage à diaphragme disque unique fonctionnant à sec. Boîte 4 vitesses. - Performances : Vitesse maxi (norme DIN) 144 km/h. Accélérations (conducteur seul) O à 400m 20"7, O à 1 000 m 39", O à 100 km/h 19". Consommation essence selon norme DIN 9,68 litres à 108 km/h de moyenne. Consommation huile 1 I aux 1 000 km (Une partie de la lubrification du moteur est assurée par un mélange huile/essence comme pour tous les moteurs Wankel). - Suspension : Hydropneumatique sur 4 roues indépendantes portées par 4 bras articulés sur le châssis (idem 2 CV et 3 CV). Chacun des bras est relié à une barre stabilisatrice par levier et tirant. Ce levier prend appui sur le piston d'un cylindre de suspension hydropneumatique. La hauteur constante du véhicule est conservée par l'intermédiaire de correcteurs agissant en fonction de la charge. Possibilité, comme pour les modèles D, de rouler en position "surélevée" sur les mauvais terrains. Les sphères de suspension sont embouties. - Direction : Type à crémaillère. Diamètre de braquage 11,40 m (11 mètres pour les D et DS). Démultiplication : environ 1/18. - Freins : Avant à disque, diamètre du disque 270 mm, 4 garnitures de 60 x 35 mm. Arrière à tambour, diamètre du tambour 180 mm, 4 garnitures de 160 x 35 mm. Surface totale de freinage 308 cm2. Frein de secours sur disque avant, à commande mécanique manuelle au tableau de bord.

      - Dimensions et poids : Empattement 2,400 mm. Voie avant 1,260 mm. Voie arrière 1,220 mm. Longueur maxi 4,050 mm. Largeur maxi 1,554 mm. Hauteur du véhicule, à vide ou à pleine charge 1,350 mm. Poids véhicule en ordre de marche 815 kg (soit 80 kg de plus que l'Ami 8 sur l'avant et 10 kg de plus sur l'arrière). Poids maxi à pleine charge 1 135 kg. - Carrosserie : Type coupé, 2 portes, 2+2 places (caisses d'Ami 8 modifiées chez le carrossier Heuliez à Cerizay puis assemblées à l'usine Citroën de Rennes, 815 kg).. Longueur intérieure du bas de pare-brise au bas de la lunette arrière 2,330 m. Largeur aux coudes passagers avant 1,300 m (sièges reculés), passagers arrière 1,155 m. Hauteur intérieure du plancher au pavillon de 966 à 1 066 mm. Volume du coffre 350 dm3 sans roue de secours, 310 dm3 avec roue de secours. Surfaces vitrées apparentes : Pare-brise 47,70 dm2, glaces portes avant fixes 9,54 dm2, descendantes 43,40 dm2, glaces de custode 46,90 dm2, lunette arrière 69,65 dm2, surface totale 217,19 dm2. - Divers : Antivol sur tube de direction. Lave-glace électrique. Compte-tours comportant un bruiteur qui signale l'entrée en zone rouge (ce dispositif a été jugé utile compte tenu de la facilité du moteur à "prendre des tours"). Roue de secours dans la malle arrière. Chauffage par groupe fonctionnant par échange thermique (eau de refroidissement moteur). Equipement électrique avec batterie de 12 volts, 40 ampères/heure et alternateur.

      Citroën DS 20

      A nouveau la famille DS connaît de profonds remaniements pour l'année 1969 avec la DS 20 qui remplace la DS 19. Un tableau de bord à trois cadrans ronds équipe toute la gamme depuis l'été de cette même année. La DS 20 reste dans la classe 2 litres avec le moteur 1 985 cm3 qui développe 103 ch. Sa présentation demeure celle des autres membres de la famille, elle est offerte aussi en version Pallas, boîte hydraulique ou mécanique, et durera jusqu'à la fin.

      Citroën DS 21 à injection électronique ; injection D-Jetronic (220 composants dans le calculateur), 2185 cm3, 139 ch, 190 km/h

      Daihatsu Consorte (1975-1975)

      Dangel Mangouste au Salon de Genève ; barquette

      présentation du châssis roulant d'un cabriolet (en projet depuis 1965, style Lotus Elan, moteur R 8 G avant, abandonné) ; barquette à chassis tubulaire, carrosserie polyester et mécanique Gordini, vendue en kit (ö20 exemplaires 1969-1975) ; barquette 2 l à suspension pendulaire pour la Coupe 2 l Simca Shell 1972 (jamais vue en course, manque de mise au point) ; abandon de l'activité barquettes en 1975 ; sous-traitance pour BMW Motorsport en 1976 ; importation des jantes BBS et installation d'une usine de jantes, la Seral (Société Européenne de Roues en Alliage Léger) ; implantation de 4 roues motrices sur Peugeot dès 1976 ; Break 504 en 1978 (2 protos commandés par Peugeot en 06.1978) ; création de la Société des Automobiles Dangel en 1979 ; 504 Dangel 4x4 en 1980, pick-up puis 505 Break; 305 GT/GTX 4x4 en 1984

      Dino 246 GT au Salon de Genève, du nom du fils d'Enzo Ferrari (ingénieur, à l'origine des moteurs V6) ; remplace l'éphémère 206 GT de 1968 ; V6 fonte 2419 cm3 4 ACT 195 ch, châssis tubulaire et carrosserie en alu remplacée par acier au cours de la production, 1255 kg, 228 km/h ; spider 246 GTS pour le marché américain en 1972 (pavillon amovible) ; 3.755 exemplaires (1974-1974)

      Dodge Challenger (1972-1972)

      Dodge Challenger Convertible (1971-1971)

      Dongfeng Electric Vehicle Co Ltd (Chine)

      Dutton (Tim Dutton - Grande-Bretagne - Littlehampton, West Sussex)

      EDAG GmbH & Co KGaA (Horst Eckard - Allemagne - Fulda / Hessen)

      EEL (Daf 44 - EFP - Electric Fuel Propulsion - Etats-Unis)

      E.F.P. - Electric Fuel Propulsion Inc. - E.A.C - Electric Auto Corporation ; (Robert Aronson) (Etats-Unis, Troy) (1976-1976)

      Fairthorpe TX-S

      Ferrari 312 P (1970-1970)

      Ferrari 365 GTC au Salon de Francfort ; cabriolet Daytona de série ; V12 4390 cm3 320 ch 2ACT (1970-1970)

      Ferrari 365 GTB/4 Daytona Spider Pininfarina au Salon de Paris ; spider à arceau fixe en aluminium brossé, de type Targa, dont la partie arrière a été allongée

      Ferrari 365 GT 2+2 : jantes en alliage à cinq branches, identiques à celles de la Daytona

      Ferrari 365 GTS ; V12 4390 cm3 320 ch 2ACT

      Ferrari 512 S (1971-1971)

      Fiat 124 Sport Spider 1600 ; 4 cylindres en ligne 1608 cm3, 110 ch, boîte 5, 180 km/h (1972-1972)

      Fiat 128 de l'ingénieur Dante Giacosa; première traction Fiat ; Coupé 128 Sport en 1972 (1984-1984)


      Fiat 130 au Salon de Genève ; grosse berline à moteur V6 2.8 l ; 15 100 voitures produites (1976-1976)

      Fiat 850 Coupé Mk II (1970-1970)

      Fiat Dino Coupé 2400 ; V6 Ferrari 2418 cm3, 180 ch à 6600 tr/mn, 205 km/h, boite 5, autobloquant, 4 diques ventilés, 1400 kg (1972-1972)

      Ford Thunderbird

      Ford Mustang Boss 302 ; soupapes plus petites pour améliorer le ralenti ; Ford Mustang 1e et 2e au Tour de France Auto (1970-1970)

      Ford Taunus, nouvelle gamme ; Taunus II en 1976 (1970-1970)

      Ford Cortina, nouvelle gamme (GB)


      Ford Capri au Salon de Genève ; Capri II 1974, Capri III 1978 ; 784.000 exemplaires (1973-1973)


      General Motors XP 511 Commuter Car à la Foire Mondiale de New York ; petit véhicule maniable à trois roues conçu pour les trajets entre lieux d'habitation et de travail ; très proche du Runabout présenté à la Foire mondiale de New York en 1964, dans le cadre du Futurama de la General Motors ; la forme générale de la Runabout s'apparente à celle de la Firebird IV et de la GM-X., abrite deux chariots à provisions dotés de roues rétractables qui peuvent sortir et entrer par l'arrière sans effort ; plus spacieux que le Runabout, il offre quatre places pour adultes à l'avant et deux places pour enfants à l'arrière

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      Gurgel Vehiculos (Bresil) (1995-1995)

      Holden HT (1974-1974)

      Isdera GMBH (Styling, DEsign und RAcing, - Allemagne - Leonberg)

      Iso Lele IR 6 ; coupé à moteur Chevrolet 300 et 355 ch ; en 1972, moteur Ford 330 ch (1969-74) (1972-1972)

      Ital Design Porsche Tapiro de Giorgetto Giugiaro au salon de Turin ; sur base Volkswagen Porsche 914/6, flat 6 2.4, Bonomelli Tuning, 200 ch à 7800 tr/mn ; longueur 4.06 m, largeur 1.76 m, hauteur 1.111 m, SCx 0.58 m2 ; empattement 2.45 m, voies avant et arrière 1.38 et 1.46, porte à faux avant et arrière 0.895 et 0.715 m


      Jaguar XJ 12 5.3 24V (1973-1973)

      Jide (France - Chatillon-sur-Thouet) ; Jacques Durand avait demandé à Sovam de lui fabriquer une voiture de sport, mais les modifications apportées lui déplaisant, il lance la construction de sa voiture ; voiture vendue en kit, moteurs R8 normale, S ou Gordini, R 10 ; 140 exemplaires jusqu'en 1974, affaire cédée à M. Maxas (environ 100 Jidé construites) ; Jacques Durand construit la Scora en 1975

      Kelmark (Russ Keller and Randy Markham - Etats-Unis - Okemos, Michigan)

      Lamborghini Espada (série 2) ; Comme S1, 340 ch Tx compression 10,5 au lieu de 9,5 puis 9,8. 1630 kg direction assistée en option. (1972-1972)

      Lamborghini Indy (Salon de Genève), 4 places, 250 km/h

      Lamborghini Jarama ; coupé, Jarama S 1972-76

      Lamborghini Urraco Prototype (1970-1970)

      Lancia Flavia Coupé 2000 (moteur 2 litres) ; faces avant et arrière redessinées, courbe reliant la pavillon à la caisse cassée


      Lenham Motor Company (Grande-Bretagne)

      Ligier JS1 au Salon de Paris ; JS pour Jo Schlesser, conception Michel Têtu et Pietro Frua ; moteurs Ford 1600, 1800 puis V6 2.4 ; JS2 en 1971 ; accord avec Citroên pour l'utilisation de son réseau ainsi que de celui de Maserati arrêt fin 1976 (crise du pétrole, puis arrêt de la chaine Citroën SM chez Ligier)

      Lombardi (Italie) (1971-1971)

      Lotus Europa S2 S2 Fed (1971-1971)

      Lotus Elan +2 S (1974-1974)

      March (Grande-Bretagne) ; Max Mosley, Alan Rees, Graham Coacker et Robin Herd ; 1ère Formule 3, modèle 693, en 1969 (carrosserie en coin, détruite durant les Coupes de l'USA en 10.1969 à Montlhéry, Ronnie Peterson) ; en 1970, construction de 5 701 F1 et 5 702 de F2, F3 type 703 construites avec les pièces restantes (pièces surdimensionnées, moteur Ford fonte culbuté 123 ch, Holbay ou Novamotor)

      Marcos 3-litre ; moteur avant, V6 Ford 2994 cm3 (93,66x72,42), compression 8,9:1, 1 carbu Weber, 138 ch à 5000 tr/mn, 26,5 kgm à 3000 tr/mn ; , boite 4 + OD, disques avant, tambours arrière ; 914 kg ; 201 km/h, 0-100 km/h 7,8 s (1971-1971)

      Marcos Mantula 3l. Coupé ; 6 cylindres en ligne, origine Volvo 3000 cm3, boite auto, coupé 2 places carrosserie plastique, moteur avant propulsion.

      Maserati Ghibli Spyder

      Matra MS 84 F1. Jean-Pierre Beltoise, Grand Prix de Grande Bretagne ; seule monoplace à quatre roues motrices à avoir marqué un point au championnat du Monde (GP du Canada 1969)

      Mazda Luce Rotary R 130 ; prototype RX 87 en novembre1967 ; coupé à traction avant (1974-1974)

      McLaren M6 GT coupé deux places (pour homologation en 25 ex.) ; V8 chevrolet 4980 cm3, 385 ch à 6500 tr/mn.

      Mercedes 250 C / 250 CE Coupé

      Mercedes 300 SEL 3.5 (109 056) ; V8 à 90°, 92x65,8=3499 cm3, 9,5:1, 200 ch à 5800 tr/mn, injection électronique Bosch, 1670 kg (1972-1972)

      Mercedes C 111 Wankel ; directeur du projet docteur Hans Liebold ; groupe moteur placé dans l'essieu arrière (moteur central) ; moteur à trois rotors, chambre 600 cm3 (cylindrée équivalente 3.6 l), 280 ch DIN à 7000 tr/mn, 30 mkg entre 5000 et 6000 tr/mn, injection directe (pompe mécanique à 3 pistons), bougies à étincelle glissante ; carrosserie en matière plastique renforcée de fibres de verre collée et rivée sur le plancher porteur (arceau de sécurité incorporé) ; 260 km/h, 0-100 km/h 5" ; 25 exemplaires pour l'homologation en compétition ; prototype tri-rotors, 280 ch, quadri-rotor 350 ch ; 15 voitures construites de 1970 à 1973 (6 trirotors, 6 quadrirotors dont une transformée en Diesel et 2 Diesel dont une transformée en V8), 3 voitures encore roulantes en 1991 (Ourtillages détruits et pièces de rechange jetées) (1970-1970)

      Mercedes C 111 "34" Wankel ; moteur quadri-rotor 2400 cm3 (4800 cm3 corrigés), compression 9.3, 350 ch à 7000 tr/mn, plus de 40 mkg de 4000 à 5500 tr/mn, lumières périphériques, injection mécanique, allumage simple électronique ; propulsion, boîte ZF 5 rapports, pneus 205/70 VR 15 ; châssis plate-forme en tôle, structure et arceaux tubulaires, carrosserie en résine et fibre de verre collée au châssis, Cx 0.325, long 4m44, larg 1m825, haut 1m12, empattement 2m62, voies 1m41/1m405, poids 1240 kg ; 300 km/h

      Mercedes C 111 "35" Wankel ; dernières évolution, couple plus important (Liebold : "On reprenait à 500 tr en 5e...") ; portes papillons

      Mercury Montego (1974-1974)

      Mitsubishi China Motor (Taiwan)

      Mitsubishi Galant (1976-1976)

      Monica (France - Saint Etienne) ; J. Tastevin (1978-1978)

      Monteverdi 400 SS

      Monteverdi High Speed 375L (série 2 Fissore) ; Idem série 1 (1976-1976)

      Moretti 127 Coupe (1974-1974)

      Moretti S Coupe (1970-1970)

      Morgan 4/4 (2005-2005)

      NASA - Mission Apollo 11 ; Neil Armstrong marche sur la lune le 21 juillet à 3 h 56 (heure française) ; 10 missions sont prévues, Apollo 13 ayant dû être interrompue et Apollo 18, 19 et 20 annulées ; la jeep lunaire (LRV - Lunar Roving Vehicle) fait son apparition avec Apollo 15 puis 16 et 17 (1969-1969)

      Nissan / Datsun 1600 et 2000 Sport


      Nissan / Datsun 240Z

      Nissan / Datsun 240Z G

      Nissan Fairlady Z S30 (1974-1974)

      Nissan Skyline C10 (1973-1973)

      NSU 1000 TTS 70 ch (1971-1971)

      NSU 1200 TT 65 ch (1972-1972)

      Oldsmobile Cutlass (1976-1976)

      Oldsmobile Vista Cruiser (1974-1974)

      Opel Admiral (1975-1975)

      Osi

      Peugeot 304 au salon de Paris ; dérivée de la 204, 4 cylindres 1288 cm3 59.5 ch, 150 km/h ; coupé, cabriolet et break en 1970; 304 S berlines, coupé et cabriolet en 1972 (59 ch) (1976-1976)

      Peugeot 504 Coupé et Cabriolet au Salon de Genève (Pininfarina) ; V6 en 1975 ; moteur 2 l et V6 TI 1978-83 (1974-1974)

      Cinq mois après avoir présenté la 504 au Salon de Paris, Peugeot dévoile, en mars 1969, les versions coupé et cabriolet. Si les 403 et 404 coupé et cabriolet avaient conservé un air de famille avec la berline, Pininfarina, ces modèles adoptent une élégance typiquement italienne, un habitacle sobre et cossu, et leurs tarifs destinent à une clientèle bourgeoise. Techniquement, les coupé et cabriolet reposent sur la plate-forme raccourcie de 19 cm de la berline 504. Sous le capot, le moteur de 1,8 l à injection indirecte de 97 ch manque de brio, mais, dès 1971, il est remplacé par un 2 l de 104 ch. La première évolution esthétique intervient en 1975 avec l'adoption d'optiques rectangulaires à l'avant et à l'arrière, et une calandre redessinés. Un V6 PRV de 136 ch, fruit de l'entente entre Peugeot, Renault et Volvo, apparaît aussi. Mais l'aventure tourne court : le 2 l reprend alors du service dans une version portée à 106 ch. Seul le coupé garde la prestance du six cylindres. Une seconde retouche stylistique a lieu en 1980 avec l'adoption, tant décriée, de pare-chocs en résine. En mai 1983, Peugeot arrête la fabrication après 35 000 exemplaires produits, dont 75 % de coupés. Distingués et chers, ces deux modèles seront restés discrets malgré quatorze ans de carrière. Cette disparition entraîne également une rupture dans la déclinaison des coupés et cabriolets de la marque puisque les dérivés de la 505 ne dépasseront jamais le stade de prototypes.

      Plymouth Barracuda (1973-1973)

      Pontiac 2+2 (1981-1981)

      Pontiac Catalina (1981-1981)

      Pontiac Firebird Trans Am (1972-1972)

      Pontiac Grand Am (1977-1977)

      Pontiac Grand Prix (1977-1977)

      Pontiac Grandville (1981-1981)

      Pontiac GTO Ram Air V (1977-1977)

      Pontiac Judge (1977-1977)

      Pontiac Phoenix (1979-1979)

      Pontiac Tempest (1977-1977)

      Pontiac Ventura (1972-1972)

      Porsche 911 E (injection électronique Bosch)

      Porsche 914/4 à moteur central VW 1600 ; 100.000 exemplaires (1975-1975)


      Porsche 914-6, moteur de la 911, 3000 exemplaires

      Porsche 917 au Salon de Genève (Ferdinand Piech)


      Porsche 917, le dernier des monstres - Objectif Le Mans : Conçue et réalisée en un temps record par les techniciens de Zuffenhausen, sous la direction de Ferdinand Piech, neveu de Ferry Porsche qui avaient pour ce faire utilisé les ordinateurs de la firme, la 917 apparaissait à l'orée de la saison 1969 comme l'arme absolue qui devait permettre à Porsche de concrétiser un vieux rêve : remporter les 24 Heures du Mans. On ne voyait pas en effet quel constructeur aurait pu disposer des moyens techniques et financiers nécessaires pour mettre en chantier une série de 25 Prototypes. Ferrari ? Ce sera pour plus tard. La 917 se présentait sommairement comme une grosse 908 mais avec une position de conduite beaucoup plus avancée. Mais la grande originalité avait trait au châssis constitué d'un ensemble de tubes à la fois très légers et assurant en même temps une très grande rigidité. Porsche avait gardé jalousement le secret de cet alliage mais les nécessités d'homologation en décidèrent autrement. 8 cylindres (3 litres> + 4 cylindres (1,5 litres) = 12 cylindres (4,5 litres). C'est cette simple équation qui présida à la conception du moteur de la 917. Porsche bénéficiait avec le moteur 3 l de la 908 d'une excellente base et il suffisait de lui adjoindre 4 cylindres pour obtenir la cylindrée désirée qui même si elle restait en deçà de la limite permise (5 litres> autorisait néanmoins une puissance de 520 ch qui paraissait pour l'heure bien suffisante aux techniciens allemands. Le refroidissement était assuré par une grosse turbine montée horizontalement entre les deux rangées de cylindres. Avec un poids total de 896 kg seulement, la 917 présentait un rapport poids/puissance de 1,72 kg/ch pour une puissance spécifique de 115 ch/l. L'usine n'ayant évidemment pas usage des 25 exemplaires construits, la 917 était commercialisée au prix de 140 000 DM (environ 180 000 F de l'époque ce qui représenterait 360 000 F de nos francs actuels si la parité avec le DM était restée la même...), un chiffre qui était loin de représenter la valeur réelle de la voiture. Les acquéreurs furent, on le conçoit, très nombreux et pas moins de 50 exemplaires furent construits pendant la période d'activité de ce modèle. Le 21. avril 1969, les 25 exemplaires nécessaires étaient alignés dans la cour de l'usine. Le 1er mai, la 917 était homologuée par la FIA.

      C'est aux essais préliminaires des 24 Heures du Mans, à la fin du mois de mars, que la 917 faisait ses grands débuts en public. Si Stommelen au volant d'un modèle ayant déjà reçu quelques modifications de carrosserie battait de quelques 5 secondes le record de la piste, il ne cachait pas que la tenue de la voiture en ligne droite était pour le moins approximative. Quinze jours plus tard, aux essais des 1000 km de Francorchamps, la 917 présentait un arrière fortement raccourci sans que son comportement en soit nettement amélioré. Siffert, après avoir réalisé le meilleur temps à son volant, choisissait prudemment de partir avec une 908. Il remportait d'ailleurs la course non sans avoir amélioré auparavant de 4"8 son record des essais obtenu avec la 917. C'est Mitter et Schutz qui allaient finalement faire débuter la 917 en course, des débuts écourtés dès le premier tour par un problème de ressorts de soupape. Au Nürburgring, sur un terrain qui leur était encore moins favorable, les 917 allaient voir leurs problèmes de tenue de route encore mieux mis en évidence et sur les trois voitures présentes, une seule prenait le départ avec Piper et Gardner arrivés en toute hâte de Londres après que Hahne et Quester qui devaient en partager le volant, se soient vus refuser par BMW, leur employeur habituel, de partir sur ce circuit au volant d'une voiture aussi dangereuse. Après une course très effacée où ils luttaient avec des Abarth 2 l, Piper et Gardner parvenaient pour la première fois à amener une 917 à l'arrivée mais à une modeste huitième place. Porsche avait pourtant d'autres raisons d'être satisfait puisqu'au volant de leur fidèle 908, Siffert et Redman signaient une nouvelle victoire qui donnait à la firme allemande son premier titre de Champion du Monde, un titre qui venait couronner près de 20 ans d'efforts. La première étape importante de la longue ascension de Porsche vers les sommets venait d'être franchie. La seconde faillit bien suivre quinze jours plus tard.

      Pour les 24 Heures du Mans, l'usine avait engagée deux 917 dans leur configuration "longue queue" pour Stommelen-Ahrens et Elford-Attwood. Un troisième modèle était aligné par un riche client amateur anglais, John Woolfe associé à Herbert Linge. Une désagréable surprise attendait hélas les 917 lors du pesage. A la demande de la CSI qui venait deux semaines auparavant d'interdire les ailerons sur les F1 à la suite des accidents de Graham Hill et de Jochen Rindt à Barcelone ; l'ACO imposait que les volets montés de part et d'autre de l'aileron arrière et qui agissaient avec la suspension soient rendus fixes pendant la course. A Porsche de trouver les bons réglages au cours des essais. Avec les volets mobiles, Stommelen pulvérisait le record de la piste avec un temps de 3'22"9 mais les essais effectués avec les volets fixes s'étaient, comme on pouvait s'y attendre, avérés catastrophiques. Il était impensable, voire criminel de laisser partir les 917 dans cette configuration. Les journalistes présents étaient unanimes pour dénoncer l'absurdité de cette décision, d'autant que la voiture avait été homologuée avec ses volets mobiles. Après de multiples tergiversations, l'ACO se laissait fléchir et autorisait les 917 à prendre le départ avec leurs volets mobiles tout en exigeant qu'ils soient fixés.. sur les 908. La face était sauvée ! Les deux 917 d'usine avaient réalisé les deux meilleurs temps des essais et prenaient immédiatement la tête de la course avec le spyder 908 de Siffert mais la troisième 917 n'allait pas franchir le cap du premier tour : John Woolfe, qui n'avait couvert que six tours aux essais, pulvérisait sa voiture dans le virage Ford et succombait hélas très vite à ses blessures. Ce malheureux accident soulignait, s'il en était besoin, que la 917 n'était pas une voiture à mettre entre toutes les mains, surtout à ce stade de son développement. La leçon sera retenue et par la suite l'usine exigera de solides références de ses clients. La Porsche de tête pilotée par Stommelen a déjà creusé une avance importante mais elle est longuement retardée par une fuite d'huile qui la fera plonger dans les profondeurs du classement avant son abandon au petit matin. Elford a profité de l'abandon de la 908 de Siffert pour prendre le commandement, une place que l'équipage de la voiture n° 12 ne va désormais plus quitter jusqu'à la 21e heure de course. La Porsche de tête s'est arrêtée pour faire régler son embrayage mais le mal est plus profond et l'abandon surviendra alors qu'il ne restait que trois petites heures de course.

      "Les 917 ne gagneront pas leurs premières 24 Heures du Mans, pas plus que les 908 : Lins et Kauhsen qui étaient placés en deuxième position derrière la 917 de tête abandonneront sur ennuis de boîte alors que Herrmann et Larrousse se feront souffler la victoire in extremis par la GT 40 de lckx-Oliver au terme d'un duel époustouflant. Pour leur première participation à l'épreuve, les 917 ont manqué la victoire de très peu ; deux mois plus tard, sur le tout nouveau circuit de Zeltweg, elles obtiendront enfin ce premier succès tant attendu, un succès acquis de haute lutte au terme d'une course qui ne vit pas moins de quatre marques différentes (Mirage, Matra, Lola et... Porsche> occuper successivement la tête. A remarquer que la voiture gagnante de Siffert-Ahrens, bien que bénéficiant de toute l'assistance de l'usine, était alignée par l'écurie de Karl von Wendt. A l'avenir, l'usine n'allait d'ailleurs plus engager directement ses voitures, préférant confier l'organisation des courses à des écuries privées. Si cette première saison pouvait paraître modeste sur le plan des résultats, elle avait permis à l'usine d'avancer à pas de géants dans la mise au point de la 917 un avantage qui ne tardera pas à porter ses fruits. Plus important encore était l'accord que Porsche allait sceller avec celui dont l'organisation avait prévalu dans la conquête du titre de Champion du Monde 1968 et dans les deux victoires aux 24 Heures du Mans. Rico Steinemann avait établi très tôt des contacts avec John Wyer et l'accord bien que révélé au public à la fin de la saison 69 avait en fait été conclu pendant l'été. Porsche avait investi des sommes considérables pour lancer son programme 917 et souhaitait se débarrasser des soucis de préparation et d'organisation. Les techniciens de Zuffenhausen pourraient ainsi se consacrer plus activement aux travaux de recherche et de développement. John Wyer pour sa part n'avait pour la saison 70 que le choix entre ses GT 40 vieillissantes et ses Mirage handicapées en puissance avec les Porsche 917. il disposait de l'arme idéale et il ne laissera pas passer cette chance. Dès l'automne 69, des essais sont entrepris sur le circuit de Zeltweg et à la demande de Wyer, les 917 vont subir de nombreuses transformations. Le problème n° 1, celui de la stabilité, sera en partie résolu par l'adoption d'une carrosserie arrière beaucoup plus courte. Ces modifications allaient s'avérer d'autant plus bénéfiques qu'un adversaire de taille avait suivi la voie tracée par Porsche moins d'un an après la 917, Ferrari présentait sa 512 S, elle aussi produite à 25 exemplaires mais équipée d'un moteur 5 litres de 580 ch (20 de plus que la 917 toujours équipée du 4,5 litres)."

      La première confrontation entre les deux géants avaient pour cadre les 24 Heures de Daytona, première manche du Championnat du Monde 1970. Aux côtés des deux 917 décorées aux couleurs bleu ciel et orange du principal sponsor de John Wyer, Gulf, pilotées par Siffert-Redman et Rodriguez-Kinnunen, la filiale autrichienne de Porsche "Salzburg Konstruktionen" engageait une troisième voiture pour Elford et Ahrens. Face à elles, cinq Ferrari 512 S dont trois alignées par l'usine pour Andretti-Merzario, lckx-Schetty et Vaccarella-Giunti. Les essais allaient vite démontrer le stade avancé de la mise au point des Ferrari, une avance qui tenait en grande partie à l'expérience du constructeur italien dans les voitures de grosse cylindrée. Au cours des essais officieux, Andretti bat le record de la piste et devance Rodriguez de 2/10e. Les essais officiels disputés sur une piste humide confirmeront la bonne santé des voitures de Maranello. Andretti gagne la pole position devant Siffert. En course, les 512 S accusent cependant leur préparation insuffisante et Wyer signe un splendide doublé. Deux mois plus tard à Sebring, Ferrari va prendre une éclatante revanche les Porsche ont connu une série d'ennuis avec leurs nouveaux porte-moyeux et Andretti venu prêter main forte à Vaccarella et Giunti après son abandon va effectuer un véritable festival arrachant de haute lutte la première victoire de la 512. A Brands-Hatch pour les 1000 km de la BOAC, Rodriguez fantastique sous une pluie diluvienne et malgré la menace des Matra très agiles sur ce circuit, signe la deuxième victoire du Team de John Wyer. Ce succès Porsche sera complété par les deuxième et troisième places des Porsche "Salzburg" de Elford-Hulme et Herrmann-Attwod. Malgré cette nouvelle victoire, Porsche était conscient que la menace Ferrari se ferait de plus en plus pressante et qu'il était urgent de s'assurer les quelques chevaux supplémentaires que lui permettaient une augmentation de cylindrée. Ce sera chose faite pour les 1000 km de Monza où Porsche a amené deux moteurs de 4,9 I. développant 600 ch. C'est avec ce moteur que Siffert établit le meilleur temps des essais mais il prendra le départ avec le 4,5 litres. Elford et Ahrens, seuls à disposer du nouveau moteur pour la course occuperont la tête avant d'être contraints à l'abandon par suite de l'éclatement d'un pneu et c'est une nouvelle fois une Gulf-Porsche qui l'emporte pilotée par Rodriguez et Kinnunen. Derrière, les Ferrari 512 obtiennent un joli tir groupé avec les 2e, 3e et 4e places. Mais l'affrontement tant attendu va se jouer véritablement sur le circuit du Mans où les deux protagonistes sont venus en force. Pour Ferrari, s'agit de compenser la perte d'un titre que Porsche vient de décrocher pour la deuxième fois aux 1000 km du Nürburgring grâce à ses agiles 908/3 qui ont, comme à la Targa Florio, été préférées aux 917. Dès les essais préliminaires d'avril, Porsche et Ferrari s'étaient retrouvé face à face et les deux constructeurs présentaient leurs nouveaux modèles longue queue destinés à favoriser une vitesse de pointe maxima sur la longue ligne droite des Hunaudières. La 917 "Langheck" était dotée d'une nouvelle carrosserie caractérisée par une queue arrière très longue à l'extrémité de laquelle étaient montées deux dérives en forme de nageoires. A n'en pas douter, cette carrosserie trahissait la touche du cabinet S.E.R.A. qui en avait assuré les études aérodynamiques en collaboration avec les techniciens allemands. Sa mise au point était hélas loin d'être achevée et Herbert-Linge ne pourra réaliser de prouesses à son volant. Le meilleur temps reviendra finalement à Redman qui en 3'33"5 battra de 5/10e la Ferrari "longue queue" de Jacky lckx. On était loin des 3'22"9 de Stommelen réalisés 10 mois auparavant.

      En l'espace de deux mois, les techniciens allemands avaient eu le temps de rectifier le tir et les 917 L se présentaient au Mans passablement modifiées avec un large aileron reliant les deux dérives arrière, de nouvelles prises d'air et un capot avant de forme concave. La voiture, si elle avait perdu quelques km/h en vitesse de pointe, compensait largement ce défaut par une tenue de route grandement améliorée. Avec ce modèle équipé du moteur 4,9 l, Elford battait le record de la piste en 3'19"8. John Wyer avait choisi également de monter le moteur 4,9 I sur ses deux voitures de pointe mais en optant pour la carrosserie courte. Une troisième Gulf-Porsche était engagée avec un moteur 4,5 l pour assurer les arrières. Les 24 Heures ne resteront pourtant pas gravées dans les mémoires principalement en raison de la pluie qui sévit sur le circuit de la Sarthe pendant la majeure partie de la course et qui fut à l'origine de nombreux incidents qui faussèrent la course. Dans de telles conditions, la victoire allait sourire à l'équipage le plus régulier, en l'occurrence Hans Herrman et Richard Attwood qui s'étaient d'ailleurs montrés les plus lents des sept 917 aux essais. Leur voiture, une 4,5 l à queue courte engagée par l'écurie Salzburg terminait avec une confortable avance sur la 917 longue queue 4,5 l de Larrousse-Kauhsen alignée par le Martini Racing Les Ferrari avaient été battues nais pas dans des circonstances qui permettaient à Porsche de tirer orgueil de cette victoire. Mais, pour la firme allemande, peu importait les conditions dans lesquelles avait été obtenu ce succès. L'essentiel était là : une victoire au Mans. Le grand battu dans l'histoire était John Wyer dont aucune voiture n'avait pu rallier l'arrivée, une sévère désillusion pour le team manager anglais qui comptait bien signer ses troisièmes 24 Heures consécutives. "L'après 24 Heures" lui apportera quelque consolation puisque ses voitures signeront un magnifique doublé aux 6 heures de Watkins-Glen avant de clôturer la saison par une victoire dans la dernière épreuve du Championnat du Monde à Zeltweg. La saison 1970 se terminait de façon triomphale pour Porsche dont l'avance prise sur les Ferrari pendant la saison 69 s'était montrée payante. Porsche savait pourtant qu'une fois leur problème de fiabilité résolu, les voitures italiennes seraient des adversaires redoutables et c'est dans cette crainte que les techniciens allemands s'étaient lancés dans l'étude d'un moteur 16 cylindres de 4982 cm3 qui devait développer 690 ch. Ce moteur ne fut pourtant jamais utilisé, Ferrari ayant décidé de ne pas engager de voitures d'usine en 1971 afin de se concentrer sur ses prototypes 312 P appelés à succéder aux 512 dans le cadre du Championnat du Monde 72 réservé aux protos 3 l. Pour sa dernière année d'existence dans le Championnat du Monde, la 917 n'aurait donc théoriquement à lutter que contre des 512 engagées par des clients.

      Pour le Championnat 1971, John Wyer alignait toujours deux 917 dont la puissance dépassait désormais les 600 ch mais on notait un changement dans les équipages Oliver remplaçait Kinnunen alors que Derek Bell venait seconder Siffert à la place de Redman. L'écurie Salzburg ayant été dissoute c'est le Martini Racing Team qui venait renforcer l'offensive des 917 avec deux voitures placées sous la responsabilité de l'ancien pilote Hans-Dieter Dechent. C'est hélas par un accident survenu dans des circonstances tragiques qui devaient coûter la vie au pilote italien lgnazio Giunti que débutait à Buenos Aires le Championnat 71. John Wyer signait un nouveau doublé après l'abandon des deux 917 Martini et surtout après le malheureux accident de la nouvelle Ferrari 312 P que Giunti avait placé en pole position. Si Ferrari n engageait pas officiellement de 512, les clients étaient par contre nombreux et à Daytona un adversaire de taille se présentait Roger Penske alignait une toute nouvelle 512 M superbement préparée et cette voiture allait nettement surclasser les 917 sur le plan des performances elle ne dut qu'à une série de problèmes mécaniques de terminer à la troisième place. Rodriguez malgré un arrêt d'une heure et demie à son stand arrachait in extremis sa seconde victoire successive dans les 24 Heures de Daytona. Les voitures du Martini Racing Team comme celles de l'écurie Salzburg en 1970 accusaient une préparation nettement en retrait par rapport aux Gulf-Porsche de John Wyer et c'est une victoire chanceuse qu'Elford et Larrousse signaient aux 12 Heures de Sebring après l'abandon de la 312 P d'Andretti-lckx et la collision qui devait retarder la splendide 512 M-Penske de Donohue-Hobbs (encore une fois la plus rapide aux essais) et la 917 de Rodriguez-Oliver. Porsche avait amené à Sebring un moteur dont la cylindrée de 4999 cm3 frisait la limite autorisée. Ce moteur qui développait près de 630 ch fut monté sur le mulet de l'équipe Wyer mais il cassa pendant les essais ; on le reverra un peu plus tard aux 1000 km de Brands-Hatch où cette fois il équipait les deux Gulf-Porsche. Mais ce jour-là les Porsche 917 essuieront une sévère défaite face aux petites barquettes 3 l alignées par Ferrari et Alfa Romeo qui imposeront leur loi aux essais avant de profiter des ennuis des 917 pour s'attribuer les deux premières places. Pour les 1000 km de Monza, les 917 se présentaient avec de nouveaux capots arrière toujours courts mais surmontés de deux dérives verticales. La course allait se résumer à une longue procession des 917 de John Wyer qui se concluait par une nouvelle victoire de l'équipage Rodriguez-Oliver devant Siffert-Bell. A Spa, le scénario était à peu près identique mais cette fois l'ordre d'arrivée des deux équipages était inversé. La domination insolente des voitures allemandes sur ces circuits ultra-rapides étaient de bonne augure pour les 24 Heures du Mans où Porsche qui savait que ses 917 ne pourraient concourir l'année suivante allait connaître sa dernière occasion de signer une nouvelle victoire. Après avoir décroché un troisième titre dans le Championnat.

      Pilotée par Jackie Oliver, une 917 longue queue avait pulvérisé en 3'13"6 le record du circuit lors des essais préliminaires des 24 Heures, aussi s'attendait-on à voir tous les records battus au Mans. C'est Pedro Rodriguez qui s'attribuait la meilleure place sur la grille de départ en 3'13"9. La voiture du mexicain avait été chronométrée à près de 380 km/h dans la ligne droite, une performance qui en disait long sur les progrès réalisés par les 917 L. A noter que dans leur configuration longue, les 917 étaient dotées d'une carrosserie arrière avec carénages de roues. John Wyer avait engagé aux côtés des deux 917 L confiées aux deux équipages habituels de l'écurie une version, courte pour Attwood et Muller alors que le Martini Racing alignait en plus d'une 917 L (Elford-Larrousse) et d'une 917 K équipé de dérives arrière (Marko-Van Lennep) un modèle 917/20 plus large et plus. trapu, le fameux autant que hideux "cochon rose", qui ne put faire mieux que 3'21" aux essais avant d'être éliminé par un accident en course. Comme l'année précédente, ces 24 Heures n'allaient pas sourire aux voitures de John Wyer qui après avoir pris l'avantage au départ étaient toutes deux contraintes à l'abandon. La voiture d'Elford-Larrousse ayant été victime du même sort, c'est la 917 K de Marko-Van Lennep qui s'imposait à près de 203 km/b, établissant un record du nouveau circuit qui ne sera battu que sept ans plus tard par une certaine... Renault. Porsche triomphait pour la dernière fois dans le cadre du Championnat du Monde à Zeltweg grâce à Rodriguez-Attwood car, pour la dernière manche disputée à Zeltweg, les 917 devaient se contenter des seconde et troisième places derrière l'Alfa Romeo 33 de Peterson-de Adamich. La victoire de l'Alfa faisait figure de symbole puisqu'elle marquait à la fois la fin d'un règne et le début d'une ère nouvelle pour les prototypes 3 litres qui avec Ferrari, Matra et Alfa Romeo allaient se partager victoires et titres de 1972 à 1975. Porsche payait très cher le fait d'avoir profité d'un règlement pour le moins confus mais qui lui avait quand même permis d'exercer sa suprématie trois années durant et d'étendre la renommée et son image Dans le monde entier. Le nouveau règlement du Championnat 72 en imposant une cylindrée de 3 litres pour un poids minimum de 600 kg ne favorisait pas Porsche, dont la supériorité tenait plus à la légèreté de ses réalisations que dans les performances de ses moteurs. Plutôt que d'investir de lourdes sommes dans l'étude d'un nouveau prototypes, Porsche préféra fort justement poursuivre son programme 917 mais dans un autre Championnat où ses voitures avaient droit de cité.

      Porsche présenta dès l'été 1969 son modèle 917 PA dérivé de la 917 doté d'une carrosserie ouverte et d'un arrière tronqué. L'engagement de cette voiture dans le championnat Canam avait été confié à Porsche-Audi of America, l'importateur de la marque aux Etats-Unis. Placée sous la responsabilité de John von Neuman et de Richie Ginther, la 917 PA disputa sept épreuves du championnat avec Jo Siffert. Même allégée de 150 kg pour une puissance portée à 580 ch, cette voiture ne pouvait lutter à armes égales avec les McLaren et autres Chaparral équipées de gros moteurs Chevrolet V8 ; pourtant Siffert fut loin de faire de la figuration. Pour sa première apparition en course, a Lexington, la 917 PA se classait à une honorable quatrième place alors qu'à Bridgehampton, Siffert parvenait à la hisser en troisième position dans le même tour que les McLaren. Trois autres places d'honneur assuraient au pilote suisse la quatrième place du championnat. Malgré ses débuts prometteurs on ne reverra réapparaître les 917 Canam que deux ans plus tard. Pour le championnat 71, Porsche-Audi présentait une version évoluée de la 917 PA dotée d'une carrosserie plus légère avec deux dérives sur les ailes arrière. Ce modèle baptisé 917/10 recevait le moteur 5 litres dont la puissance avait été portée à 630 ch. Toujours pilotée par Siffert, la 917/10 fut un modèle de fiabilité, se classant dans chacune des six courses auxquelles elle participa. Comme en 69, "Seppi" terminait 4e au classement final alors que Milt Minter, au volant de la 917 PA rachetée par l'écurie Vasek Polak, se classait en 9e position. Ces deux années d'apprentissage s'étaient révélées riches d'enseignement mais pour pouvoir viser des victoires, il était clair que les voitures allemandes devraient recevoir un sérieux renfort de cavalerie. Etudier un moteur de très forte cylindrée aurait entraîné Porsche dans des investissements trop coûteux, ce qui était évidemment contraire à la politique de la marque. Le seul moyen d'obtenir pour une cylindrée égale une puissance comparable à celle développée par les moteurs V8 Chevrolet était de faire appel à la suralimentation. C'est ce que Porsche fit en s'adjoignant le précieux concours de l'organisation Roger Penske qui disposait avec Mark Donohue d'un pilote-ingénieur hors pair.

      Pendant l'hiver 71-72 des essais avaient été entrepris aussi bien en Allemagne qu'aux Etats-Unis qui allaient aboutir à la définition de la 917/10 TC. Avec le moteur de 5 litres suralimenté, les techniciens allemands avaient atteint une puissance de 850 ch, soit environ cent de plus que les dernières versions du Chevrolet V8. Jamais depuis qu'elles dominaient le championnat, les McLaren n'avaient eu à faire face à un adversaire aussi dangereux. Cette menace ne tardera d'ailleurs pas à se préciser très vite puisque dès les essais de la première épreuve, Donohue reléguait la McLaren M 20 de Revson à près d'une seconde et il ne perdit la première place en course qu'après un problème de tringlerie d'accélérateur qui le contraignit à un long arrêt aux stands. La 917 avait néanmoins montré qu'elle était intrinsèquement la plus rapide et les succès ne tardèrent pas à arriver. Donohue ayant été écarté des circuits à la suite d'un grave accident survenu alors qu'il effectuait des essais à Road Atlanta, c'est George Follmer, appelé à le remplacer, qui signera le premier succès de Porsche dans le championnat. Follmer s'imposera. de nouveau à Mid-Ohio, Road America, Laguna Seca et Riverside remportant haut la main la Canam 72 devant la 917/10 TC de Milt Minter. Rétabli, Donohue signera une victoire en fin de saison, échouant de peu pour la troisième place derrière Hulme. Cette année 72 avait marqué la fin du règne des McLaren, complètement surclassées par les voitures allemandes. Découragée, la firme anglaise décidait de renoncer pour 1973.

      "Malgré l'absence d'adversaires à sa hauteur (seul Shadow avait relevé le défi en faisant préparer un moteur de 8,3 I turbo compressé prévu pour développer 1 200 ch), Porsche et Penske avaient étudié pour la Canam 73 une nouvelle 917/30 équipée du moteur de 5,4 litres développant 1 100 ch pour une pression du turbo de 1,3 bar. Avec un poids de 800 kg, cette voiture hors du commun atteignait les 100 km/h en 2 secondes et il ne lui fallait que 11 secondes pour passer le cap des 300 km/h. Autant dire qu'avec de tels arguments, il y avait de quoi décourager les concurrents les plus tenaces. La 917/30 recevait une nouvelle carrosserie reprenant les formes générales de la 917/10 et peinte aux couleurs bleu marine et jaune de Sunoco. Comme on pouvait s'y attendre, cette voiture allait aux mains de Mark Donohue qui en avait assuré le développement exercer une domination totale sur le championnat s'attribuant six des huit épreuves inscrites au calendrier alors que les 917/10 TC clients de Scheckten, Dunst et Wiedmer (Vasek Polak), Follmer et Kemp (Rinzlen) et Haywood (Brumos) se partageaient les places d'honneur. Au classement final les 917 occupaient les quatre premières places. Il va sans dire que cette insolente supériorité n'était pas du goût de tout le monde (spécialement des constructeurs américains) et, pour la seconde fois de leur histoire, les 917 se virent par le biais du règlement exclure d'un championnat. Cette fois le SCCA avait tout bonnement décidé de limiter la consommation ce qui impliquait le renvoi pur et simple des voitures à moteur turbocompressé. Porsche essaya bien de proposer diverses solutions en forme de concessions (entre autres une limitation de la cylindrée de ses moteurs à 4,5 litres) mais le SCCA se montra inflexible. On ne reverra la 917/30 qu'à une seule occasion en 1974 où pilotée pan Redman, elle se classera deuxième derrière la Shadow d'Oliver à Mid-Ohio. Mais c'en était fini des exploits de cette extraordinaire machine désormais rentrée dans la légende. L'Intersérie lui offrira un dernier sursis mais la renommée de ce championnat était bien loin d'être à la hauteur de cette fabuleuse machine qui venait d'entrer dans la légende. F.-X. Magny, Sport Auto, 3.1979"

      Moteurs 12 cylindres : 912/00 4,5 l ; 85 x 66 mm ; 4494 ; 542 ch ; 560 ch ; 580 ch à 8300 tr/mn ; 917 - 917 PA 1969 ; 917/917 K 1970 ; 912/10 4,9 l ; 86 x 70,4 mm ; 4907 ; 600 ch à 8400 tr/mn ; 917/917 K 1970 ; 917 LH 1970-1971 ; 917/20 1971 ; 912/11 5 l ; 86,8 x 70,4 mm ; 4999 ; 630 ch à 8300 tr/mn ; 917/917 K 1970 ; 912/12 5,4 l ; 90 x 70,4 mm ; 5374 ; 660 ch à 8300 tr/mn ; 917/917 K 1970 ; 917/10 Canam 1972 ; Moteurs 12 cylindres turbo-compressés ; 912/50 4,5 l ; 85 x 66 mm ; 4494 ; 850 ch à 8000 t/mn ; 917/10 TC 1972 ; 912/51 5 l ; 86,8 x 70,4 mm ; 4999 ; 1000 ch à 7800 t/mn ; 917/10 TC 1972 ; 912/52 5,4 l ; 90 x 70,4 mm ; 5374 ; 1100 ch à 7800 tr/mn ; 917/10 TC 1972 ; 912 5,4 l ; 90 x 70,4 mm ; 5374 ; 1100 ch à 7800 tr/mn ; 917/30 TC 1973 ; Moteur 16 cylindres ; 5 litres ; 80 x 62 mm ; 4986 ; 690 ch ; 917 6,5 l ; 86 x 70,4 mm ; 6543 ; 755 ch à 8200 tr/mn ; 917/10 TC 1972

      Reliant Scimitar GTE (1985-1985)

      Renault 12 ; 3.000.000 d'exemplaires (1980-1980)


      Renault 8 S berline (1971-1971)

      Ritter Works (Claude Thiry) (1975-1975)

      Rover 1885 Wolseley S (1972-1972)

      Rover Maxi (1982-1982)

      Scamp (Grande-Bretagne)

      Seat 1430 (1975-1975)

      Shrive (Grande-Bretagne)

      Simca 1000 Rallye ; Challenge desiné aux jeunes pilotes en 1969; 1000 Rallye 2 en 1972 ; courses du SRT réservées au pilote de Rallye 2 en 1973 (Simca Racing Team)

      Simca 1501 Spécial ; 81 ch (73 ch en 1974), 152 km/h (148 en automatique) (1975-1975)

      Siva (Neville Trickett - Grande-Bretagne)

      Skoda S 100


      Skoda 110L (1977-1977)

      Subaru R2 au Salon de Tokyo ; moteur arrière 2 cylindres 2 temps refroidi par air, 356 cm3 (61.5x60), compression 6.5, 30 ch à 6500 tr/mn, 3.7 mkg à 5500 tr/mn, carburateur horizontal ; tout à l'arrière, boîte 4 synchro ; long 2.99 m, larg 1.29 m, haut 1.34 m, empattement 1.92m, 660 kg, 115 km/h , version R2 GL en 11.1970 (32 ch à 6500 tr/mn, 115 km/h) (1973-1973)

      Sunbeam Alpine (1976-1976)

      Suzuki Fancy au Salon de Tokyo ; 3 cylindres 2 temps avant refroidi par air, 356 cm3, 25 ch ; long 2.99 m, larg 1.29 m, haut 1.38 m, empattement 1.99m, 500 kg, 105 km/h

      Tjorven (K. Verkstad - Suède)

      Toyota Publica Station Wagon (1972-1972)

      Toyota 2000 GT : 351 exemplaires en France

      Triumph Mk II Estate

      Triumph TR6 (1976-1976)

      Triumph GT6 Mk II


      VAZ 2101 Zhiguli - Lada 1200 (Togliattigrad), dérivée de la Fiat 124 (structure renforcée) ; 4 cylindres 1198 cm3 (76x66), compression 8.8, 62 ch DIN à 5600 tr/mn, 8.9 mkg à 3400 tr/mn, arbre à cames en tête, carburateur double corps ; transmission classique, boîte 4 vitesses synchronisée, levier au plancher ; suspensions à triangles superposés avant (ressorts hélicoïdaux), essieu rigide arrière (ressorts à lames), direction à vis et galet, freins à disques avant, tambours arrière ; longueur 4.07 m, largeur 1.61, hauteur 1.44, empattement 2.42, poids 890 kg ; pneus 155x13, 140 km/h


      Venturi Atlantique 300 (CUP411) ; V6 PRV (alliage léger), 93x73, 2849 cm3, 4 ACT entraînés par chaîne, 7,3:1, 2 turbocompresseurs Garrett, 43 mkg à 2500 tmn, boîte 5, châssis poutre à caisson avant et arrière en acier, carrosserie coupé 2 portes , 2 places, 4 roues indépendantes, 4 disques. 280 kmh. (1973-1973)

      Volkswagen AG Group (Allemagne) ; fondation de la société Audi-NSU ; Volkswagen, actionnaire majoritaire, reprend le projet NSU K 70 (1ère traction VW)

      Volkswagen 181 (1980-1980)

      Volkswagen-Porsche Vertriebsgesellschaft MbH (Allemagne - Wolfsburg) ; Volkswagen-Porsche Vertriebsgesellschaft MbH (Allemagne - Wolfsburg) ; société mixte créée par Volkswagen et Porsche en avril 1969 pour la création d'un roadster biplace Targa et moteur central ; Porsche se désengage en 1973

      Volkswagen Porsche 914 au salon de Francfort ; 914/4 à moteur flat 4 de la VW 411, 1679 cm3 80 ch, 177 km/h (115 631 exemplaires) ; 914/6 flat 6 Porsche, 1991 cm3 110 ch, 201 km/h (3 331 exemplaires)

      A la fin des années soixante, Volkswagen s'associent pour lancer sur le marché une petite sportive à moteur central. Mais ni la version "populaire" équipée d'un bloc VW, ni la très coûteuse déclinaison sportive à motorisation Porsche ne trouvèrent leur clientèle. Pourtant, même s'il s'agit d'un mariage de raison, l'union entre le plus apprécié des constructeurs allemands et le plus sportif ne manque pas d'allure. En conjuguant tout le poids de sa puissance industrielle avec le savoir-faire de Porsche, Volkswagen bénéficie d'une image de marque valorisante au moment où la Coccinelle prend ses premières rides. De son côté, Porsche - qui cherche (déjà !) à sortir de la "monoculture 911" - se donne les ressources financières nécessaires au développement d'une sportive moderne et plus abordable. Soudées par d'incontestables liens historiques (Ferdinand Porsche fut "l'inventeur" de la Coccinelle), les deux firmes fondent une société mixte en avril 1969. Le projet, bien avancé, s'articule autour d'un roadster biplace à toit "Targa" (hard-top et arceau rigide). La version économique (914/4) reçoit le 4 cylindres 1.7 de la VW 411. Pas très excitant avec ses 80 ch et son bruit de crécelle, il s'avère sous-dimensionné par rapport au potentiel de la voiture. Il faudra attendre 1973 pour voir apparaître un 2 litres de 100 ch, lui offrant enfin des performances correctes. La "vraie" Porsche (914/6) reprend, quant à elle, le classique "flat 6" de la 911, mais seulement en version 110 ch. La barre magique des 200 km/h est franchie. Mais elle laisse sur sa faim toute la clientèle sportive de la marque, déroutée par sa ligne et agacée par une commande de boîte rugueuse. Vendue pratiquement aussi chère qu'une 911 et malgré d'indéniables qualités routières, elle est condamnée à court terme. Trop sage, trop chère sans doute, peut-être aussi née un peu trop tôt..

      Volvo P 1800 E (1972-1972)

      Volvo 164 (1975-1975)

      Volvo 221 (1970-1970)

      VW-Porsche 914 (1973-1973)

      William (Italie) (1974-1974)

      Zender GmbH (Hans-Albert Zender - Allemagne - Mülheim-Kärlich)

      ZIL 114 ; empattement et la carrosserie allongés, nouveau groupe en alliage léger de 6 959 cm3 et 300 ch ; freins à disque ventilés, colonne de direction réglable, un mécanisme de fermeture des portes à commande centralisée et l'allumage électronique (1973-1973)